dimanche, 04 mars 2012
PLAN ANTIRACISTE : L’OVERDOSE
A paraître sous une forme allégée dans le numéro du mois de mars (N° 3) du journal Salut Public .
Le gouvernement a adopté, le 15 février 2012, le « plan national d’action contre le racisme et l’antisémitisme – 2012-2014 », présenté à la demande de Claude Guéant, ministre de l’Intérieur. Ce plan de 134 pages, en gestation depuis 2008 (p. 15), prévoit la création d’un Délégué interministériel à la lutte contre le racisme et l’antisémitisme. Le poste a été décrété le lendemain, 16 février, et pourvu le 29 par le Conseil des ministres qui a nommé Régis Guyot, 63 ans, énarque, ci-devant préfet des Deux-Sèvres, puis de l’Ain et, dernièrement, membre du Conseil supérieur de l’administration territoriale de l’État.
Le plan. Comment exprimer le dégoût qui s’empare de l’âme d’un patriote devant ce travail de bureaucrate consciencieux, visant à détruire méthodiquement la France et le peuple français pour complaire à ses maîtres et à l’idéologie dominante ? Ce plan d’action est aussi national que la Banque centrale américaine est fédérale !
Voici qui donnera le ton : « Enfin, il faut noter l’émergence récente de quelques cas de racisme dirigés contre des blancs, ainsi qu’une condamnation en première instance prononcée outre-mer, mais cela reste pour l’instant relativement rare. » (p. 53) Qu’on se le dise donc, le racisme est par nature le fait des méchants Blancs, et n’existe qu’envers les pauvres immigrés. Autant dire que la lutte contre le racisme est et sera dirigée exclusivement contre les Français « de souche », par « leur » gouvernement, au nom des immigrés.
« En conclusion, les gouvernements de la République conduisent une politique résolue de lutte contre ces actes inacceptables dans une démocratie. » (p. 54)
Cependant, ce « plan » n’innove pas. « Au total, le cadre juridique dont s’est dotée la France en matière de lutte contre le racisme et l’antisémitisme ne paraît pas appeler de modifications dans l’immédiat. L’enjeu essentiel tient à l’effectivité de sa mise en œuvre. » (p. 12) Bref, le carcan est béton (p. 7 à 12 pour les principales lois), les Français sont pieds et poings liés, il ne reste plus qu’à presser pour réduire leurs cervelles en bouillie. Observons au passage qu’aucune des lois en question — ni aucune autre d’ailleurs dans aucun domaine — n’a jamais été soumise à la ratification du peuple français, que toutes sont donc nulles d’après les Principes de l’ordre social et d’un point de vue démocratique. Ce plan est aussi légitime que le traité de Lisbonne, la réintégration de l’OTAN, la guerre en Libye, le MES, etc.
« L’intolérance et la xénophobie, qui se nourrissent de la méconnaissance de l’autre, ne peuvent reculer durablement qui si s’enracine dès le plus jeune âge, et se renforce tout au long de la vie, la conviction que la différence et la diversité, loin de diluer notre identité, contribuent à la forger. » (p. 5)
« Ainsi, la législation relative à la lutte contre le racisme et les discriminations liées à l’origine s’est-elle enrichie depuis plusieurs décennies de l’aggravation des peines, de l’élargissement des domaines d’application et de l’extension de la notion de discrimination. » (p. 8)
Après la piqûre de rappel, suit l’énumération de toutes les mesures et dispositifs déjà en place, mais à renforcer et à appliquer au pas de l’oie, dans tous les domaines : organismes statistiques, Etat, administrations publiques, entreprises, écoles, sport, police, médias, Internet, etc. C’est alors qu’on mesure la dimension de cette entreprise de lobotomisation massive. Aucun Français ne doit échapper au rouleau compresseur du nouvel ordre moral, à commencer par les plus jeunes, comme dans toute bonne dictature (p. 88). Ainsi, « Les nouveaux programmes du lycée font donc une large place au rapport à l’altérité [pour] faire reculer les manifestations d’incompréhension, d’intolérance et de rejet de l’autre. » (p. 89) « les nouveaux programmes