LA DROITE MONDIALISTE (vendredi, 02 décembre 2011)

Extrait de L'échelle politique

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Droite mondialiste

- Inégalité
- Individualisme
- Euro-mondialisme
- Démocrature
- Pacifisme, ingérence, guerre impérialiste, paix à tout prix, collaboration

Le dernier marqueur de gauche était illusoire concernant la Droite nationale ; la Droite mondialiste n’en a plus aucun dans ses présupposés. Par ailleurs, les raisonnements qui conduisent cette dernière aux considérations en apparence communes avec la Droite nationale sont parfois différents et par nature plus nombreux. C’est normal : plus une conception « sociale » s’éloigne des Principes de l’ordre social, c’est-à-dire de ce que doit être une Société, donc de la Gauche absolue, plus elle est arbitraire, plus elle a de ressorts, plus elle présente de facettes politiques, plus les raisons pour lesquelles des individus adhèrent à l’une ou l’autre sont nombreuses et complexes, plus il est difficile d’établir et de restituer toutes les logiques farfelues qui les fondent.  Par suite, l’extrême Droite, le pied de l’échelle politique, est le summum du n’importe quoi et de l’imbroglio, tant du point de vue des projets que de celui des prétextes.

Le secret des différences entre les Droites nationale et mondialiste réside précisément dans ce qui les distingue : le mondialisme. Pourquoi est-on, comment devient-on mondialiste ? De nombreuses pistes débouchent sans doute sur le mondialisme, mais les voies royales sont, à n’en pas douter, une fois de plus, la soumission à Largent (voie vile, dite de droite) et la dévotion à l’humanité (voie noble, dite de gauche), deux formes d’aliénation.

Nous n’allons pas redire ce qui a été dit, pour la Droite nationale, sur les conséquences de Largent, à savoir comment il génère l’individualisme. Tout est encore valable ici. La différence, c’est que l’individualisme n’est plus balancé par un sentiment national, aussi fragile soit-il. Les adeptes du veau d’or, qu’ils soient riches ou pauvres, sont des individualistes forcenés : il n’y a qu’eux et leurs intérêts, à satisfaire coûte que coûte, et les autres, tous les autres, qui n’existent pas à moins qu’ils rapportent. La nation est trop étroite pour assouvir pleinement qui son avidité, qui son plaisir, qui sa soif de puissance. Tous les hommes sont des clients potentiels ou un moyen de profit. Le monde est leur terrain de jeu. Ils veulent être partout chez eux sans avoir de devoirs nulle part. Ils ne repoussent pas les frontières aux limites de la planète, afin que l’humanité forme une seule et même communauté ; ils les abolissent afin qu’il n’y ait plus de communautés, plus de règles (autres que celles de Largent), plus d’entraves à leur immoralité. 

L’autre chemin menant au mondialisme, la dévotion à l’humanité, est l’humanisme dépourvu de tout sentiment national. Le patriotisme fait alors place, non à l’universalisme, mais à l’individualisme honteux. L’idée de départ est que tous les hommes sont frères, qu’il n’y a aucune différence entre eux, qu’il faut surtout ne pas en faire et nier celles qui existent. Or en niant l’existence du peuple auquel on appartient, au nom d’une communauté universelle n’ayant aucune réalité, l’individu se retrouve seul avec ses abstractions, affranchi de toute communauté, si bien que l’humanisme n’est souvent qu’un prétexte pour les individualistes honteux. Par ailleurs, même s’il était vrai que tous les hommes soient en quelque sorte cousins, la parenté éloignée ne change rien au fait que des groupes sont observables (races, ethnies), que d’autres sont même constitués (sociétés, associations diverses) et que les droits, puisque c’est de cela qu’il s’agit au final, ne dépendent pas de l’appartenance à l’espèce humaine, c’est-à-dire de ce que l’on est, mais des relations établies avec certains hommes, autrement dit de ce que l’on fait.

