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samedi, 05 novembre 2011

PENSEE DU JOUR : la mascarade

- immigration massive
- naturalisation des immigrés
- régularisation des clandestins
- préférence étrangère
- droit de vote des étrangers

Arrêtons la mascarade ! Ne consultons plus les Français. Ne faisons plus venir d’immigrés. Organisons les élections directement et exclusivement à l’étranger pour que les choses soient claires et puisque c’est, en définitive, le but des immigrationnistes et sera, à terme, le résultat de l’immigration.

Mais suis-je bête ! Les oligarques font déjà mieux. Ils ont mis la France sous tutelle de commissions non élues et la vendent par petits bouts.

mercredi, 26 octobre 2011

PENSEE DU JOUR : patriotes et immigrationnistes

Les patriotes n'ont pas de haine envers les immigrés. En revanche,  ils considèrent les immigrationnistes comme des traîtres à la patrie et des fléaux pour l'humanité. Ces derniers ont raison d'avoir peur : le jour de la carmagnole, ils ne seront pas à l'orchestre.

samedi, 08 octobre 2011

PENSEE DU JOUR : le droit de vote des étrangers

Dès lors qu’un principe est violé, il n’existe plus.

Ne peuvent jouir des droits politiques que les individus attachés à la Nation et revêtus, de ce fait, de la Nationalité. (Ceci implique d’établir un mode d’acquisition de la Nationalité attestant effectivement l’attachement à la Nation et, par suite, de distinguer les notions de Citoyenneté et de Nationalité, comme seul le fait le Civisme.)

Demander le droit de vote pour les étrangers aux municipales sous prétexte de discrimination amènerait fatalement à violer le principe sous le même prétexte pour exiger qu’ils aient aussi le droit de voter aux élections nationales et d’intégrer les institutions. C’est donc un engrenage dans lequel il ne faut pas mettre un doigt.

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Il n’y a pas plus de devoirs sans droits que de droits sans devoirs. Un droit est la conséquence d’un devoir. Il n’est pas généré par n’importe quel devoir, mais par un devoir qui, de par sa nature, le génère. Autrement dit, les droits sont de la même nature ou sur le même plan que les devoirs qui les engendrent.

Un Citoyen ne génère qu’indirectement ses droits. Les devoirs qu’il remplit garantissent des droits à d’autres, mais, comme ces autres ont envers lui les mêmes devoirs, ils lui assurent les mêmes droits. Il remplit donc bien les devoirs qui génèrent les droits dont il jouit, mais ses droits ne sont qu’une conséquence indirecte des devoirs qu’il a remplis.

Exemple : La sécurité d’un Citoyen en tant que droit découle du fait que les Citoyens se protègent mutuellement et non du fait qu’un Citoyen se défend. Quand un Citoyen doit se défendre par lui-même, il est plongé malgré lui dans l’état de Nature : sa sécurité ne dépend pas de la Société et n’est pas, dans l’instant, une question de droit mais de force.

En l’occurrence, les devoirs économiques et sociaux génèrent les droits économiques et sociaux qui sont l’apanage de la Citoyenneté. Le fait de participer à la vie de la Cité donne le droit d’accéder aux bienfaits de la Cité qui sont le fruit de la participation des Citoyens. Les droits politiques qui sont l’apanage de la Nationalité découlent, eux, du moins devraient-ils découler, de l’accomplissement de devoirs particuliers envers la Nation qui justifient que leurs détenteurs en jouissent.

Ces derniers sont les dépositaires de l’intérêt national. La moindre des choses est qu’ils l’aient à cœur, qu’ils soient viscéralement attachés à la Nation, ce dont lesdits devoirs sont censés témoigner. Cet attachement est douteux de la part d’étrangers, d’immigrés plus exactement. Cela l’est d’autant plus quand la Nationalité est un choix qu’ils se refusent à faire. Il ont certes le droit de ne pas vouloir être français, il est honnête qu’ils ne prétendent pas l’être quand ils n’en ont pas le sentiment, ils sont respectables dans l’identité qui est la leur, mais cela ne leur confère aucun titre à gouverner en terre étrangère de leur point de vue et il serait insensé de leur confier les clés de la Nation, même celles de portes dérobées.

Quant aux natifs qui réclament pour eux le droit de cité, cela en dit long sur leur ignorance des principes, leur défaut de patriotisme, leur niaiserie, leur démagogie et leur dangerosité. Ils voient les étrangers comme leurs égaux ! Hé bien ! qu’ils soient, comme eux privés, de tout droit politique.

Toute association ou organisation qui prône le droit de vote des étrangers ou quelque autre droit politique devrait être dissoute ; tout Français devrait être déchu de la Nationalité et banni à perpétuité en cas de récidive ; tout immigré devrait être expulsé sur-le-champ et à jamais.

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Pour être plus terre-à-terre, le vote des étrangers est justifié, soi-disant, par le fait qu’ils travaillent, qu’ils cotisent, qu’ils payent des impôts, qu'ils vivent sous nos lois, qu'ils sont installés depuis longtemps et qu'ils sont concernés par la vie locale. Or ce droit ne serait pas accordé seulement aux travailleurs et aux contribuables : il serait aussi octroyé aux chômeurs et aux allocataires d’aides publiques dont on se demande au nom de quoi ils ont encore le droit de résider en France ; il serait aussi accordé à ceux qui violent les lois (les défenseurs du droit de vote des étrangers ne sont-ils pas les défenseurs des immigrés illégaux ?) et, de manière générale, à des gens qui, n’ayant aucun sentiment pour la France, peuvent la quitter à tout moment.