d’histoire présentent l’histoire de l’immigration comme partie intégrante de l’histoire nationale et européenne. L’enjeu est de construire un espace commun, définissant l’identité nationale dans toute sa complexité, sa richesse et ses interactions avec le présent. » (p. 90) « Chaque année, des manifestations, concours, commémorations, journées ou semaines d’action sont proposées en complément des enseignements. » (p. 92) Traduction : l’enjeu est de saper, de noyer, d’occulter et de détruire par tous les moyens l’identité et l’unité françaises, au nom de la « diversité » introduite par l’immigration voulue par le patronat et la gaucherie. Au lieu de rassembler sous la bannière de la France, il s’agit de laisser chacun planter celle de ses origines, tel un conquérant. L’école française n’a plus vocation à faire des élèves, quelles que soient leurs origines, de futurs citoyens français, fiers et prêts à défendre leur pays, mais à faire des petits blancs des êtres effacés, lâches et décérébrés, se disant « citoyens du monde », et des petits d’immigrés, des êtres schizophrènes, arrogants et revendicatifs. Plus que le « respect » dont on nous rebat les oreilles, elle apprend désormais aux uns l’oubli de soi, aux autres le « tout-m’est-du ». Et c’est au nom de l’antiracisme que les immigrés grands et petits, même français, ont droit à un régime à part et sont systématiquement ménagés (stigmatisés ?), et que la France s’adapte à eux au lieu de traiter les individus selon leur mérite et les citoyens en égaux ! Où est donc passée la République une et indivisible, égalitaire, laïque et démocratique ?
« Les profanations des lieux de culte sont une des formes classiques des violences racistes et antisémites, mais ce sont les symboles chrétiens qui sont de loin les plus visés, de 82 % à 90 % selon les années. En 2010, la mouvance d’extrême-droite néo-nazie a pu être mise en cause dans 26 actes antichrétiens [sur 522], 17 actes anti-musulmans [sur 57] et 7 actes anti-israélites [sur 42]. » (p. 51)
Ce « plan » contient par ailleurs des informations qui en démontrent l’inutilité et la perversité. Au regard des chiffres avancés dans les tableaux et graphiques pages 48, 50, 52 et 53, ce matraquage n’est justifié que par un nombre dérisoire de soi-disant actes racistes et antisémites (moins de 1600/an aujourd’hui, environ 600 en 1991, p. 48) et de condamnations (autour de 600/an, de 2005 à 2010, p. 50) pour un pays de 65 millions d’habitants. Ce qu’ils ne disent pas, sinon indirectement, c’est que 1) les actes (injures et violences) anti-français ou anti-blancs qui sont sans doute bien plus nombreux — à l’instar des profanations de lieux de culte chrétiens, 82 à 90 % des profanations (p. 51) —, car encouragés par l’antiracisme attitude, ne sont pas dénoncés ou comptés comme tels, puisque seuls les Blancs sont racistes (p. 53) ; 2) que les condamnations portent la plupart du temps sur des actes sans gravité et discutables (79 %, p. 51), vu l’inconsistance de la notion de racisme (p. 6) ; 3) que les actes antisémites sont essentiellement le fait de maghrébins, bien que le rapport s’acharne à focaliser l’attention sur « l’extrême-droite néo-nazie » ; 4) que les actes « racistes », qui concernent en tant que victimes des immigrés extra-européens ou leurs descendants, sont à peine plus nombreux que les actes antisémites (graph. p. 48 et 50) et sont donc proportionnellement beaucoup moins nombreux, puisque les juifs sont environ 500.000 en France, alors que les maghrébins sont au moins 15 millions ; 5) que l’antiracisme a été organisé par des associations communautaristes juives (LICRA et UEJF notamment) dans les années 1980 alors que racisme et antisémitisme étaient quasi inexistants (graph. p. 53). On ne peut qu’en conclure que les Français ne sont ni racistes ni antisémites ou le sont infiniment moins que certaines populations immigrées. A quoi rime donc tout cet appareil, cette propagande incessante et, au final, anti-française ?