Un droit n’existe que s’il est reconnu et garanti. Il suppose l’existence d’une société, c’est-à-dire d’un groupe d’individus unis au moins tacitement par un contrat social, ayant les uns envers les autres des devoirs. C’est en tant que citoyen qu’un homme a des droits. Une société peut néanmoins reconnaître des droits à des individus qui ne sont pas citoyens, mais ce ne sont pas alors les droits du citoyen. Il n’y a d’Egalité qu’en société, entre citoyens. Hors de la société et de la citoyenneté, droits et Egalité sont des mots vides de sens, des vues de l’esprit. Pire ! Soutenir une conception délirante de l’Egalité condamne l’Egalité qui doit être. L’idée de droits naturels et universels suppose, en effet, qu’ils n’ont pas besoin d’être mérités, ce qui induit le rejet des notions de devoir, de société, de nation, de peuple, de propriété, de pays, de frontière, c’est-à-dire de tout ce qui sert de cadre à l’Egalité et lui donne une consistance (3), comme si les droits pouvaient exister sans que rien ni personne ne les génère ou les défende.

C’est ici que Largent intervient, car il ne peut manquer d’intervenir dans un système monétaire, même si l’on n’a pas conscience de son intervention. Cette conception délirante de l’Egalité est en fait une conséquence de Largent qui rend l’Egalité impossible. Puisqu’ils ne peuvent instaurer l’Egalité au niveau de la nation et que, n’ayant jamais connu la véritable Egalité, ils ignorent en quoi elle consiste, certains hommes se dissimulent leur impuissance et leur ignorance par une fuite en avant. Ils ne savent ni pourquoi les « citoyens » sont inégaux ni ce que sont un Citoyen et l’Egalité… Qu’à cela ne tienne ! Ils se font « citoyens du monde » et décrètent que tous les hommes sont leurs égaux, surtout les Autres. Ayant rejeté la patrie et renié leur patrie, toute leur sollicitude va aux Autres, aux étrangers, aux immigrés et, bientôt, ils n’ont plus que haine pour les leurs, d’autant plus que ces derniers rechignent à être mis à contribution pour soutenir leurs lubies et digèrent mal le renversement des priorités, des valeurs et des mots que tout cela implique.

Se soumettre aux lois de Largent est aussi funeste qu’ériger l’Humanité en dogme. Ces deux attitudes sont les deux faces de la Droite mondialiste. Elles conduisent à des positions similaires quoique pour des motifs différents. Elles ne s’opposent que pour amuser la galerie. En réalité, elles se rejoignent en tout, s’empruntent mutuellement des arguments et finissent par se confondre.

Mondialistes de droite comme « de gauche » sont individualistes et apatrides. Tous trahissent leur patrie, les uns par égoïsme pur, les autres par générosité frisant la bêtise. Tous sont immigrationnistes. Les premiers encouragent l’immigration afin d’exploiter les immigrés, quoiqu’il en coûte à la nation. Le profit de quelques-uns justifie tout. Les seconds sont favorables à l’immigration car ils ont besoin à la fois d’hommes à plaindre, en l’occurrence les immigrés, et d’hommes à insulter, en l’occurrence leur propre peuple. Leurs apparentes bonnes intentions justifient tout. Les raisons profondes des uns et des autres sont si sordides, leurs discours, si mensongers, leurs politiques, si désastreuses (au plan national et international), qu’ils doivent donner le change et étouffer les critiques en s’autoproclamant défenseurs de nobles causes (liberté de circulation, droits de l’homme, paix, démocratie, progrès social), en prenant des airs supérieurs (compétence économique, antiracisme, antifascisme,  etc.) et en martelant de grands mots creux (diversité, multiculturalisme, vivre ensemble, stigmatisation, nauséabond).