Mais, reprenons en détail ces arguments détinés à enfumer le gogo.

« Ils travaillent. » Même quand cela serait vrai pour tous, le travail génère des droits sur le produit commun, pas des droits politiques. Mais il est faux de dire « ils travaillent » car tous ne travaillent pas puisque l’essentiel de l’immigration s’effectue aujourd’hui au titre du regroupement familial. Les partisans du droit de vote des étrangers devraient le savoir, eux qui sont aussi partisans du regroupement familial au nom de l’humanité (pas au nom de la famille, concept pétainiste et réactionnaire !). Par ailleurs, qu’un immigré travaille est la moindre des choses puisque rien d’autre ne justifie sa présence. On ne peut donc lier les droits politiques qui sont le privilège des Français au fait de travailler, sans quoi tout immigré devient automatiquement français, ce qui est manifestement  absurde. Si un pareil lien était établi, et il l’est presque aujourd’hui, il ne faudrait pas s’étonner que les Français authentiques s’opposent à une immigration qui menace de les engloutir.

« Ils cotisent. Ils payent des impôts. » Même quand cela serait vrai pour tous, cotisations et impôts (qui n’ont d’ailleurs de sens que dans un système monétaire) leur assurent la jouissance de prestations sociales et l’usage d’infrastructures publiques. C’est un donnant-donnant qui ne porte pas témoignage de leur à attachement sentimental à la France et ne garantit pas que, s’ils avaient le droit de cité, ils seraient guidés par l’intérêt national. Leur état persistant d’étranger prouve au contraire que leur présence est une question d’intérêt particulier et que leur cœur bat toujours pour un autre pays. Il est, du reste, étonnant qu’une revendication portée par des gens autoproclamés « de gauche » soit appuyée par des arguments historiquement de droite. En effet, le suffrage censitaire établi par les aristo-bourgeois de droite sous la Révolution excluait du droit de cité les pauvres qui ne payaient pas trois journées de salaire d’impôt par an. Accorder le droit de vote aux immigrés sous prétexte qu’ils payent des impôts relève de la même logique, quoiqu’en plus hypocrite puisqu’il n’est pas question de le refuser à ceux qui n’en payent pas. Cet argument parfaitement bidon n’est que l’expression d’une xénofolie pathologique, à moins qu’il n’émane d’immigrés malhonnêtes. Les droits politiques ne sont pas une question d’argent.

« Ils vivent sous nos lois. » Un immigré peut-il faire autrement ? N’est-ce pas pour vivre sous les lois d’un autre pays qu’il quitte le sien ? Un immigré n’est pas un esclave ; il vient de lui-même, en connaissance de cause et dans son intérêt tel qu’il le conçoit. Par définition, les immigrés apprécient les lois du pays dans lequel ils s’installent et qui ont été adoptées sans leur concours. Si elles ne leur plaisent pas, ils peuvent aller vivre ailleurs. S’ils restent, ils doivent les accepter, donc accepter que d’autres les fassent à leur place. Les choses étaient ainsi avant qu’ils arrivent, il n’y a aucune raison qu’elles changent parce qu’ils sont là. D’ailleurs, dans quel sens pourraient-ils les faire changer, si ce n’est à leur profit, aux profit des immigrés et de leur pays d’origine ? Car, n’oublions pas que nous parlons d’immigrés qui, pour une raison ou une autre, ne veulent pas être français et n'useraient donc pas de leur droit de cité dans l’intérêt de la France. Ce n’est parce qu’ils ne renoncent à rien que la Nation qui les accueille doit renoncer à son âme pour leur bon plaisir !

Il s’ensuit que poser le pied en France ne confère pas les droits qui appartiennent aux seuls Français, sans quoi ces derniers ne seraient plus maîtres chez eux et la Nationalité serait vide de sens. De plus, le fait que des individus immigrés demeurent étrangers implique qu’ils vivent sous les lois d’un pays qu’ils ne reconnaissent pas comme le leur, auquel ils ne sont pas attachés et qu’ils peuvent retourner d’où ils viennent ou partir ailleurs à tout moment. Il se pourrait donc, s’ils avaient le droit de cité, qu’ils contribuent à faire adopter des lois sans jamais les supporter. Tout est immoral dans cette revendication, qui est d’ailleurs moins celle des immigrés que de leurs prétendus amis.

« Ils sont là depuis longtemps. Ils sont concernés par la vie locale. » Raison de plus, devrait-on dire, de leur refuser le droit de cité. Ils ont eu le temps de devenir français, ils ne le sont toujours pas et sans doute ne le seront-ils jamais. La règle, pour avoir le droit de cité en France, est d’être Français. Cette règle frappée du sceau du bon sens est connue ; elle est la même dans tous les pays du monde, y compris leurs pays d’origine. Ils savent que leurs prétentions sont infondées et scandaleuses. Ils savent aussi ce qu’ils ont à faire pour jouir des droits en question. S’ils ne le font pas, ils ne peuvent s’en prendre qu’à eux-mêmes. Ils n’auront pas le beurre et l’argent du beurre. La France ne se laissera pas avoir à l’usure par des sophismes. Et qu’est-ce que la France, sinon la somme de ses communes ? Qui règnerait en France si ses communes passaient une à une aux mains de l’étranger sous la pression d’une immigration massive et continue encouragée par les partisans du droit de vote pour les étrangers ?