Dans un autre rapport, le Haut Conseil à l’Intégration rappelle « qu’il est rassurant de constater que nos compatriotes sont très majoritairement ouverts à l’immigration [?] à la condition expresse qu’elle soit maîtrisée, ainsi qu’à la diversité ».
Toutes ces instances et associations antiracistes (« des centaines », p. 36) vivent sur la bête. Si le racisme n’existait pas, elles l’inventeraient et le verraient partout. C’est, du reste, à peu près ce qu’elles font. Plus elles se multiplient, plus le « racisme » prolifère selon elles. Or il est manifeste que la lutte contre le « racisme » s’intensifie à mesure que le nombre d’immigrés (en particulier extra-européens) et leurs descendants (toujours perçus comme des immigrés) augmente. Cette corrélation n’est par fortuite et le « plan » se garde bien de la relever. En fait, derrière les apparences, il s’agit moins d’œuvrer pour les immigrés (auquel cas il fallait s’y prendre autrement, en limitant l’immigration et en maintenant la politique d’assimilation, comme le rappelle involontairement le HCI) que de favoriser une immigration tous azimuts. Quoique ouverts de nature, il est donc fatal et légitime que les Français soient à la fois révoltés par la trahison de leur gouvernement qui, loin de s’opposer à cette invasion, l’organise, la couvre et la finance, et de plus en plus hostiles à cette politique devant l’ampleur et les ravages du phénomène. Cette opposition grandissante à l’immigration est justifiée (voir la Déclaration des droits des peuples autochtones, de l’ONU) et n’est généralement en rien du racisme (sentiment irrationnel) ou de la haine envers les immigrés. Aussi, pour la désarmer, les « antiracistes » doivent-ils calomnier, mentir, cacher la vérité, brouiller les repères et renverser les rôles. Mais rien n’y fait, et c’est en se présentant comme le rempart à l’immigration que M. Sarkozy, alias Kärcher-man, a été élu président en 2007. Des mots, du vent ! Ce plan révèle la liste interminable des lois, réunions, postes, organismes, prix, projets et initiatives bien-pensantes en tout genre adoptés ou créés sous son mandat et soutenus par lui pour lutter contre le racisme et l’antisémitisme, lutte qui, pourtant, est a priori le dada de la gaucherie. Cette dernière fait mine de tout ignorer. De vrais larrons en foire ! Mais il n’y pas de mystère.
Sarkozy, le chantre du métissage, forcé si nécessaire, est un mondialiste, tout comme la gaucherie : lui au nom de Largent, elle, au nom des droits de l’Homme (sous l’égide desquels ce plan est immédiatement placé, p. 5). Tous sont pour la libre exploitation… pardon, circulation et installation des personnes, donc pour l’immigration, donc contre les peuples en général et le « leur » en particulier. Ils ne peuvent cependant pas dire aux Français : « Nous sommes des négriers », ils préfèrent dire des patriotes : « Ce sont des racistes ! ». Le coup de la paille dans l’œil du voisin marche encore, aussi éculé soit-il, et les idiots regardent toujours le doigt. Mais leur coup de génie est assurément de se faire passer pour les « potes » des immigrés, alors qu’il n’y a pas plus raciste et colonialiste qu’eux. L’essentiel est que la masse gobe leurs sophismes suicidaires et que ceux qui ont des yeux ferment leur grande gueule. Entuber les uns, bâillonner les autres : c’est le but de ce plan. Malheureusement, être contre le « racisme » et pour l’immigration, c’est comme vouloir maigrir en bouffant Mc Do.
EXTRAITS ET COMMENTAIRES
« Le fléau du racisme et de l’antisémitisme fragilise en son cœur notre cohésion nationale et appelle d’abord une réponse répressive. » (p. 5) Autrement dit, l’hostilité grandissante des Français envers la politique d’immigration, donc quelque part envers les immigrés (naturalisés à tour de bras), fragilise la cohésion nationale. Mais n’est-ce pas prendre le problème à l’envers ? La cohésion nationale n’est-elle pas mise à mal par l’immigration massive aggravée par le renoncement à l’assimilation ? Dès lors, quel est le but de la « réponse répressive » à l’encontre des Français légitimement exaspérés si ce n’est de les faire taire pour poursuivre impunément la politique antinationale et désastreuse d’immigration ?