L’indifférence envers la nation et la volonté de la détruire débouchent également sur l’européisme qui n’est lui-même qu’une étape vers le mondialisme ou la « gouvernance mondiale », c’est-à-dire une dictature planétaire. (La plupart des partisans de l’Europe institutionnelle sont dupes des Européistes éclairés.) Car les mondialistes procèdent par étape pour saper peu à peu le bon sens et mettre tout le monde devant le fait accompli, en prétendant qu’il n’y a pas de retour en arrière possible. En la matière, ils ont prétendu que les pays d’Europe seraient plus forts s’ils étaient unis et uniformisés. Au lieu de se renforcer individuellement, de se protéger, d’avoir confiance en eux-mêmes, ils se sont déchargés sur d’autres de leurs devoirs (toujours le syndrome de la fuite en avant) et ont promis un miracle qui ne pouvait pas se produire. Une union ne peut être forte quand elle postule que se protéger est réactionnaire, que la force est l’apanage du fascisme, que les forts doivent s’excuser et s’effacer devant les faibles, que les « autres » sont meilleurs et ont tous les droits, que les lois de Largent sont sacrées, etc.. A l’arrivée, comme il fallait s’y attendre, l’Union Européenne est un machin faible et difforme. Elle ne combine pas les forces ; elle additionne les faiblesses de pays qu’elle désarme en détail. Elle ne protège pas les produits locaux de la concurrence étrangère ; elle n’empêche pas les délocalisations des entreprises ; elle n’enraye pas l’immigration. Mieux ! Elle interdit aux pays de s’opposer à leurs niveaux à tous ces fléaux. L’Europe est une passoire dans tous les domaines ; elle prend eau de toutes parts. Elle expose ses peuples à l’invasion et les livre pieds et poings liés au marché, aux spéculateurs, aux banques, aux USA et à la Chine. Quant à l’uniformisation dite « harmonisation des législations », elle est mise en œuvre par des instances supranationales qui, par définition, dépouillent les nations de leur souveraineté. L’Europe vendue au nom de la fraternité des peuples n’a aucun respect pour les peuples ; elle s’impose à eux ; elle les nie ; elle les aseptise ; elle les ruine ; elles les vend. L’Europe vendue au nom de la démocratie et de la paix exècre les référendums et soutient toutes les guerres d’ingérence. Au final, les mondialistes « de gauche » ont pour les peuples le même mépris que ceux de droite et leur vendent les mêmes salades (4).

Ni les uns ni les autres ne sont des démocrates. On ne peut pas l’être quand on est un ennemi des peuples en général et du « sien » en particulier. On ne peut pas consulter et faire confiance au peuple quand on le trahit, à moins d’y être obligé et de ne tenir aucun compte de son avis s’il ne convient pas. Le caractère intrinsèquement antidémocratique des euro-mondialistes a été démontré à l’occasion des référendums français (ils sont passés outre), irlandais (ils ont fait revoter), suisse (ils ont abreuvé les Suisses d’insultes), grec (ils l’ont fait annulé sitôt qu’il a été annoncé). En fait, le mondialisme dans un monde divers et monétaire est par essence dictatorial (= Extrême Droite : voir section suivante). Mais, dans sa phase de construction, donc de destruction des nations, il a besoin de la caution des peuples qui seule lui confère une légitimité ; il a besoin que les peuples, encore trop forts, forgent eux-mêmes leurs chaînes. Il conserve donc les formes déjà illusoires de la pseudo démocratie représentative, s’assure des suffrages par le matraquage médiatique et passe en force en dernière instance. De toute façon, les peuples n’élisent pas plus les véritables décideurs qu’ils ne peuvent empêcher les décisions prises de suivre leur cours. C’est une démocrature sous un vernis de démocratie si fin qu’il est totalement insignifiant ; on pourrait appeler cela une « dicrature ».

