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lundi, 26 août 2013

PENSEE DU JOUR : les voiles

Le voile n'est pas français.

Il n'y a rien à ajouter.

12:39 Écrit par Philippe Landeux dans 6. MON BLOG, 7.1. PENSEES DU JOUR | Lien permanent | Commentaires (14) |  Facebook | |  Imprimer |

Commentaires

Bravoooo !!! oui je suis entièrement d accord avec toi ! :)

Écrit par : la jacobine | lundi, 26 août 2013

Salut,
Bien que le voile ne soit pas français, il est illégitime de l'interdire.
Est-ce l'origine géographique d'un comportement qui en fixe le droit ? Non. La loi n'a pour origine ni l'ancienneté d'un comportement ni son origine ; elle se doit d'interdire ce qui est nuisible au bien commun, ce qui contraint illégitimement autrui. Elle ne doit avoir aucune prise sur ce qui relève de l'appartenance culturelle. Chacun est libre de revendiquer une appartenance culturelle autre que celle de la majorité, si celle-ci n'est pas en contradiction avec la liberté d'autrui.
Un individu est libre d'avoir l'apparence qu'il souhaite, de penser ce qu'il veut de la nation dans laquelle il réside, de ne pas en respecter les habitudes sociales et même de la haïr ; ses pensées lui appartiennent et la loi n'a d'emprise sur elles ou sur leur expression - non contraignante pour autrui - que dans un régime fasciste.

Écrit par : Atifan. | mercredi, 28 août 2013

C'est comme si moi je portais un maillot de bain et vais à la mosquée !!! C'est sûr et certain que j aurais été refoulée sauvagement de la mosquée, de plus si je côtoyais les voilées, et que moi je laisse mes cheveux libres dans le vent, va-t-on me laisser libre ou m'interdire ?????????????????????? >

Écrit par : la jacobine | jeudi, 29 août 2013

"elle se doit d'interdire ce qui est nuisible au bien commun" Précisément. La préservation du bien commun nécessite parfois que la loi interdise certaines fantaisies individuelles, celles qui suscitent des divisions et l'hostilité entre concitoyens, sans parler de celles qui sont contraires à la loi. Certaines (pas toutes) pratiques étrangères sont du nombre. Le voile en est aussi. Si vous n'avez pas remarqué que cette coutume (étrangère) irrite les Français au plus au point, suscite l'hostilité envers les musulmans et nous conduit tout droit à une guerre civile, c'est que vous ne comprenez rien, c'est que vous avez une conception démente du bien commun.

Il suffit du reste de lire la suite de votre commentaire, et toutes vos contradictions, pour comprendre que vous manquez du bon sens le plus élémentaire. : "Un individu est libre d'avoir l'apparence qu'il souhaite, de penser ce qu'il veut de la nation dans laquelle il réside, de ne pas en respecter les habitudes sociales et même de la haïr ; ses pensées lui appartiennent et la loi n'a d'emprise sur elles ou sur leur expression - non contraignante pour autrui - que dans un régime fasciste." C'est ainsi que vous préservez le bien commun, en tolérant au sein de la communauté des individus qui la haïssent et aspirent à sa ruine ?

Quelle communauté survivrait avec votre conception de la communauté ? Ce n'est même pas la conception des étrangers que vous croyez défendre !

Écrit par : Philippe Landeux | mercredi, 28 août 2013

Outre quelques facilités rhétoriques que je passerai ( "toutes vos contradictions", que vous qualifiez de telles sans exposer l'hypothétique raisonnement qui vous a mené à cette conclusion ), il convient ici de préciser quelques points, qui sont assez intéressants.

Le but de l'Etat, si il est un, est de garantir, par le droit, l'intérêt général ( je ne doute point que tu saches ces choses là, mais il s'agit d'un postulat important à mettre en place ).
L'intérêt général consiste en la libération de l'individu, par la force collective, de toute contrainte illégitime que pourrait lui infliger tout autre individu ou groupe d'individus, afin de garantir l'autonomie, la capacité pour chaque individu à vivre selon ses propres normes, et donc, la liberté ( qui passe par l'Egalité en droit de chacun ).