L’auteur de ce rapport rappelle l’article premier de la Constitution de 1958 : « La France… assure l’égalité devant la loi de tous les citoyens sans distinction d’origine, de race ou de religion », puis le préambule de la Constitution de 1946 : « le peuple français proclame à nouveau que tout être humain… possède des droits inaliénables et sacrés », et conclue : « Toute différence de traitement fondée sur l’origine, la race ou la religion est donc directement contraire à la Constitution » (p. 7). Problème, la Constitution garantit l’égalité devant la loi « des citoyens », pas de tous les hommes, même si elle reconnaît « des droits » (et non les droits du citoyen) à ces derniers. En « oubliant » de parler de la nationalité qui confère aux Français des droits dont ne peuvent jouir les étrangers (eux-mêmes citoyens d’autres pays), l’auteur permet de considérer comme une discrimination, donc du racisme ou de la xénophobie, le fait d’affirmer et de tenir compte des différences statutaires entre eux. Tout l’antiracisme est fondé sur des procédés aussi grossiers.
« La France ne reconnaît donc pas la notion de minorité ethnique ou religieuse. Les principes constitutionnels d’égalité entre les citoyens et d’unicité du “peuple français” excluent la reconnaissance des droits collectifs conférés à un groupe sur un fondement communautaire. » (p. 7) Les accommodements raisonnables et la « discrimination positive » sont donc illégaux en France et par nature stigmatisants. Ils sont pourtant légions et ceux qui les dénoncent sont traités de « racistes » et traînés devant les tribunaux par les associations « antiracistes » patentées. Et que lit-on page 8 ? Le Conseil supérieur de l’audiovisuel doit faire la « promotion de la diversité » (lois du 31 mars 2006). Une loi stigmatisante et raciste, voyez-vous ça ! Car à quoi renvoie le mot « diversité » si ce n’est à la notion de minorité ethnique ou religieuse ? La loi instituerait-elle le racisme qu’elle prétend pourfendre ? Mais que font d’autre, dans leur principe même, les lois contre le racisme et l’antisémitisme qui distinguent les Français juifs ou non-blancs, voient en eux des victimes en puissance et les autorisent à persécuter qui bon leur semble au nom de l’antiracisme ?
« Ainsi, la législation relative à la lutte contre le racisme et les discriminations liées à l’origine s’est-elle enrichie depuis plusieurs décennies de l’aggravation des peines, de l’élargissement des domaines d’application et de l’extension de la notion de discrimination. » (p. 8) Qui dénonce les discriminations faites par la loi en faveur des « minorités religieuses » que, pourtant, la loi ne reconnaît pas va donc être poursuivi par la loi elle-même au nom de la lutte contre les discriminations. Les valeurs étant inversées, il a été nécessaire d’étendre la notion de discrimination pour renverser les rôles et donner raison à ceux qui accusent à tort. CQFD
En fait, toute la tartufferie de l’antiracisme et par conséquent de ce plan tient dans les deux premières phrases : « L’égalité entre les hommes et la lutte contre toute forme de discrimination à raison des origines ethniques ou de la race est un engagement multiséculaire de la France et un élément constitutif de son identité. A peine plus d’un mois après le début de la Révolution, ce principe était posé dans la Déclaration des droits de l’Homme et du Citoyen du 26 août 1789 : « les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droit. » » (p. 5) Pas besoin d’être grand clerc pour deviner où l’auteur veut en venir avec ses gros sabots (Dès le deuxième paragraphe, nous avons droit aux « heures les plus sombres de notre histoire »). S’il est vrai que la Déclaration contient cette phrase (article premier), elle était loin d’avoir la portée que lui prête l’auteur de ce plan et, plus largement, le législateur.