On aura remarqué que les problèmes créés par certains sont toujours pour eux le prétexte d’en créer de nouveaux. Ici, ils instrumentalisent les immigrés. Ils les font venir, ils les exploitent, ils les délaissent, ils les stigmatisent, ils les renvoient à leurs origines, ils les communautarisent, ils en font des ennemis et des envahisseurs et, pour finir, ils veulent leur donner les clés de la maison parce qu’ils sont là, parce qu’ils sont nombreux. Mais, a-t-on oublié que les Français n’ont jamais été consultés sur la question de l’immigration, qu’ils ont été trahis par les capitalistes et la gaucherie main dans la main à chaque étape ? Ils n’ont pas à accepter le fait accompli sans leur consentement. Ils n’ont pas à reconnaître de droits à des individus qu’ils n’ont non seulement pas invité (il n’y a de droits que dans le cadre d’un contrat social ; un mariage forcé est nul et non avenu) mais qui, en plus, se comportent comme en pays conquis. Ils n’ont pas à laisser détruire leur Nation parce que Bobo le collabo se prend tantôt pour un « citoyen du monde » tantôt pour un « citoyen européen », imité en cela par Gaucho le prolo, éternel idiot utile.

mardi, 08 mars 2011

AVIS AUX IMMIGRES

« En France, on laisse en repos ceux qui mettent le feu,
et on persécute ceux qui sonnent le tocsin »
Chamfort



Immigrés, descendants d’immigrés,
Arabes, Africains, Musulmans,

Nous n’avons aucune haine contre vous. Sauf cas particuliers, nous n’avons rien contre vous individuellement. Nous savons que vous êtes les instruments, les victimes et les alibis de nos propres ennemis. Ce sont eux, vos faux amis, qui, par leurs outrances continues, vous ont transformés en fléaux et ont fait de vous collectivement des ennemis.

Sous prétexte de respecter vos identités d’origine, ils ont renoncé à la politique française ancestrale d’assimilation, ils vous ont laissés vous différencier, vous marginaliser, vous communautariser.

Sous prétexte de ne pas vous stigmatiser, ils s’apitoient sur vous, ils vous ménagent, ils vous favorisent, ils vous discriminent positivement, ils vous autorisent à déroger aux lois, ils font pour vous des exceptions scandaleuses qui vous signalent comme des étrangers arrogants, et prétendent que c’est nous — nous qui dénonçons ces procédés et en constatons les résultats — qui vous stigmatisons. Du coup, c’est nous qu’ils stigmatisent sans pudeur.

Sous prétexte d’ouverture aux autres cultures, ils veulent mélanger les populations, faisant ainsi d’une chose naturelle dont nul ne nie les bienfaits quelque chose dont eux seuls ne voient pas l’aberration et les dangers.

Sous prétexte de diversité, ils n’acceptent plus que la différence des autres, ils oublient et refusent de préserver leur originalité, ils font de vous le moyen de détruire notre identité ethnique et culturelle. Et dès que la réalité contredit leur discours idyllique et pontifiant, dès que leur idéologie est prise en flagrant délit, dès que les Français bafoués grondent, ils occultent les faits, ils nient les problèmes ou leur cause, ils prétendent que tout est identique, qu’il n’y a pas de différences, que tout se vaut ; bref ils sont prêts à dire tout et son contraire pour sauver la face aux dépens de la France. 

Sous prétexte de ne pas être racistes et de ne pas faire d’amalgames, ils vous défendent en bloc, ils ferment les yeux sur les forfaits que commettent vos frères, ils encouragent la délinquance à se développer parmi vous, ils vous obligent à être solidaires des délinquants, ils sont les premiers à vous réduire à votre race tout en niant la nôtre, à vous enfermer dans la culture couscous tam-tam, ils ont tout fait pour vous discréditer aux yeux des Français.

Sous prétexte de « droits de l’homme » de leur cru, ils nient les droits du Peuple français qu’ils reconnaissent par ailleurs à tous les peuples, ils ne reconnaissent aux étrangers que des vertus et des droits, et aux Français, aux Blancs, aux salauds, que des crimes et des devoirs.

