MODE ET MOYEN D'ÉCHANGE DE LA CITÉ (vidéo 7) (dimanche, 26 avril 2015)

Vidéo 1 – Qu’est-ce que la démocratie ?
Vidéo 2 – Qu’est-ce que Largent ?
Vidéo 3 – Qu’est-ce que la monnaie ?
Vidéo 4 – Anachronisme du système monétaire
Vidéo 5 – Qu’est-ce que l’Égalité ?
Vidéo 6 – Le Contrat social de la Cité

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Pour voir la vidéo, cliquez sur l'image.

 

« Un moyen d’échange est le paramètre le plus
stable d’une Société ; il en est le cœur. Rien
n’est plus difficile que d’en changer. Une fois
adopté, il façonne les hommes à son image. »

Manifeste des Patriciens, art. 73

 

LE MOYEN D’ÉCHANGE DE LA CITÉ :
LA CARTE CIVIQUE

Dans les vidéos précédentes, que je vous invite à visionner au préalable, j’ai exposé les bases du système actuel, à savoir Largent (ou la notion de valeur marchande, issue du troc) et la monnaie (le moyen d’échange qui en découle) ; j’ai aussi posé les Principes de la Cité, rappelés par le Contrat social (vidéo précédente), à savoir l’Égalité des Citoyens en Devoirs et en Droits, égalité notamment dans le devoir de participer à la vie de la Cité (selon ce qu’elle considère comme une participation), égalité notamment dans le droit d’accéder au marché, pour pouvoir profiter réellement des bienfaits de la Cité, ce droit étant conféré par la Citoyenneté. La présente vidéo sera consacrée au moyen d’échange qui découle des Principes (article 4b du Contrat social) et s’inscrit dans l’évolution des choses, à savoir : la Carte civique. Avec cette vidéo, on entre au cœur du Civisme, tout entier contenu dans cette mesure.

Le mode d’échange de la Cité repose sur un tout autre principe que le système monétaire. Les Citoyens ont des Devoirs envers la Cité qui s’assure qu’ils s’en acquittent bien, auquel cas elle reconnaît ou confirme leur Citoyenneté, condition pour accéder librement au marché et jouir réellement de tous les bienfaits de la Cité. Tous les Citoyens étant dans ce cas, jouissant du droit d’accès, sont égaux dans tous les droits garantis directement par la Cité, mais aussi dans tous les droits qui dépendent de l’accès au marché, c’est-à-dire presque tous, dont les plus vitaux, et qui, jusque-là, passaient par la monnaie et étaient répartis inégalement entre les individus. Les Citoyens ne paient plus en détail ce dont ils ont besoin ou envie ; ils ne sont plus dépouillés subtilement de leurs droits par un salaire et à chaque transaction ; c’est auprès de la Cité qu’ils « paient » globalement leurs futurs « achats » en s’acquittant de leurs Devoirs, comme une sorte de forfait. Rien n’est payant (au sens monétaire) sur le moment, mais rien n’est gratuit dans l’ensemble ! La production est le fruit de la participation individuelle et collective des Citoyens ; elle appartient donc à tous collectivement, et tous ont le droit d’y puiser librement pour satisfaire leurs besoins individuels. Dans ce mode d’échange, il ne s’agit plus d’un échange d’objets entre individus, comme sous le troc ou la monnaie qui en perpétue la logique, mais d’un échange en termes de Devoirs et de Droits entre le Citoyen et la Cité ; ce mode d’échange met en œuvre la logique sociale au lieu de focaliser sur les objets et leur soi-disant valeur (voir la vidéo sur la monnaie) et de détruire la Société au nom Largent (voir la vidéo sur Largent).

Pour exercer leur droit d’accéder au marché, les Citoyens disposent d’une Carte dite Carte civique, qui, techniquement, fonctionne et s’utilise grosso modo comme les actuelles cartes de crédits, mais qui, dans ce cas, sert avant tout à attester, après des commerçants, en consultant une banque de données informatiques, la Citoyenneté de son détenteur. Un Citoyen peut, en théorie, prendre tout ce qu’il désire ; plus exactement, il peut emporter tous les articles qu’il a mis dans son panier et présentés en caisse, une fois que sa Citoyenneté est contrôlée et attestée, via sa Carte. Cette procédure valide ses achats, pour utiliser le terme actuel, et les enregistre aussi bien sur son compte que sur celui du commerçant.  