Enfin, sur la question de la guerre, les mondialistes « de gauche », portés par l’amour des autres et la haine des leurs, soutiennent tantôt la colonisation des sauvages (pour leur apporter la civilisation) tantôt la collaboration avec l’envahisseur (la guerre, c’est mal ; les ennemis sont des hommes, des frères ; la France ne vaut pas la peine d’être défendue). Les mondialistes de droite, eux, dirigés par l’appât du gain, soutiennent tantôt la conquête (aubaine pour les profiteurs de guerre) tantôt la capitulation (la guerre chez soi, c’est mauvais pour les affaires). Les uns et les autres ont donc, une fois de plus, la même attitude et des mobiles différents. Mais, à force de marcher sur le même chemin et dans la même direction, ils deviennent compagnons de (dé)route. Aujourd’hui, tous soutiennent les guerres d’ingérence soi-disant entreprises pour apporter la démocratie aux musulmans (néo-colonialisme) et organisent l’invasion pacifique (pour combien de temps encore ?) de l’Occident, qui pour briser les nations et affaiblir les travailleurs locaux, qui pour pouvoir collaborer avec les immigrés transformés en ennemis à force d’être considérés comme « autres ».

Une dernière remarque sur la Droite mondialiste, individualiste et apatride : elle est représentée par des partis qui font tout sauf de la politique. En effet, on ne peut pas dire que travailler à la destruction de la nation, de la cité, de la polis soit faire de la politique. Il y a une différence entre diverger sur la façon d’organiser la société et chercher à l’anéantir par tous les moyens. Ici, il ne s’agit plus d’opinions, lesquelles doivent être libres, mais de haute trahison, laquelle est punie de mort dans tout état qui se respecte.

Sous la Révolution, la tendance mondialiste de droite fut représentée par les Girondins, défenseurs de la haute bourgeoisie, qui voulaient municipaliser le monde et lancèrent la croisade pour la Liberté afin de remplir le Trésor et rehausser l’assignat. Le mondialisme « de gauche », lui, fut essentiellement incarné par un homme, Anacharsis Clootz, autoproclamé Orateur du genre humain, héraut de la République universelle. Robespierre le dénonça en ces termes : « Et comment Cloots pouvait-il s’intéresser à l’unité de la République, aux intérêts de la France ; dédaignant le titre de citoyen Français, il ne voulait que celui de citoyen du monde. Eh ! s’il eût été bon Français, eût-il voulu que nous tentassions la conquête de l’Univers ?… Eût-il voulu que nous fissions un département français du Monomotapa ? Eût-il voulu que nous déclarassions la guerre à toute la terre et à tous les élémens ? » (12 décembre 1793) Clootz n’était pas français, mais allemand. Sous la Révolution, les étrangers poussèrent souvent à la guerre, ce qui les fit regarder d’un mauvais œil par les révolutionnaires.

Cette remarque amène à souligner que la collusion presque systématique entre mondialistes et immigrés résulte d’une converge d’intérêts immédiats malgré des conceptions de leurs intérêts respectifs diamétralement opposées. Quand les premiers ouvrent la porte, les seconds s’y engouffrent naturellement et naïvement. Les premiers trahissent les leurs et la nation, au nom des autres et des immigrés, parce qu’ils sont individualistes et soi-disant universalistes ; les immigrés leur emboîtent le pas parce qu’ils sont, eux, communautaristes. Ces derniers ne trahissent pas la nation : ils servent leurs congénères, voire leur nation d’origine (5). Mais cette attitude produit l’effet inverse à celui désiré. En adoptant la ligne des traîtres, ils passent eux-mêmes pour tels ; en exigeant le respect au lieu de le mériter, en ajoutant l’arrogance à l’intrusion, en jouant l’antiracisme d’un côté, la solidarité raciale de l’autre, en amalgamant et stigmatisant eux-mêmes les immigrés (qui souvent tombent dans le piège), ils suscitent à leur encontre une défiance légitime et une exaspération croissante.