Tel est le rôle de la loi fixée par l'Etat ; une loi qui retirerait à la population la liberté d'accomplir une action, alors que celle-ci ne contraint pas autrui, ferait perdre son statut d'Etat à l'assemblée des individus qui constituent le droit, et ferait basculer ces derniers et la population dans une relation maître/esclave, puisque le groupe législateur s'arrogerait le droit de décider de la conduite de la population sans se référer à son intérêt.

Ici, en ce qui concerne le voile, c'est le cas.

Supposons un individu A qui entre en relation avec un individu B. A se fait agresser par B. A est contraint injustement par B qui limite sa liberté de circuler sans recevoir de blessures. La loi doit donc interdire l'acte d'agresser.
Maintenant, supposons B voilé. A peut entrer en contact avec B sans être contraint par lui. A ne peut identifier B, mais cela ne le contraint aucunement. A voit que B ne porte pas le même type de morceaux de tissus pour se vêtir que lui, mais il peut continuer à exercer sa pleine liberté sur le monde qui l'entoure.
La loi ne doit donc pas interdire l'acte de porter le voile.

Il est possible que A se montre intolérant face à B qui ne lui ressemble pas. Mais est-ce pour cela que la collectivité doive contraindre B ? Etre différent ne contraint personne. Etre différent montre simplement pour un individu qu'il refuse d'être identifié à un groupe d'individus, mais ce n'est pas pour cela qu'il ne les respecte pas. Alors peut être que cela "irrite des français", je ne le nie pas. Personnellement, les gens stressés m'irritent, et ce doit être le cas d'une part non négligeable de français, vais-je pour autant interdire le stress ? La loi ne doit pas tenter de satisfaire les désirs de la population, mais de les libérer des contraintes objectives, qui portent objectivement atteinte à leur liberté. Et on a vu que dans le cas qui nous intéresse, porter le voile ou être stressé ne contraint personne, il ne tient qu'à moi d'être tolérant envers l'expression d'une différence. Doit-on interdire l'acte de s'habiller en cow-boy, en Apache ou en Dark Vador ? Dans ce cas, il faudrait définir comment il convient de s'habiller. T-shirt obligatoire ? Ou bien chemise ? Le droit de port de la casquette et des lunettes de soleil fera alors débat.
On voit bien que cela ne se tient pas ; chacun peut légitimement choisir son apparence vestimentaire, et l'Etat ne peut pas, sous peine de perdre son statut d'Etat, imposer une manière de se vêtir, ou en interdire une. La loi doit condamner les actes qui contraignent la liberté d'autrui ( interdiction de voler, de tuer, ou encore de posséder plus d'une certaine quantité de patrimoine par exemple, ou d'imposer une croyance aux autres ), pas ceux qui peuvent déplaire à autrui par rejet de la différence.

Maintenant, on peut dire qu'il faut interdire le voile pour protéger les femmes de la contrainte d'être voilée. Mais va-t-on interdire les couteaux sous prétexte que l'on peut s'en servir pour tuer ? Il faut trouver d'autres solution en ce qui concerne l'émancipation des femmes, mais il est contre productif d'interdire un acte dans l'absolu pour une modalité particulière de mise en oeuvre de cet acte.

Écrit par : Atifan | mercredi, 28 août 2013

Une communauté se définit par des traditions spécifique. Que tous les individus ne suivent pas ces traditions est une choses. Mais que certains, surtout d'origine étrangère, suivent d'autres traditions montrent qu'ils appartiennent à une autre communauté et se coupent d'eux-mêmes de la communauté nationale. Quand encore ces traditions étrangères se heurtent pas les traditions locales, cela peut passer. Mais dans le cas contraires, ceux qui s'y attachent suscitent à bon droit l'hostilité envers eux. Des étrangers n'ont aucune légitimité à faire ce que bon leur semble dans le pays d'accueil et à créer des tensions. On ne peut pas à la fois appartenir à une communauté et y être étranger voire s'en montrer l'ennemi. C'est l'un ou l'autre.