Cet enregistrement des achats est indispensable pour deux raisons. La première concerne d’abord les « vendeurs » (commerçants ou entreprises). Cela leur permet bien sûr de gérer leurs stocks, mais permet surtout à la Cité de connaître leur activité. Car c’est de leur activité, qui constitue leur Devoir envers la Cité et qui, en l’occurrence, consiste à avoir un certain nombre de clients (et à écouler un certain volume de produits), que dépend leur Citoyenneté et donc la validation de leur propre Carte civique. Il ne faut jamais oublier que, dans la Cité, la Citoyenneté se mérite en permanence ; les droits du Citoyen, dont celui d’accéder au marché, sont la contrepartie de ses Devoirs envers la Cité. Je ne m’étends pas sur ce sujet, je consacrerai la vidéo 9 à la question des entreprises. Notons simplement que l’informatique rend facile et sûr un contrôle qui, sans elle, serait impossible, aucune bureaucratie ne pouvant rivaliser, sur aucun plan. Notons également que ce contrôle et la nécessité pour les « vendeurs » d’atteindre, en terme de ventes ou de clients, les résultats exigés d’eux par la Cité, sous peine de sanctions (pouvant aller jusqu’à la perte de la Citoyenneté), expliquent pourquoi ils exigeront eux-mêmes que leurs clients valident leurs achats et disposent donc d’une Carte civique, qu’ils aient donc eux aussi rempli leurs devoirs, ce qui constituera une forme d’autocontrôle dispensant la Cité d’intervenir. En effet, certains se demandent sans doute quel intérêt auront les commerçants et les entreprises à exercer leur activité sans en retirer d’argent… Mais cette question n’a de sens que dans un système monétaire ! Dans la Cité, l’intérêt de chacun sera d’acquérir et de conserver la Citoyenneté et les droits qui vont avec, donc d’éloigner de lui les sanctions en faisant ce que la Cité attend de lui. Du reste, comparé au système monétaire, le pouvoir d’achat conféré par la Citoyenneté sera nettement supérieur, puisque illimité en théorie. Il est vrai, cependant, que, si cet aspect des choses peut en imposer à nos contemporains, les Citoyens, eux, n’y feront plus attention ; ils ne se demanderont plus ce qu’ils peuvent « gagner » ; ils prendront surtout garde de ne pas tout perdre.

