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dimanche, 15 mai 2011

UNE VRAIE POLITIQUE D’ASSIMILATION

Après l'heure, ce n'est plus l'heure.

En novembre 2005, à la suite des émeutes dans les banlieues, j’avais exposé sur le forum des 4 Vérités les mesures qui, selon moi, devaient être adoptées d’urgence. Pourtant, il était déjà trop tard à l’époque pour que, même adoptées, ces mesures résolvent le problème majeur, le problème identitaire, posé par l’immigration massive et continue. Ces mesures, quoique toujours sensées, sont d’autant plus vaines aujourd’hui. Il est cependant intéressant de les rappeler pour montrer le gouffre qui existe ce que l’on aurait du faire au bon moment et ce que la politique n’ose toujours pas faire alors que ces minimums requis sont déjà obsolètes. Il est également intéressant de les rappeler pour montrer que le discours sur l’immigration se radicalise en raison de l’aggravation de la situation et non par xénophobie.

1. Définir l’identité française et les principales lois de la République.

Cette mesure a donc été proposée des années avant que Sarkozy lance le débat sur l'identité nationale via le ministère de l'immigration créé par lui et qui, dans son optique, n'était qu'une opération d'enfumage. Ainsi, de toutes ces mesures indispensables, la première seule a été envisagée et aussitôt abandonnée.

2. Faire renaître en France le patriotisme — apprendre aux Français, petits et grands, ce qu’est la France ; supprimer les jours fériés à connotation religieuse et leur substituer des jours commémorant les hauts faits de la République et de l’Humanité ; imposer à toutes les entreprises d’arborer un drapeau tricolore ; faire de la fête nationale une vraie fête populaire et républicaine, etc..

3. Stopper ou limiter au maximum l’immigration.

Sarkozy avait promis des choses dans ce domaine. Ce n'était que des mots. L'immigration a explosé sous son égide.

4. Prendre en charge, instruire et éduquer les immigrés arrivant (leur apprendre la langue, les institutions, la politesse, les devoirs et les interdits) jusqu’à ce qu’ils soient reconnus aptes à voler de leurs propres ailes et capables de s’intégrer. — Le mieux serait bien sûr de n’accepter comme immigrés que des individus maîtrisant déjà la langue française et ayant ou acceptant d’adopter les mœurs de la France.

5. Interdire, sous peine de bannissement de toute la famille, le port du voile islamique en France, la polygamie, l’excision.

Il y a loin entre cette mesure vigoureuse et les timides lois contre le voile.

6. En finir avec le regroupement familial.

7. Aider efficacement les pays foyers d’émigration à se développer — par rapport à leur propre niveau de développement — et former les immigrés pour les inciter à rentrer chez eux et qu’ils soient les principaux acteurs de cette aide.

8. Donner à tous les futurs parents des cours d’éducation.

Il va sans dire que ces cours ne distilleraient pas une idéologie gauchiste plaçant les parents au niveau de l'enfant, fondée par des éducateurs ayant eux-mêmes été bercés trop près du mur. Il s'agirait de leur apprendre à être fermes afin qu'ils soient de véritables tuteurs. Il faut arrêter de faire croire qu'aimer  et respecter l'autre, c'est tout lui permettre et accepter tout de lui. Ne jamais intervenir suppose au contraire l'indifférence et la démission et engendre l'anarchie et des égocentriques. La devise de parents dignes de ce nom est "Qui bene amat bene castigat" (qui aime bien châtie bien).

9. Renvoyer dans leur pays, aussitôt leurs études finies, les étudiants africains et nord-africains venus étudier en France ; leur assurer une aide, une seule, si possible autre que financière, et s’ils le demandent, pour la mise en œuvre de leur premier projet.

10. Interdire de donner un prénom autre que français à un enfant né en France.

11. Faciliter les démarches pour changer de prénom et de nom.

Voir l'importance des prénoms.

12. Traduire autant que possible les mots anglais et interdire l’usage d’anglicismes dans la publicité et toutes les autres formes de communication.

13. L’Etat est étranger à toute religion ; mais aucune ne doit être étrangère en France et inaccessibles aux Français. Tout culte, dans toutes ses parties, doit être célébré en Français ; tout livre dit sacré doit être traduit en Français.   

Le but est évidemment que les fidèles ne forment pas, selon leur origine, une communauté distincte de la communauté nationale. Ceci explique qu'il soit possible de faire une exception pour les cultes célébrés dans une langue morte qui ne désigne pas les fidèles comme faisant partie d'un peuple étranger.