Sous prétexte qu’ils aiment l’Humanité en général, ils détestent leur Peuple en particulier et abhorrent le patriotisme. Comment ces traîtres à leur patrie pourraient-ils être de vrais amis pour vous ? Ils se repaissent de honte, ils se chargent de tous les pêchés, ils chassent tout sentiment de fierté, ils effacent leur histoire, ils vous donnent toutes les raisons de ne pas vouloir vous sentir Français, ils insultent et détruisent la communauté nationale pour vous complaire, supposant ainsi que vous n’avez et ne pouvez rien avoir de commun avec elle, et vous en excluent de gré ou de force, tout en prétendant que vous êtes intégrés, puisque, si vous vous sentez malgré tout Français, ce qui serait un exploit, l’intégration au néant qu’est soi-disant la France n’a pas plus de sens que brasser du vent. Etrangers vous êtes, étrangers vous resterez à leurs yeux, car, selon eux, vous qui avez émigré ne devez pas pour autant renoncer à ce que vous êtes et ne pourrez jamais devenir ce que personne n’est, à savoir Français, c’est-à-dire quelque chose qui ne signifie rien pour eux et ne doit rien signifier d’autre pour vous que « restez vous-mêmes ». C’est ainsi, par exemple, qu’ils défendent le droit à la double nationalité qui, par définition, indiquent que les sentiments et les allégeances des intéressés sont partagés entre deux nations (à moins que tout aille effectivement à l’une, l’attachement à l’autre étant soit résiduel soit simulé par intérêt, ce qui, dans ce dernier cas, est le summum de l’hypocrisie) ; de sorte que, en défendant cette disposition pour soigner leur réputation d’humanistes, ils trahissent à la fois les immigrés qui, étant dispensés de se positionner clairement, suscitent à bon droit la défiance des nationaux, et les nationaux, en l’occurrence les Français, qu’ils abreuvent d’insultes parce que, en toute logique, ils ne considèrent pas comme des nationaux à part entière des gens qui, de fait, et à cause d’eux, n’en sont pas.

Sous prétexte qu’ils respectent les hommes, ils font comme si les immigrés n’en étaient pas, comme s’ils n’avaient aucune histoire, aucune coutume, aucune sensibilité, aucune patrie, bref comme s’ils étaient des meubles inconsistants, des objets invisibles et insipides que l’on peut déplacer à volonté, sans conséquence pour eux ni pour les autochtones, pour nous en l’occurrence qui ne semblons pas davantage être des hommes selon eux, puisque, au nom des immigrés cette fois, ils nient notre identité, font comme si nous étions des « terrains vierges », comme si nous devions et pouvions tout accepter, comme si nous n’étions même pas des légumes.

Sous prétexte qu’ils respectent les femmes, ils trouvent avilissant que les Blanches restent au foyer, fassent des enfants et peuplent la France, mais ils trouvent normal que les Arabes et les Africaines servent de boniches, fassent des gosses à tour de bras et repeuplent la France directement ou indirectement via l’immigration ! Manifestement, à leurs yeux, les unes sont des femmes, les autres sont des ventres, mais ce n’est pas du racisme puisqu’ils se sont labellisés antiracistes ! Remarquons d’ailleurs qu’ils justifient l’immigration par le faible taux de natalité des Européens, mais qu’il ne leur vient pas à l’esprit d’engager une vraie politique de natalité et d’aide aux familles françaises. La famille, la patrie, comme Pétain, quelle horreur ! Le travail, passe encore ! Malheureusement, ils sont simultanément pour l’immigration, légale et illégale, qui tire les salaires à la baisse quand elle ne prive pas les Français d’emploi, et contre le protectionnisme — c’est-à-dire du patriotisme en matière économique —, donc ipso facto pour les importations de produits étrangers et les délocalisations d’entreprises françaises. En bons internationalistes, ils sont même ravis que les pays étrangers prospèrent… à nos dépens. Résultat : les frais de l’Etat providentiel explosent et les Français sont pressurés au maximum, ce qui, évidemment, leur coupe l’envie de faire et d’avoir des enfants. Leur solution : Vite des immigrés ! Deux millions de plus, pour Attali. Ils feront les sales boulots et paieront nos retraites ! Quelle humanité !

Sous prétexte qu’ils ne sont pas xénophobes, ils ne refusent rien aux étrangers et vous ont laissés nous envahir comme aucun Peuple ne l’a jamais été ; aujourd’hui, ils appellent ouvertement à la substitution des Peuples français et européens par des immigrés (cf. rapport de l’ONU sur les migrations de remplacement), et la légitime exaspération qu’ils ont suscitée à votre endroit comme à leur égard justifie encore à leurs yeux qu’ils vous idolâtrent autant qu’ils nous haïssent. Ils aiment tellement les étrangers qu’ils semblent vouloir en devenir eux-mêmes dans leur propre pays. Mais pourquoi devrions-nous partager leur délire alors que la meilleure solution pour tout le monde, la solution la plus logique, la plus simple et la plus saine serait qu’ils émigrent ?

Toujours au nom de leur xénophilie, ils ne distinguent pas l’immigration des immigrés, le phénomène de masse des individus, l’immigration massive d’une immigration raisonnable, ils croient qu’être contre l’immigration est être hostile aux immigrés et, partant, ils croient que respecter les immigrés implique de favoriser l’immigration à outrance. Ils ne réalisent pas qu’une immigration soutenue finit par être une nuisance non seulement pour le pays d’accueil et ses autochtones mais aussi et en premier lieu pour les immigrés déjà présents auxquels les nouveaux arrivants font de l’ombre en toute chose. Et ces gens sans nuance dénoncent comme extrémistes leurs détracteurs qui appellent à la modération !