La deuxième raison de l’utilité de la Carte civique et de l’enregistrement des achats concerne, précisément, le pouvoir d’achat. J’ai dit que le pouvoir d’achat était illimité « en théorie ». En théorie, en effet, le pouvoir d’achat conféré par la Citoyenneté est indéfini, puisque la Citoyenneté ne se mesure pas. On est Citoyen ou on ne l’est pas ; c’est oui ou non. Non, on n’a droit à rien ; oui, on a droit à tout. Et il est important, J’INSISTE SUR CE POINT, il est important, dis-je, que ce principe d’un accès illimité soit respecté autant que possible. C’est le pouvoir d’achat illimité qui permettra d’atteindre tous les équilibres naturels optimums, qui impulsera une nouvelle force des choses dans la Cité, qui sera la source des prodiges de l’Égalité. C’est notamment de la possibilité d’abuser en permanence que naîtra la modération des Citoyens, car des individus frustrés guettent, au contraire, la moindre occasion d’abuser. Bien sûr, cela n’ira pas sans poser quelques problèmes, mais il ne faut pas que tout devienne prétexte pour violer le Principe. Je veux dire que, tout en respectant le principe, la Cité pourra, à travers la loi, intervenir pour interdire l’accès à certains produits ou le limiter à certaines quantités. Il suffira d’entrer la loi en langage informatique dans la banque centrale de données afin que les Cartes, ou tel type de cartes, ne puissent enregistrer le retrait de tel produit (ou de telle catégorie de produits) au-delà de telle quantité. Déjà, il existera une distinction entre les particuliers et les personnes morales (entreprises, etc.) qui devront elles aussi disposer de Cartes pour accéder au marché mais qui seules, suivant la nature de leur activité, pourront accéder à certains produits. Cela semble logique. Mais, même dans ce cas, les restrictions devront être aussi limitées que possible. En théorie, tous les produits pourraient tomber sous le coup d’une restriction. Mais ce ne serait l’intérêt ni du système ni des Citoyens. Or la Cité sera démocratique au vrai sens du terme ; la loi sera l’ouvrage des Citoyens (voir la première vidéo sur la démocratie et la prochaine sur le système politique de la Cité) et il n’y a pas de raison de croire qu’ils limiteront leur propre pouvoir d’achat de manière aberrante, même s’ils pouvaient le faire. Quand on y réfléchit, il apparaît assez vite qu’adopter des limites arbitraires et artificielles est soit néfaste soit inutile, car le calcul néglige toujours des données, de sorte que la limitation proposée est généralement en deçà de l’équilibre naturel (donc néfaste), plus rarement au-delà (alors inutile). De manière générale, il est préférable que l’accès aux produits soit libre, selon la règle « premier arrivé, premier servi », le marché étant régulièrement alimenté. Les mesures d’exception sont faites pour les biens et surtout les temps exceptionnels. Mieux vaut, en temps normal, que quelques Citoyens, jamais les mêmes, supportent une rupture de stock temporaire plutôt que tous subissent un rationnement permanent. La première philosophie fait des heureux ; la seconde, seulement des mécontents. Il appartiendra malgré tout à la Cité d’adopter, en la matière, la philosophie qui lui plaira, mais je gage que ce sera la première, quitte à faire des exceptions pour certains produits, limitations exceptionnelles que la Carte civique permettra de faire respecter, par tous, sans difficulté. Ces possibles limitations légales expliquent en partie l’expression « pouvoir d’achat illimité en théorie ». En partie… car les véritables limites seront ailleurs, dans la nature des choses.

Des Citoyens dotés d’un pouvoir d’achat théoriquement illimité n’ont pas pour autant des envies infinies ni du goût pour tout. Même en supposant qu’ils puissent acheter tout ce qu’ils veulent, leur volonté fixe la limite maximale de leur pouvoir d’achat effectif. Personne ne peut courir plus vite que ses jambes, même sur une piste sans obstacle ! Les premières limites sont donc en nous ! Une deuxième limite, pour ceux qui veulent beaucoup, c’est évidemment le désir des autres, dès lors que ces autres veulent la même chose. En d’autres termes, le droit d’accéder au marché exercé par les uns peut entrer en conflit ou être limité par le droit des autres si tous l’exercent en même temps sur le même objet ou dans le même domaine. Même sur une route sans limitation de vitesse, tout le monde roule au pas si tout le monde la prend en même temps. Le système ne peut pas faire mieux que de ne pas limiter la vitesse, mais il est des limites qui sont dans la nature des choses. Ceci étant, ce genre de limite n’est ressenti que parce ceux qui veulent aller au-delà ; les autres ont même de la marge devant eux. Il y a, enfin, une troisième limite naturelle au droit d’accéder au marché, c’est la production générale elle-même. Les Citoyens, pris dans leur ensemble, ne peuvent consommer plus que ce que la Cité produit (en considérant que les importations compensent les exportations, sujet auquel sera consacrée la vidéo 10). Leur intérêt est donc, pour que leurs droits d’accès respectifs entrent le moins possible en conflit, que le produit commun soit le plus important possible afin que la limite réelle à leur pouvoir d’achat individuel soit la plus haute possible. Mais comment une Offre, par nature limitée, pourra-t-elle être à la hauteur de la Demande, illimitée en théorie ? A priori elle ne pourra pas, et les Citoyens devront faire avec en attendant de trouver et de mettre en œuvre des solutions. La première solution sera d’augmenter la production, donc d’embaucher tout ce qui pourra l’être, jusqu’à ce que le plein emploi soit atteint. Et c’est bien à une situation de plein emploi que conduira fatalement le déséquilibre, permanent dans la Cité, entre l’Offre et la Demande. Mais comment augmenter la production une fois que tous les Citoyens seront déjà mis à contribution ? Deuxième solution : par l’accroissement des rendements, donc par l’innovation technique. (Voici un exemple des prodiges de l’Égalité, qui obligera la Cité à être inventive pour surmonter les difficultés qu’elle suscitera et qui, en même temps, ôtera tous les freins au génie de ses Citoyens.) Supposons maintenant que les Citoyens rassasiés aient moins de désirs matériels (ce qui arrivera tôt ou tard), et que la Demande réelle baisse en deçà de l’Offre. Supposition ! Dans un système monétaire, ce serait une crise de surproduction, d’où faillites, licenciements, chômage et tout ce qui s’ensuit. Dans la Cité, diverses solutions seront envisageables sans qu’aucune ne pénalise les Citoyens, ne touche à leurs droits : exportation voire donation du surplus, baisse des exigences de la Cité vis-à-vis des entreprises (vidéo 9), baisse du temps de travail, baisse du temps à travailler nécessaire pour atteindre la retraite (voir la prochaine vidéo), développement des services et des secteurs non-productifs, etc.