L'Etat est le garant (en théorie) de l'intérêt général et de la paix civile. C'est sous ce dernier rapport que je condamne le voile et autres pratiques étrangères et parfaitement illégitime en France qui, à terme, nous conduisent tout droit à la guerre civile. Vous ne voyez les choses qu'à court terme et argumentez à coups de sophismes. Mais la politique, c'est aussi prévoir. Et les tendances qui se dessinent aujourd'hui, fruit de la politique (immigrationniste et individualiste) menée depuis quarante et que vous cautionnez, indiquent que les tensions ne vont faire que s'exacerber jusqu'à l'explosion. Cette politique et tous ceux qui la soutiennent seront responsables de ce qui va arriver.

Allez donc sortir votre discours dans les pays dont sont originaires les immigrés dont vous prenez la défense. Ils vous diront qu'ils sont maîtres chez eux et que soit vous pliez soit vous dégagez. Et ils auront raison.

Écrit par : Philippe Landeux | mercredi, 28 août 2013

Tu as raison en ce qui concerne les communautés : certaines personnes se reconnaissent comme faisant partie d'un ensemble humain comprenant habitudes et traditions. Est-ce pour cela qu'il faut y attribuer une valeur juridique ?
Tout type d'organisation humaine ne débouche pas légitimement sur l'instauration d'un droit, encore une fois s'il ne s'agit pas d'écarter une contrainte pour libérer l'individu.
Libre à certaines personnes de se reconnaître en une communauté, mais libre à chacun de décider de ne pas en faire partie.
Avant de faire partie d'une communauté, une personne est un individu unique avec des droits qui sont ( si ils sont fixés par l'Etat ) indépendants de son appartenance, qu'il est libre de choisir ou non.
La guerre civile est due à l'intolérance des communautés entre elles ( et je suis d'accord avec toi sur le constat que les étrangers ne sont pas plus intelligents que les français sur ce point, loin de moi l'idée de les défendre ), non pas à l'existence de différentes communautés : deux individus de deux communautés différentes ont le choix entre communiquer et s'enrichir chacun des caractéristiques de l'autre, ou alors se haïr sous prétexte qu'ils ne sont pas de la même communauté. Ils ont le CHOIX de l'attitude à adopter, ce qui signifie qu'il n'y a pas de rapport nécessaire entre les propositions "faire partie de communautés différentes" et "être hostiles ou en conflit", tout dépend de l'attitude adoptée. Cependant, il y a un rapport nécessaire entre les propositions "être hostile envers les individus d'une autre communauté" et "favoriser le conflit civil". Ce qu'il faut donc interdire, ce n'est pas l'existence de communautés minoritaires, car cela ne débouche pas objectivement sur de la contrainte illégitime pour les individus, mais l'expression d'hostilité envers les autres communautés ( et donc la discrimination et l'interdiction de pratiques différentes ).
Si les français communautaires laissaient les musulmans agir comme ils souhaitent ( lorsque cela ne contraint pas autrui ), alors ceux-cis ressentiraient moins d'hostilité vis-à-vis des français communautaires et ne ressentiraient pas le besoin d'accentuer leurs attraits culturels de manière ostentatoire par réaction, et ainsi de suite. En voulant favoriser la paix sociale en interdisant des pratiques communautaires minoritaires, tu prônes la création d'un cercle vicieux qui fait que chacun va de plus en plus se retrancher derrière des coutumes et attraits futiles et risibles pour marquer de la différenciation communautaire, et CA est un vecteur de conflit social.
Le port du voile n'est donc pas cause de conflit social, mais l'interdiction du port du voile l'est.

Écrit par : Atifan | mercredi, 28 août 2013

Nous ne partons pas des mêmes postulats. Pour moi : 1) Les Français (de souche) sont chez eux ; ce sont les seuls légitimes pour dire le droit en France. Des gouvernements traîtres nous ont noyé sous l'immigration, mais cela ne change rien à l'affaire. Les populations importées par trahison ne sont pas légitimes, encore moins lorsqu'elles refusent de s'adapter. 2) Il n'y a de légitime en France que la communauté nationale française. Le communautarisme est une création artificielle sous l'effet à la fois de l'immigration et de l'abandon de la politique d'assimilation (1981). Les communautés étrangères ne sont pas sur un pied d'égalité avec la communauté nationale. Elle sont étrangères. Elles n'ont pas le droit de cité. Elles ne devraient même pas exister.