Sous prétexte qu’ils sont citoyens du monde, qu’ils sont potes avec l’univers, ils détruisent toutes les nations, la nôtre aussi bien que celles de vos ancêtres ; ils font tout contre nous et rien pour vous ; ils se croient chez eux partout mais invitent tout le monde chez nous, sans nous consulter, en nous déniant le droit de protester ; ils crachent sur la France mais accordent à tout le monde la nationalité française qui ne signifie rien pour eux et qui, dans ces conditions, ne signifie effectivement plus rien. Hier, ils fustigeaient sous le nom de souverainistes, de populistes, les défenseurs de la nation, les opposants à l’Europe ; aujourd’hui, ils menacent : « Touche pas à ma nation ». Après le capitalo-socialisme déjà cocasse, ils viennent d’inventer le national-mondialisme à pleurer ! Ils changent le sens des mots à leur convenance pour abuser le gogo. Ils rendent obligatoire l’usage de ceux qu’ils proscrivaient la veille dès lors qu’ils les ont dénaturés (cela s’appelle le novlangue, dans 1984, de George Orwell), afin qu’il n’y ait plus de mots pour penser, pour se rebeller et faire obstacle à leurs projets inavouables.

Sous prétexte qu’ils sont anticolonialistes, c’est-à-dire contre l’idée que les peuples sauvages ont besoin de nous chez eux, ils deviennent des néo-colonialistes soutenant l’idée que les sauvages, les malheureux de la Terre, les ressortissants des pays sous-développés ne peuvent trouver le salut que chez nous. Ils ne conçoivent pas que le bonheur, pour un homme, soit de vivre dans sa patrie, sur sa terre, au milieu des siens, et non de s’expatrier. Ils ne réalisent pas que l’émigration qu’ils encouragent est un double désastre pour ces pays, d’une part parce qu’ils sont vidés de leurs forces vives, d’autre part parce que l’immigration, ne leur en déplaise, crée chez nous une infinité de problèmes qui retiennent toute notre attention et nous ôte les moyens, si ce n’est l’envie, d’aider intelligemment lesdits pays. C’est toujours le même mépris des Peuples, le même orgueil impérialiste mais sous un autre vernis.

Enfin, sous prétexte qu’ils sont antifascistes, qu’ils sont généreux, tolérants, ouverts, pacifistes, ils taxent tous leurs détracteurs de fascistes, ils nazifient tout ce qui les contrarie sans s’apercevoir qu’ils sont, eux, des collabos de la pire espèce, les derniers des crétins ou les plus grands hypocrites, les fléaux de toute civilisation ; ils s’autorisent tous les mensonges, toutes les calomnies, toutes les contradictions, toutes les intrigues, toutes les exactions, toutes les violences ; ils exercent la pire tyrannie sur les consciences.

En somme, nos ennemis, vos faux amis, n’ont d’autres mérites qu’un étalage de bons sentiments. Ils dirigent tout, leurs idées sont au pouvoir à tous les niveaux : politique (français, européen et international), médias (télévision et presse), éducation, syndicats, associations subventionnées. La situation actuelle de la France est sans conteste leur œuvre, et cette situation est catastrophique dans tous les domaines. : politique, démocratique, financier, emploi, éducatif, culturel, social, esprit civique, sécurité, niveau de vie, qualité de vie, santé, natalité, urbanisme. Tout s’est dégradé sous leur empire. Faute de pouvoir rejeter la responsabilité sur d’autres (bien qu’il essayent), ils nient le constat, font semblant d’ignorer les rapports de cause à effet, et n’ont d’issue que dans la fuite en avant, dans la crispation et la surenchère idéologique, dans l’abstraction surréaliste convertie en vérité par le matraquage médiatique.

Or vous êtes au cœur de leur idéologie immigrationniste, antiraciste, multiethnique, multiculturaliste, métissalocrate, en un mot anti-française. Ils se servent de vous pour détruire la France par le bas, et de l’Europe pour la détruire par le haut. Car c’est bien se servir de vous que de vous permettre de venir pour ensuite vous abandonner à votre sort ou de vous aider de manière à vous aliéner systématiquement les Français. Ils est temps que vous compreniez que ces gens-là sont des individualistes, qu’ils ne vous aiment pas, qu’ils n’ont pas plus de respect pour vous que pour nous, qu’ils vous flattent parce qu’ils vous méprisent, que vous n’êtes pour eux qu’un besoin idéologique, l’occasion d’une B. A..

Tout chez eux n’est que posture. Mais ils n’en imposent qu’aux ignorants et aux esprits faibles. Qui gratte un peu découvre vite la mauvaise foi et les contradictions volontaires des uns, la bêtise et les incohérences inconscientes des autres, et la responsabilité de tous, coupables et complices, dans le marasme actuel. Les résultats de leur politique sont toujours à l’opposé des prétentions philanthropiques qu’ils affichaient. Cela n’a rien d’un accident : c’est le calcul des valets de Largent qui poursuivent un projet mondialiste au nom de la fraternité (plus de nations, plus de frontières, plus de démocratie, juste un marché planétaire et l’exploitation universelle des individus désormais sans défense), et la conséquence fatale de l’angélisme des bobo-gauchos qui servent ce projet au nom des droits de l’Homme désincarné (quels droits exactement ? et les devoirs ? et les citoyens ? et les Peuples ?). Ils ont si bien travaillé depuis des décennies que Français et immigrés sont aujourd’hui au pied du mur.