On aura noté que la Carte civique confèrera à tous les Citoyens un égal droit d’accéder au marché. Certains en déduisent que la production sera répartie également par l’État. C’est n’avoir rien compris au rôle de la Carte civique. Si elle donne accès au marché aux Citoyens, c’est que ce sont les Citoyens qui, grâce à elle, retirent du marché ce que bon leur semble ; ce n’est donc pas l’État qui répartit la production également ou qui donne à chacun soi-disant « selon ses besoins ». L’État ne donne rien ; ce sont les Citoyens qui prennent. Certains imaginent aussi que, du fait de l’Égalité des Citoyens dans le droit d’accéder au marché, tous auront la même chose. Ce serait est un autre non-sens. Il est vrai que, en théorie, un pouvoir d’achat illimité et donc égal devrait se traduire par une égale répartition de la production, c’est-à-dire, plus exactement, que chaque Citoyen devrait en retirer une portion équivalente. (C’est le principe des forces égales appliquées de toutes parts sur un même objet ; elles s’équilibrent.) Mais des portions équivalentes ne contiennent pas nécessairement les mêmes choses ; elles le pourront d’autant moins que les Citoyens consommeront selon leurs goûts, par nature différents. Plus encore ! Bien que tous les Citoyens auront le même droit de consommer librement, ils ne l’exerceront pas tous avec autant d’intensité, par la même raison qu’ils n’auront ni les mêmes goûts ni les mêmes désirs. Il s’ensuit que, bien qu’égaux en droits, les Citoyens ne retireront du marché ni les mêmes choses ni dans les mêmes proportions. Ces différences ne seront pas, comme aujourd’hui, des inégalités, des injustices, des symptômes de l’exploitation ; elles résulteront de la Liberté elle-même. Vouloir appliquer l’Égalité en la matière (ce que l’on appelle l’égalitarisme) serait une tyrannie, en plus d’être une vue de l’esprit.

Et que dire de ceux qui, sous prétexte que les Citoyens accèderont au marché par le biais d’une carte pour en retirer ce que bon leur semble, suivant la règle du premier arrivé premier servi, s’exclament « Alors ce sera pareil qu’aujourd’hui, cela ne changera rien ! Le problème, ce n’est pas Largent ». Ben voyons ! Être pauvre, être riche, c’est pareil ! C’est pour cela que les pauvres jouent au loto ! en priant de ne pas gagner et de ne jamais sortir de leur misère ! Un faible pouvoir d’achat, c’est la même chose qu’un pouvoir d’achat illimité ! Et bien sûr, le pouvoir d’achat, les droits, n’ont rien à voir, aujourd’hui, avec Largent ! Mais qui peut être assez con pour sortir des énormités pareilles ? Malheureusement, quasi 100 % des gens. On est entouré de cons, de lâches, d’esclaves ! Les hommes sont lobotomisés par Largent ! Ils se feraient tuer plutôt que de dénoncer leur maître. D’ailleurs, ils en crèvent… et la planète avec eux !