14. Aider les parents à tenir leurs enfants : instituer des services à cette fin et commencer par arrêter de poursuivre les parents qui donnent une gifle à leur gamin.

15. Renforcer la sécurité (en classe, dans la cour et autour de l’école) et augmenter le personnel dans les établissements scolaires sensibles (qu’il y ait au besoin deux adultes pendant la classe).

16. Réduire le nombre d’élèves par classe.

17. Restaurer le respect envers les enseignants (en commençant par leur apprendre à imposer leur autorité et à se faire respecter).

18. Restaurer l’uniforme (fourni par l’école) jusqu’au lycée compris.

19. Instituer des cours de soutien obligatoire pour les élèves en difficulté.

20. Inspirer le patriotisme aux élèves (drapeau dans chaque classe, levé des couleurs et chant de la Marseillaise tous les lundi matin, cours d’instruction civique, de droit et d’histoire française, etc.), ce jusqu’à la Terminale.

21. Repousser à 21 l’âge de la majorité en ce qui concerne l’hébergement que les parents doivent assurer à leur enfant.

22. Afficher, dans tous les lieux publics, en grand, certaines lois, les peines encourues, et suivant l’objet, des numéros d’appel.

23. Sanctionner sévèrement (par le bannissement pour les adultes) le racisme anti-français et les insultes à la France. [J'ajoute aujourd'hui : déchoir de la nationalité et bannir quiconque déshonore le nom Français, quiconque se réclame d'une autre nationalité ou déclare mépriser la nationalité française.]

Cette mesure ne concerne pas que les immigrés mais bien tous les coupables de pareils actes.

24. Instituer des peines spécifiques et hautement dissuasives pour les délinquants juvéniles.

25. En finir avec le favoritisme officieux dont font souvent preuve les services publics envers les immigrés, favoritisme notoire qui fait des immigrés des assistés, des individus à part, et leur attire la haine ou le mépris des Français.

26. En finir avec l’angélisme, le misérabilisme, l’humanisme larmoyant, le mensonge, l’aveuglement, le politiquement correct et les demi-mesures. Discréditer, par une vaste campagne politico-médiatique, de droite comme de gauche, tout ce qui caractérise ce que l’on appelle les « racailles », à savoir : le rap, la tenue casquette-survêt-baskets et l’argot des banlieues (qui reflète une pauvreté intellectuelle effrayante). Discréditer également tous ceux qui ménagent ou louent la culture ou l’inculture des racailles, justifient leur violence et leur pardonnent tout, encouragent et poussent ainsi nombre de jeunes (croyant à une impunité éternelle) à s’enfoncer dans l’ignorance, la violence, la délinquance et l’auto-exclusion ; ceux qui sont responsables de l’exaspération des Français, des amalgames et de la discrimination.

27. Reconnaître aux citoyens (en privé ou dans le cadre de leurs fonctions), lorsqu’ils ne peuvent compter sur la force publique, le droit de défendre eux-mêmes leur personne et leurs biens contre tout agresseur, par tous les moyens et qu’elles qu’en soient les conséquences pour l’agresseur, droit qui n’a rien avoir avec le fait de faire justice soi-même, mais qui, lorsqu’il n’est pas reconnu, confère des droits aux agresseurs et décuple leur audace, paralyse les citoyens respectueux de la loi et leur inspire un sentiment fondé d’insécurité, dangereux pour la démocratie et nuisible pour l’intégration. 

28. En finir avec la double nationalité, avec les droits du sol et du sang, et adopter un mode d’acquisition de la nationalité permettant d’attester un réel attachement à la France.

29. Instituer une cérémonie collective et fraternelle de naturalisation, obligatoire pour tout individu (de plus de 18 ans) voulant devenir Français, quelles que soient ses origines, au cours de laquelle sera prêté un serment de fidélité à la France (non pas au gouvernement) et aux valeurs de la République, à l’issue de laquelle sera remis aux participants un drapeau français et un exemplaire de la Constitution. 

30. Instituer un véritable service national (avec 3 volets au choix : militaire, humanitaire, civil) obligatoire pour tout individu ayant opté pour la nationalité française, l’accomplissement de ce service étant une condition nécessaire pour être Français et jouir effectivement des droits du citoyen français, c’est-à-dire des droits politiques. — On peut aussi dire que ce service serait volontaire mais que son accomplissement serait la condition pour les citoyens d’acquérir la nationalité (citoyenneté et nationalité étant distinctes.)

 

Publié sur le forum des 4 Vérités