Les Français ne peuvent plus se dissimuler que l’immigration dans de telles proportions est une invasion, la plus sournoise, la plus importante, la plus mortelle invasion que la France ait connue, une invasion organisée par leur propre gouvernement, à laquelle vous participez malgré vous et que certains d’entre vous osent même encourager. Expropriés et piétinés un peu plus chaque jour, ils sont en plus sommés de se taire sous peine d’ignominie. Leur Peuple et, partant, leur pays, sont en passe de disparaître sous leurs yeux. Soyez sûrs qu’ils ne l’acceptent pas et qu’ils finiront par réagir violemment. Soyez sûrs qu’un incident mettra tôt au tard le feu aux poudres. Alors ce sera une guerre à mort entre eux et vous, une guerre que les Français qui sont chez eux n’auront d’autre choix que de remporter.

En supposant qu’il soit encore possible de prévenir la tragédie, il n’y a qu’une politique à adopter et à mettre en œuvre d’urgence : sortir de l’Europe ou la laisser brailler, stopper net l’immigration arabo-africaine et réduire par tous les moyens le nombre d’arabo-africains, donc ne plus délivrer aucun visa, permis de séjour ou de travail, être sans pitié envers les immigrés clandestins et sans-papiers (et leurs employeurs), ne plus accorder aucune aide financière si ce n’est une aide au retour, supprimer le droit du sol et assujettir la nationalité à des conditions et des devoirs, interdire la double nationalité et obliger les individus dans ce cas à choisir, expulser tous les délinquants étrangers et leur famille, exiger l’assimilation (langue, prénom, vêtement, discrétion religieuse, respect des lois) de ceux qui prétendent être Français, déchoir de la nationalité et expulser tous les contrevenants, réprimer tous les détracteurs de ces mesures. Bien sûr, cette politique doit s’accompagner de mesures dites sécuritaires tant dans les rues que dans les écoles, d’un renforcement des effectifs policiers, d’un retour de la discipline, du civisme et du patriotisme, mesures nécessaires pour calmer les choses, apaiser les esprits, rassurer les Français sur leur présent et leur avenir, mettre un terme aux prétentions et aux débordements de certains immigrés et créer des conditions favorables à l’assimilation des autres. Mais ces mesures annexes sans ladite politique seraient inutiles puisque le problème est aujourd’hui le nombre excessif d’immigrés qui fait d’eux une masse indigeste pour la France.

Malheureusement, ce discours dur mais sensé est si « politiquement incorrect » que les gauchistes qui ne savent pas faire la différence entre expulser et déporter, entre réduire et exterminer, ou plutôt qui font la confusion à dessein, se pâmeront d’indignation, crieront au scandale et voueront son auteur aux gémonies, préférant continuer à se bercer d’illusions plutôt que de voir la réalité en face et d’opter pour le moindre mal. Quand le sage montre la lune, l’imbécile regarde le doigt. Vous-mêmes, feignant de ne pas comprendre, vous poserez sans doute une fois de plus en victimes et hurlerez au racisme, insultant ainsi les Français, au lieu de reconnaître l’illégitimité de vos positions, de voir le danger de votre situation, et d’entendre les ultimes exhortations de la raison et de l’humanité. Il n’y a donc aucun espoir d’éviter la confrontation. Il ne vous reste plus qu’à choisir clairement votre camp.

Dans une guerre civile, il n’y a que deux camps. Les subtilités n’ont pas cours. Les difficultés sont tranchées net. Ceux qui, aujourd’hui, arguent de la complexité de certaines situations personnelles pour affirmer l’impossibilité d’un conflit et continuer à narguer les Français à bout de patience sont des imbéciles ou des menteurs, dans tous les cas des criminels. Non seulement ces endormeurs-pyromanes contribuent à ce que la situation nationale se détériore encore davantage, mais ils fournissent des arguments sans valeur à leurs dupes qui tomberont de haut, et laissent les gens candides s’enfoncer dans des situations qui seront dramatiques à l’heure du réveil. Ils croient en imposer aux Français en évoquant les immigrés qui sont nés ici, ceux qui sont installés depuis longtemps, ceux qui travaillent, ceux qui sont mariés à une Française ou un Français, ceux qui ont des enfants, ceux qui sont métissés, et en prétendant que tous sont français ou, du moins, qu’ils ont leur place en France. Ils oublient qu’ils sont les promoteurs de cette immigration incontrôlée que les Français ont tolérée un temps mais n’ont jamais sollicitée. Ils oublient que l’idéologie lénifiante qu’ils ont fabriquée pour favoriser cette immigration désastreuse n’engage qu’eux et ceux qui, pour leur malheur, se sont laissés enfumer. Les Français, eux, n’ont à tenir compte ni de leurs arguments ni du fait accompli. S’ils hésitent à agir pour ménager des individus égarés ou indécis, comme l’espèrent leurs ennemis, c’est leur Peuple qu’ils condamnent à mort. Ils doivent donc, comme tout le monde, faire en fonction de leurs intérêts. Quand ils se lèveront, toute personne résidant en France, à moins de fuir, devra choisir son camp et y être admise, sous peine d’être prise entre deux feux.