Les contemporains de la Révolution n’avaient, pour la plupart, jamais vu autres choses que des Blancs (ce qui fut le cas des Français en général jusque dans les années 1960). Laisser entendre que la lutte contre les discriminations raciales était déjà obsessionnelle, alors qu’elle n’était pour eux que toute théorique, c’est soutenir l’impudence par le mensonge historique. Aujourd’hui comme hier, les « hommes » réels, côtoyés au quotidien, ne peuvent être que les concitoyens ou des étrangers (citoyens d’ailleurs), et les « révolutionnaires », malgré leurs déclarations et leur imprégnation de la théorie des doits naturels, compensaient leurs égarement intellectuels par un solide sens pratique ; ils ne concevaient d’égalité qu’entre citoyens, entre individus unis par le « contrat social ». Un étranger restait un étranger, à moins qu’il donne des gages à la patrie. La Constituante était si « antiraciste » — car c’est bien cela que l’on voudrait faire dire aux textes cités — qu’elle n’abolit pas l’esclavage, pas plus qu’elle n’abolit d’ailleurs les privilèges dans la nuit du 4 août. Il faudra pour cela attendre la Convention montagnarde qui, du reste, adopta une autre Déclaration tant la précédente était marquée du caractère aristo-bourgeois de ses auteurs. (Ce n’est sans doute pas un hasard si la Déclaration de 1789 sert toujours de référence, même à la gaucherie). La véritable révolution, au sens populaire, patriotique et démocratique, eut lieu en 1793 et non en 1789. C’est la constitution de 1793 qui fut la charte de la Gauche au XIXe siècle, pas celle de 1791. Alors, la République était en guerre contre toute l’Europe, et la notion de patrie en danger n’était pas une formule oratoire. La tolérance des révolutionnaires authentiques et de la Gauche historique n’alla pas jusqu’à la lâcheté devant l’invasion. Il faut croire que, contrairement à ceux qui se réclament vaguement de la Révolution pour trahir effrontément la France, ils n’auraient admis aucune forme d’invasion, ils n’auraient pas organisé l’invasion de leur propre pays, l’anéantissement de leur propre peuple. Et puisque l’on nous cite, pour nous en imposer, la Déclaration de 1789, citons à notre tour l’auteur de la devise de la République (Liberté-Egalité-Fraternité) et l’inspirateur de la Déclaration de 1793, excusez du peu, à savoir Robespierre : « Et comment Cloots [fils de baron allemand] pouvait-il s’intéresser à l’unité de la République, aux intérêts de la France ; dédaignant le titre de citoyen Français, il ne voulait que celui de citoyen du monde ». Citons aussi son ami Saint-Just : « Ne croyons pas les charlatans cosmopolites, et ne nous fions qu’à nous-mêmes ». Ces hommes étaient assurément d’une autre trempe que celle des mondialistes, autrement dit de l’anti-France, avançant perfidement sous la bannière des droits de l’homme et de l’antiracisme.
On notera aussi la formule modérée présentant l’antiracisme comme « un élément constitutif de son [la France] identité », rappel en apparence anodin mais insistant dont le but est d’offrir un tremplin aux antiracistes et à leur modération légendaire, qui auront tôt fait de réduire l’identité de la France à l’antiracisme afin de désarmer moralement le peuple français par des sophismes et de l’anéantir physiquement par l’immigration et le métissage… au profit de qui ? de quoi ?
La Charte européenne interdit toute discrimination fondée sur le sexe, la race …, « les opinions politiques ou toute autre opinion, etc.. » (p. 18) Encore une belle formule sans effet ou, plutôt, à sens unique. Ils suffit de diaboliser une opinion politique pour que quiconque la partage soit discriminé sous les applaudissements des bien-pensants. Ainsi, où étaient l’Europe et les antiracistes quand le syndicaliste Engelmann a été exclu de la CGT, ainsi que toute sa section, au seul motif qu’il était membre du Front National ? Ils hurlaient avec les loups.
GRAPHIQUES
ACTIONS VIOLENTES (p. 53)
ACTES RACISTES (p. 48)
PROFANATIONS (p. 52)
17:19 Écrit par Philippe Landeux dans 6. MON BLOG | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | | Imprimer |
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