Aujourd’hui, la Droite mondialiste est sans conteste incarnée par l’UMP, à droite, les valets Largent,  et le PS, à « gauche », les chantres de l’Humanité (6). Le MODEM, dit le centre, est fatalement du même tonneau, en plus indécis. Tous sont immigrationnistes et capitalo-libéraux (voir plus bas), donc mondialistes, donc individualistes, donc apatrides, donc anti-nationaux, donc anti-peuple, donc européistes, donc anti-démocrates (ou démocrates de façade). Ce sont tous des bourgeois, des profiteurs, des pervers, des couilles molles, des comédiens, des capitulards, des défaitistes ou des va-t-en-guerre, c’est selon.

Les Verts, universalistes hystériques au nom de la planète, sont la charnière entre la Droite mondialiste et l’extrême Droite.

A suivre....

 

NOTES

(3) L’individualisme au masque humaniste anéantit l’Egalité (du moins l’espoir de l’instaurer) en la privant de cadre sous prétexte d’élargir son champ, un peu comme on démoule un Flamby. Il est donc cocasse que le leader actuel de la mouvance politique à laquelle ce caractère donne lieu ait précisément ce surnom, Flamby.

(4) Dernière salade en date : le droit de vote des étrangers, insulte au bon sens et renversement de tous les Principes. Cette mesure en apparence pro-immigrés dénote en réalité un manque total de respect envers eux. En les dispensant de tout effort d’intégration, en leur donnant tout en échange de rien, en les encourageant à demeurer ce qu'ils sont, elle fera d’eux d’éternels étrangers. Pire ! En validant des revendications et des attitudes scandaleuses, elle les transforme en ennemis. Ceux qui soutiennent cette disposition viendront ensuite accuser les Français de racisme, de xénophobie, de stigmatisation à l’encontre des immigrés qu’ils auront eux-mêmes discrédités. Ce sont les mêmes qui ont rejeté la politique d'assimilation et conspué le concept d'identité nationale, qui déclarent qu'être français ne veut rien dire et accordent la nationalité française au premier venu, et qui insultent les Français qui, en toute logique, ne voient dans les immigrés nés en France ou naturalisés que des Français de papier.

(5) Ex-ministre délégué à la promotion de l’Egalité des chances sous Sarkozy, chercheur au CNRS (université Rennes-II), Azouz Begag se signale régulièrement par des propos qui, venant d'un Français « de souche », seraient de la pure trahison. « Le meilleur moyen de servir les intérêts de l’Algérie est de former et soutenir une nouvelle génération d’hommes politiques issus de l’immigration algérienne en France, afin de les propulser à l’Assemblée nationale où ils pourront voter des lois favorables à l’Algérie ! » (El-Khabar, 31 octobre 2010) Deux semaines plus tard, dans le Monde, il eut le front de blâmer le gouvernement de ne pas faire place aux hommes issus de l'immigration en déplorant que la «diversité» en politique ne s’incarne qu’au travers de femmes d’origine immigrée qui « ont une meilleure image que les hommes ».

(6) Les socialistes qui invoquent régulièrement Jean Jaurès rejettent Robespierre à l’instar des contre-révolutionnaires. Ce faisant, ils renient leur héritage, ils révèlent leur trahison. Car, depuis la Révolution, la Gauche et les hommes qui s’en réclament à tort ou à raison se sont toujours reconnus dans Robespierre. Dans son Histoire socialiste de la Révolution, Jean Jaurès déclara : « Ici, sous ce soleil de juin 93 qui échauffe vôtre âpre bataille, je suis avec Robespierre, et c’est à côté de lui que je vais m’asseoir aux Jacobins. » (Tome VI, Le Gouvernement révolutionnaire, Messidor, 1986, p. 193, 194) C’est sans ambiguïté. Il est tout aussi clair que les « socialistes » actuels ont viré de bord sans changer de nom. Alors de quel bord sont-ils ? Ils ont épousé la cause de la Droite mondialiste dont ils sont un des deux visages.

19:00 Écrit par Philippe Landeux | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : échelle, politique, droite, mondialiste |  Facebook | |  Imprimer |