Entendons-nous bien. Je ne suis pas contre les étrangers. Je dénie aux étrangers l'égalité avec les Français en France. On a le droit de se sentir étranger en France, de se sentir appartenir à un autre peuple (pays). Mais alors on n'a pas celui de revendiquer les mêmes droits que les Français. Il est de même absurde de faire passer les individus concernés pour des français alors qu'eux-mêmes ne se pensent pas comme tels.

Pour reprendre ce que vous dites :

"certaines personnes se reconnaissent comme faisant partie d'un ensemble humain comprenant habitudes et traditions. Est-ce pour cela qu'il faut y attribuer une valeur juridique ?"

Oui, puisque être français confère des droits, dont celui de cité. Reconnaître le droit de cité, c'est-à-dire de participer à la formation des lois, à des gens qui ne se sentent pas appartenir à la cité en question est aberrant pour ne pas dire que c'est une trahison.

"Libre à certaines personnes de se reconnaître en une communauté, mais libre à chacun de décider de ne pas en faire partie." Précisément. Si elles ne veulent pas en faire partie, pourquoi décréter qu'elles en font partie.

"Avant de faire partie d'une communauté, une personne est un individu unique avec des droits qui sont (si ils sont fixés par l'Etat) indépendants de son appartenance, qu'il est libre de choisir ou non." Pas d'accord du tout. Je rejette catégoriquement la théorie des droits naturels. C'est l'appartenance à une société qui fait un homme, un être civilisé différent d'un animal. Un homme est donc imprégné par les idées de sa société et de son siècle. C'est de même le fait qu'il appartienne à telle société qui fait qu'il a ou non tels droits. On peut déclarer tous les droits que l'on veut dans l'absolu : en pratique, il n'y a pas de droits sans société, donc les citoyens n'a que les droits que sa société reconnait et garantir.

"je suis d'accord avec toi sur le constat que les étrangers ne sont pas plus intelligents que les français sur ce point" Je n'ai jamais parlé d'intelligence.

"La guerre civile est due à l'intolérance des communautés entre elles, non pas à l'existence de différentes communautés." Non, la guerre civile sera due à ceux qui auront favorisé la création du communautarisme par l'importation d'immigré et le rejet de l'assimilation. Encore une fois, les communautés étrangères n'ont aucune légitimité en France. C'est un sophisme que de les placer sur un pied d'égalité avec la communauté nationale (ou les Français).

"deux individus de deux communautés différentes ont le choix entre communiquer et s'enrichir chacun des caractéristiques de l'autre, ou alors se haïr sous prétexte qu'ils ne sont pas de la même communauté." Nous ne sommes pas en train de parler de gens appartenant à des pays et des communautés différentes, mais de gens ayant recréer à l'intérieur de leur pays d'accueil un semblant de leur communauté d'origine et qui se comportent donc en colons, donc en ennemis potentiels. Dans ce cas, il n'y a pas à discuter.

"Ils ont le CHOIX de l'attitude à adopter, ce qui signifie qu'il n'y a pas de rapport nécessaire entre les propositions "faire partie de communautés différentes" et "être hostiles ou en conflit", tout dépend de l'attitude adoptée." Non, un immigré doit se comporter en invité et se plier aux exigences de son hôte. Ce n'est pas à lui de dicter les règles. Il est vrai que si les immigrés aroabo-africains (je précise, car les immigrés européens ont été soumis aux lois de l'assimilation) ont pris beaucoup de libertés, c'est parce que nos gouvernement le leur ont permis. C'est pourquoi je condamne les gouvernements en premier lieu.

"Ce qu'il faut donc interdire, ce n'est pas l'existence de communautés minoritaires, car cela ne débouche pas objectivement sur de la contrainte illégitime pour les individus, mais l'expression d'hostilité envers les autres communautés ( et donc la discrimination et l'interdiction de pratiques différentes )." Ca, c'est le blabla antiraciste. On fait venir des gens et on interdit aux autochtones d'être mécontents. Non, les Français sont chez eux et ils ont le droit de préserver leur pays. ceux qui leur contestent ce droit, qu'ils reconnaissent par ailleurs à tous les peuples de la Terre, sont soit des crétins, soit des traîtres à leur propre peuple. Remarquez d'ailleurs au passage que votre politique revient à persécuter les Français au nom des étrangers indélicats (je précise "indélicats", car ce ne sont pas tous les étrangers qui suscitent le rejet, mais bien ceux qui se moquent d'eux et se comportent comme en pays conquis). Eh bien ! cette attitude (persécuter ses compatriotes au nom des étrangers) porte un nom : la collaboration.