Mais ceci démontre la force du système monétaire. Il repose sur Largent (la notion de valeur marchande), mais c’est la monnaie qui en est le ciment. C’est la monnaie qui inculque aux hommes, qui la manipulent et surtout la subissent, la conception de l’échange selon Largent, c’est-à-dire la logique du système, ce que j’appelle les préjugés monétaires. C’est la monnaie qui les prend au piège de Largent. Mais prendre les hommes au piège n’est pas le propre de la monnaie ; c’est le propre de tout moyen d’échange, et la Carte civique prendra de même les Citoyens au piège de l’Égalité. La monnaie, malgré ses tares et ses effets funestes, a par ailleurs démontré, par sa longévité, la stabilité du paramètre social qu’est le moyen d’échange. Or la Carte civique sera infiniment moins contestable dans son principe et n’offrira aucune prise en pratique. Une fois adoptée, tous les Citoyens jouiront de leurs droits, sauront ce qu’est la Citoyenneté et béniront l’Égalité. Quelques privilégiés, jaloux de leurs « droits », suffisent pour maintenir un système injuste. Alors un système juste… défendu par tous ses membres, car tous auront intérêt à la défendre… qui le renversera ? Les Citoyens ayant goûté à l’Égalité ne laisseront jamais rien ni personne restaurer l’inégalité à leurs dépens. Comment cela serait-il seulement possible ? L’inégalité elle-même sera devenue aussi inconcevable que l’est aujourd’hui l’Égalité ! et remettre en cause la Carte civique, autrement dit les Principes de l’ordre social, sera plus dur encore que de renverser la monnaie, chose qui paraît impossible, alors qu’elle fait visiblement le malheur des hommes et des nations !

Voici donc ce que je peux dire de la Carte civique sans trop m’éloigner du sujet. Car ce moyen d’échange, qui garantira l’Égalité, aura autant de conséquences qu’il y a de domaines dans la Société. De la même manière que tout tourne aujourd’hui autour de Largent, que tout est façonné par lui, tout devra s’adapter à l’Égalité dans la Cité, tout subira la pression permanente d’une Demande colossale, et je ne peux évoquer tous les bouleversements qui auront lieu ni tous les problèmes qui disparaîtront d’eux-mêmes. J’en traite un certain nombre dans mon livre « Le Civisme » et, à titre d’exemple, je consacrerai les trois prochaines vidéos aux questions du chômage et des retraites, des entreprises, des échanges internationaux, puis une autre au système politique de la Cité. J’aurai alors présenté les piliers de ce système pour le moins révolutionnaire. Je vous aurai convaincu, j’espère, du réalisme de ce projet, de sa cohérence, de sa faisabilité, de sa justice, bref de la nécessité de le mettre en œuvre et de tendre vos efforts dans ce sens. Je vous prie de croire que, si nous parvenons à anéantir Largent, et nous y parviendrons, alors plus rien ne sera impossible ; soyez sûrs qu’aucune difficulté ne sera insurmontable pour ceux qui auront relevé le plus grand défi de toute l’histoire de l’Humanité.

La défense de la patrie passe par l’Égalité ; l’Égalité passe par la Carte civique ; la Révolution passera par le Civisme ; et le Civisme passera par nous.

Largent est un Tyran !
L’Égalité ou la Mort !

Vive la Révolution !

 

Vidéo 8 – Retraite & chômage dans la Cité
Vidéo 9 – Les entreprises dans la Cité
Vidéo 10 – La Cité et les échanges internationaux
Vidéo 11 – Distinction entre Citoyenneté et Nationalité
Vidéo 12 – Le système politique de la Cité

18:42 Écrit par Philippe Landeux | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook | |  Imprimer |