Dans cette guerre-là, le partage des hommes se fera, dans le meilleur des cas, par rapport à leur état d’esprit, au pire, selon leur race. Contrairement aux dires des gauchistes, les Français qui aujourd’hui s’insurgent contre l’immigration massive ne sont ni xénophobes ni racistes. Ils conçoivent que des individus puissent être Français sans être Blancs, à condition qu’ils soient parfaitement assimilés, mais ils n’ont pas la naïveté de croire que la France peut rester elle-même, dans l’intérêt de tous, si les Blancs ne demeurent la grande majorité de la population (Cf. De Gaulle) ; ils ne poussent pas la tolérance envers les autres jusqu’à la trahison des leurs. Ainsi, dans le meilleur des cas, le camp des Français sera constitué des patriotes français et des immigrés assimilés ou désireux d’être Français, auxquels se joindront éventuellement des immigrés ne prétendant pas être Français, reconnaissant néanmoins la légitimité de leur combat et ne se sentant rien de commun avec leurs ennemis ; l’autre camp regroupera donc les immigrés non-assimilés, non-assimilables, la racaille, les islamistes, et les bobo-gauchistes (du moins dans un premier temps). Dans le pire des cas, il y aura le camp des Blancs, français et immigrés européens, avec probablement les Jaunes, et le camp des autres : Arabes et Noirs (Musulmans). Les bobo-gauchistes réaliseront alors que, malgré leurs arguties sur les races, ils sont blancs.

Dans une guerre civile, les lois antérieures sont nulles. Personne ne porte d’uniforme. Il faut cependant identifier en un instant ses ennemis autant que ses amis, quoiqu’il vaille mieux prendre un ami pour un ennemi et le tuer, qu’un ennemi pour un ami et se faire tuer. Les critères pour distinguer les uns des autres doivent être aussi simples et sûrs que possible, donc concrets et probants. Dans le feu de l’action, l’ennemi est celui qui me tire dessus, l’ami est celui qui tire dans la même direction. Le reste du temps, l’ami et l’ennemi se reconnaissent à leur le type ethnique, à leur vêtement, à leur façon de parler, à leurs prénoms, à des coutumes, à des propos. De tous ces critères (on remarque que les papiers d’identité n’en sont pas un), le seul qui ne puisse être falsifié pour tromper l’ennemi est le type ethnique. D’où le risque qu’un conflit provoqué par l’immigration tourne par la force des choses en conflit purement racial, et ce risque est d’autant plus grand que les immigrés intelligents, au lieu de garder raison, tombent eux-mêmes dans le piège de la solidarité raciale, faisant ainsi le jeu de tous les extrémistes.

Maintenant, en supposant qu’avec ou sans conflit la France tombe en votre pouvoir, que restera-t-il de la France qui vous a attirés, de celle qui a attiré vos pères ? Ce n’est pas la géographie qui fait un pays, mais sa population. La France sans Français, sans Européens, peuplée d’Arabes et d’Africains, ne sera plus qu’un pays arabo-africain. Elle sera déchirée par le tribalisme et étouffée par l’islam, comme le sont tous ces pays, comme le sont déjà certains quartiers. Les sources de la prospérité seront taries. Vous aurez détruit une civilisation sans profit ; vous aurez instauré ici ce qui, là-bas, vous avait fait fuir. Considérez donc ce que vous avez à gagner et ce que vous avez à perdre.

Immigrés, descendants d’immigrés, mettez-vous un instant à la place des Français, des Européens. Examinez de bonne foi leur situation et la vôtre. Que penseriez-vous, que feriez-vous dans une situation inverse ? Qu’ont fait vos pères ?

Admettez que vous êtes de plus en plus nombreux et trop nombreux déjà. La France n’aurait jamais du vous ouvrir autant ses portes et ne peut plus accueillir d’autres de vos compatriotes ou de vos congénères. Votre présence massive la déstabilise à tous les niveaux. De nouvelles arrivées ne peuvent que vous nuire.

Votre intérêt est au fond le même que celui des Français : la paix, la liberté, la sécurité, la prospérité, des enfants heureux, éduqués, instruits. Tous ces bienfaits sont aujourd’hui compromis. Les assurer passe par l’arrêt de l’immigration extra-européenne, par la réduction du nombre d’Arabes et de Noirs en France et par l’assimilation des restants. Vous le savez en votre fort intérieur.

Vous savez que ce discours sans complaisance, sans condescendance est celui de la Vérité. Vous savez que ceux qui, depuis des décennies, se disent vos amis et tiennent le discours inverse, aussi séduisant soit-il de prime abord, n’ont fait que se tromper et vous tromper. Regardez autour de vous ! Les laisserez-vous encore longtemps parler à votre place, contre vos intérêts, contre nous ? Nous laisserez-vous seuls défendre en vain vos intérêts contre vos véritables ennemis ?

Vous seuls pouvez parler d’immigration et condamner les excès de vos frères de sang sans être exposés aux insultes et au discrédit. Vous seuls pouvez faire rentrer sous terre les capitalo-gauchistes. Mais le temps presse. Il est urgent que vous vous fassiez entendre et que vous parliez fort et vrai. Il est non moins urgent que vous prêchiez d’exemple, que vous fassiez enfin, massivement, ce que les Français attendent de vous pour vous accepter comme leurs égaux ou vous considérer comme de respectables étrangers. Ne protestez pas : prouvez vos intentions et vos allégeances. Plus de provocations, plus de manœuvres dilatoires, plus d’ambiguïtés : aujourd’hui est à la franchise, demain sera à la poudre. De même que le Peuple français ne peut plus compter que sur lui-même pour se sauver si rien ne change, vous êtes le dernier espoir de sauver la paix et votre place en France.