"Si les français communautaires laissaient les musulmans agir comme ils souhaitent (lorsque cela ne contraint pas autrui), alors ceux-ci ressentiraient moins d'hostilité vis-à-vis des français communautaires et ne ressentiraient pas le besoin d'accentuer leurs attraits culturels de manière ostentatoire par réaction, et ainsi de suite." Excusez-moi, mais vous n'avez rien compris. D'abord, les Français ne sont pas communautaires, ils ne sont pas une simple communauté : ils sont la communauté nationale, ils sont la France. La communautarisme (étranger) est précisément le fruit de l'abandon progressif du patriotisme qui a amené une partie des immigrés à retrouver parmi leurs congénères le sentiment d'appartenance et de fierté que la France n'offrait plus. Votre diagnostic est totalement biaisé. Vous prônez comme remède la politique qui a créé les maux. C'est sans fin, naturellement, et c'est cela qui conduit à la guerre civile.

Écrit par : Philippe Landeux | jeudi, 29 août 2013

La fragilité de ton postulat explique certainement les raisonnements lacunaires qui suivent.
"1) Les Français (de souche) sont chez eux ; ce sont les seuls légitimes pour dire le droit en France.". Très intéressant. La notion de français de souche ne renvoie à rien d'objectif, et une entité non objective n'a pas de valeur juridique. En effet, d'un point de vue biologique, il est prouvé depuis longtemps que tous les hommes appartiennent à la même espèce, et qu'il n'y a pas de subdivision du genre humain. Je suppose qu'alors tu rattaches la notion de français de souche avec l'origine des ancêtres. Examinons. Si mes ancêtres sont français depuis 50 générations, alors je suis plus français que celui dont les ancêtres ne le sont que depuis 10 générations ? ou 2 générations ? Mais qu'est-ce qu'avoir des ancêtres français ? Les frontières actuelles de notre pays sont extrêmement récentes. De plus, il n'y a pas de peuple français stable dans le temps, grâce aux grands courants migratoires qui ont traversé l'histoire et façonné l'humanité. Humanité qui elle même est apparue en Afrique de l'Est, pour ensuite rejoindre l'Europe et l'Asie. Conclusion ? Il n'y a pas de "français de souche" et "d'étrangers", il y a une Humanité, qui est Africaine de souche, si l'on s'en tient à la définition de l'origine des ancêtres.
Ensuite, tu comments l'erreur d'identifier un individu à ses ancêtres.
En quoi le petit français qui nait en France et dont les ancêtres vivent sur le sol français depuis 15 générations est différent du petit Français d'origine Africaine dont les parents sont en France depuis 15 ans ? En rien. Ce sont deux individus n'ayant AUCUNE caractéristique pré-définie, deux individus en devenir. Ils sont exactement identiques et porteur de la même valeur absolue ( qui découle de leur potentielle conscience d'eux-même et donc de leur potentielle transcendance à accomplir ). Et quand bien même l'un serait né en France, et l'autre en Asie mineure, quelle différence ? Ce sont deux petits Humains en devenir, qui ont la même valeur intrinsèque. Donc un petit étranger nouveau né à autant de légitimité à représenter ce qu'est la France que le petit français : il n'y a pas de concept absolu et intemporel de ce qu'est la France, ses coutumes et sa population. La France est ce qu'elle est à l'instant ou on en parle, et il est dangereux de regretter un soit-disant passé idyllique de français "pure souche", dans laquelle tout le monde agirait et penserait de la même manière, uniformément ( ce que l'on nomme les "coutumes" et les "us" ). Par exemple, aujourd'hui, la religion musulmane est aussi française que la religion catholique, car elles cohabitent, et que la France est renouvelée à chaque génération : il n'y a pas de lien mystique qui lie un individu à des ancêtres en en fait le membre d'une prétendue lignée. Chaque individu vie en France depuis maximum 95 ans de plus qu'un étranger nouveau né, cela ne lui donne aucun droit de plus sur lui.
Ce qui en découle, c'est que les membres d'un Etat, et donc ceux qui en théorie fixent le droit, ne le sont que à partir de considérations spatiales, et non raciales, car comme on vient de le voir, il n'y a pas de français de souche, et un français est en France depuis aussi longtemps qu'un étranger en moyenne, il n'y a pas de "droit du premier occupant" en vigueur en ce qui concerne l'Etat. Si j'habite en France ( suffisamment pour participer à la société évidemment ), alors je peux fixer le droit auquel je suis soumis comme tout le monde. Sinon, si une partie de la population s'arroge le pouvoir de fixer elle seule le droit sous prétexte qu'elle se reconnait comme constituant une communauté, ce que tu évoques, alors elle n'est plus un Etat, mais un groupe arbitraire qui fait la loi par la force, car elle soumet à sa loi ceux qui ne l'ont pas élaborée ( à savoir les autres communautés ). Ceux qui produisent le droit sont ceux qui y sont soumis, sinon il n'y a plus de droit mais un esclavage par la force. Il n'y a donc pas d'Hommes plus légitimes que d'autres pour fixer le droit, et si cela se produit, le droit devient force, et n'est plus légitime.

"Des gouvernements traîtres nous ont noyé sous l'immigration, mais cela ne change rien à l'affaire. Les populations importées par trahison ne sont pas légitimes, encore moins lorsqu'elles refusent de s'adapter."
Les mouvements migratoires, comme rappelé plus haut, font partie de l'Histoire de l'Humanité, ce n'est pas une nouveauté...
Si les humains de chaque pays se reproduisaient uniquement entre eux sur plusieurs générations, on aurait ce qui s'appelle en biologie un phénomène d'échantillonnage suivi d'une dérive génétique, ce qui conduirait à une spéciation nouvelle dans chaque pays à long terme... Ce qui n'est pas le cas ( et pas souhaitable ). D'un point de vue économique ( immgiration = +12 milliards de recettes en moyenne chacune de ces 5 dernières années ), biologique, culturel, l'immigration est et à toujours été un vecteur d'enrichissement.
Et les populations immigrées n'ont pas à s'adapter, à cesser d'être elles-mêmes pour tenter de ressembler aux gens qui étaient là maximum 90 ans avant eux, ce qui ne représente rien du tout, leurs habitudes de vie sont autant valables que celles de autres.

Une fois ton postulat (1) tombé, tu constatera par toi même, en essayant de réfléchir sans passion ni préjugé afin de ne pas fausser ton jugement, que le postulat (2), qui en découle, est infirmé de même, et que par définition, lorsque le postulat est faux, le reste du raisonnement s'écroule de lui-même. Tu peux vérifier, le reste des préjugés que tu avances sont réfutés ci-dessus ou alors dans mes messages précédents.
( évidemment si tu as encore des doutes je peux continuer mes explications ).

En espérant t'avoir aidé et libéré d'idées préconçues qui parasitent l'ensemble de tes représentations,

Atifan.

Écrit par : Atifan | jeudi, 29 août 2013

Arrête de te fatiguer et de me vendre tes salades. J'ai bien compris que tu te prends pour un citoyen du monde. Tant mieux pour toi. Vas donc vendre tes salades ailleurs. Vas expliquer aux Espagnols, aux Algériens, aux Italiens, aux Marocains, aux Russes, à tous les peuples de la Terre, qu'ils n'existent pas et que le premier venu, toi par exemple, est aussi légitime qu'eux et a le droit de leur donner des lois.

Je ne vais pas m'épuiser à démonter toutes tes niaiseries et à rappeler les préceptes de simple bon sens (genre à Rome fait comme les Romains). Mais je redis simplement que c'est ce déni de réalité, à l'oeuvre depuis 40 ans, qui nous conduit à la catastrophe.

Écrit par : Philippe Landeux | jeudi, 29 août 2013

Il est facile de qualifier de "salades" des faits que tu ne peux réfuter. Ce qui est plus difficile, c'est d'accepter de mettre de côté son carcan idéologique rempli de préjugés et d'essayer de comprendre le raisonnement d'un autre et se faire un jugement indépendant d'idées non examinées. Tu fais ce que tu veux, je t'ai donné tous les élements à méditer pour examiner ta pensée, la sous-peser et la remettre en question.
Tu peux continuer de passer à côté en les qualifiant de salades, mais c'est une attitude stérile, et c'est dommage pour toi.
Salut à toi !

Écrit par : Atifan | jeudi, 29 août 2013

« Le territoire français est le patrimoine commun de la nation. […] »
Code de l’urbanisme, article L. 110, loi [socialiste !!] 83-8 du 7 janvier 1983.

« Le concept juridique de "peuple français" a valeur constitutionnelle. »
Conseil constitutionnel, décision 91-290 DC du 9 mai 1991. « Les décisions du Conseil constitutionnel ne sont susceptibles d'aucun recours. Elles s'imposent aux pouvoirs publics et à toutes les autorités administratives et juridictionnelles. » (Constitution, article 62, alinéa 3).

« La langue de la République est le français. »
Constitution de 1958, article 2, révision de juin 1992.

Écrit par : Courouve | jeudi, 29 août 2013

On comprend toute l'arnaque de ceux qui considèrent le voile comme légitime en France en disant qu'un Français de souche n'existe pas, en conséquence de quoi un étranger d'origine a autant de droits qu'un autochtone.

C'est de la sophistique pure qui se réfute par le simple fait que l'Europe est la seule région du monde qui doit subir cette infamie qui consiste à mettre les Extra-continentaux d'origine sur un pied d'égalité avec les autochtones.

Allez mettre des Noirs et des Arabes en grande masse en Chine, faites une émission télévisuelle en disant qu'ils sont autant chinois que les vrais chinois, et l'on vous rira au nez.

Cette rhétorique aurait éventuellement une signification si tous les peuples du monde adoptaient simultanément ce principe égalitaire, ce qui n'est pas du tout le cas.

Les étrangers d'origine ne sont invités en France que par la politique qui trahit le peuple, et non pas par le peuple lui-même, le peuple français n'a jamais donné son consentement pour être envahi.

Il est facile de voir que si la politique lutte contre les discriminations, à aucun moment elle ne se pose la question de savoir pourquoi il y en a, et ce, parce que si elle se posait la question, elle devrait considérer les discriminations comme légitimes, ce qu'elle ne veut pas faire.

En effet, l'invasion est viol, la France est violée, l'Europe est violée par une immigration massive indésirée qui tourne à l'invasion.

Or, le violé a de toute éternité le droit de discriminer le violeur.

http://contrelabienpensance.blog.fr/2012/01/27/vous-subirez-ce-viol-l-invasion-12541523/

Le voile n'a rien à voir avec la religion, c'est une déclaration de guerre qui ne dit pas son nom, sa signification exacte est la suivante : “je ne suis pas française, je ne veux pas l'être, je suis chez moi chez toi, et je t'emmerde”.

C'est une agression visuelle permanente insupportable.

Au nom de quelle philosophie ai-je à connaître l'appartenance communautaire d'une personne dans la rue ?.

Est-ce que je porte, moi, un T-Shirt sur lequel est écrit “Je suis athée et je vous emmerde” ?

La croyance d'un individu devrait ne regarder que lui, on ne devrait pas arborer dans la rue un quelconque particularisme, encore moins quand il est étranger à la nation, c'est un militantisme exacerbé très pénible pour ceux qui subissent cette offense à longueur de journée.

Ces gens profitent simplement du fait qu'on n'a pas le droit de se défendre, l'immigration-invasion que la France doit subir au nom d'une nouvelle religion appelée antiracisme, est une guerre d'un nouveau type où l'agressé n'a pas le droit de se défendre.

Bien à vous

Écrit par : Contrelabienpensance | mardi, 17 septembre 2013

Le voile veut aussi dire :
Je suis musulmane et je suis une chasse gardée pour musulmans.

Écrit par : redon | samedi, 28 septembre 2013

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