C’est à vous, Français d’origine étrangère, Arabes ou Noirs parfaitement assimilés, qu’il appartient d’être en première ligne pour livrer cette bataille de la dernière chance. C’est vous qui avez le plus à perdre dans un conflit racial. Vous pouvez espérer que les Français vous considèreront comme des leurs, mais en êtes vous si, sur la question de l’immigration, vous pensez en immigrés, si vous cautionnez l’invasion de la France, si vous laissez les Français se dépêtrer ? Et que ferez-vous si, rejetés par les Blancs parce que pas assez français dans votre tête, vous êtes aussi rejetés par les autres — avec lesquels vous ne vous sentez rien de commun — parce que trop francisés dans vos mœurs ? Envisagez donc le pire conflit pour puiser le courage de le prévenir ou, du moins, pour montrer aux Français que vous aimez la même France qu’eux et que votre place est sans conteste dans leurs rangs.

Et vous, Arabes et Noirs partiellement assimilés mais qui croyez l’être totalement parce que vous vous sentez réellement français, parce que vous aimez réellement la France, parce que la France a baissé pour vous ses exigences sous le nom d’intégration, comprenez où le bât blesse. Nul ne peut être Français à part entière s’il n’est perçu comme tel par les Français, si sa francité soulève des doutes. De ce point de vue, votre physique est par nature un handicap. Les Français sont cependant capables d’en faire abstraction à condition que, de votre côté, vous ne l’aggraviez pas. Or vous multipliez les signaux qui interpellent les Français. Certains détails sont peut-être anodins pour vous, mais pas pour eux, car ils sont symboliques et révélateurs d’un état d’esprit. Ainsi ne pas parler français avec des Français supposés, en public comme en privé, porter un prénom étranger, se vêtir selon des modes étrangères, brandir le drapeau d’un autre pays que la France, avoir une double nationalité, penser en immigré ne sont pas exactement des indices de francité, et ce serait demander l’impossible aux Français de voir en vous leurs pareils. Des signaux sont faits pour être perçus, et vous savez par expérience que les Français, même s’ils ne se l’avouent pas, perçoivent ceux-là de manière négative. A vous, donc, de faire ce qu’il faut pour ne pas les envoyer. Car vous ne convaincrez pas les Français de changer d’avis à votre sujet — ce qui reviendrait à exiger d’eux qu’ils prennent des vessies pour des lanternes — en objectant, en les injuriant, bien au contraire ; ils ne changeront d’avis, vous ne gagnerez leur respect et leur affection qu’en répondant à leurs attentes. Vous obstiner à conserver et à émettre des signaux négatifs (par maladresse ou mauvaise foi ?) vous porte autant préjudice que les corriger volontairement témoignerait en votre faveur. En outre, n’oubliez pas que, si la situation dégénère en guerre civile, c’est à de tels signaux, aux prénoms en particulier, que les Français reconnaîtront leurs ennemis et qu’il sera alors trop tard pour changer d’uniforme et illustrer votre sincérité. Et votre intérêt est encore plus grand à prévenir un conflit ethnique dans lequel votre peau serait votre passeport pour une destination imposée. Alors ne jouez plus les susceptibles, ne faites pas semblant de ne pas comprendre, cessez d’ergoter ; vous jouez vos vies.

Et vous, Arabes et Noirs déracinés, désorientés, nés ici ou ailleurs, naturalisés ou non, qui ne savez plus qui vous êtes, qui n’êtes pas assimilés et plus assimilables après tant d’errance et de confusion mentale, qui demeurez en France sans trouver place au sein de la communauté nationale, qui ne voyez de famille que dans vos congénères ou vos coreligionnaires, qui, pour les uns, cultivez des souvenirs exotiques, pour les autres, nourrissez des rêves de vengeance et de conquête, qui, tous, êtes par le fait des étrangers aux yeux des Français, vous êtes à la fois les victimes de la politique que nous dénonçons et les instruments des maux que nous subissons en silence pour le moment. Nous compatissons à vos souffrances, mais nous ne pouvons vous laisser faire notre malheur, même malgré vous et par le seul effet de votre nombre. Nos ennemis vous ont placés dans cette situation déchirante. Dénoncez-les ! Clarifiez les choses. Devenez Français, agissez, pensez comme tel, si cela est possible, ou assumez d’être étrangers, renoncez à la nationalité française et rentrez chez vous, retournez auprès des vôtres, cherchez dans votre patrie le bonheur que vous ne pouvez trouver en France. C’est le bon moment pour partir dans les meilleures conditions. Ceux qui resteront ici sans suivre aucun de ces conseils amicaux seront ceux par qui la guerre arrivera.

Et vous, Musulmans, vous allez aussi devoir faire un choix. La France ne tourne pas autour de l’islam. Un Français n’est pas un non-musulman. En revanche, un vrai Musulman, un islamiste, n’est pas Français ; ses valeurs, ses coutumes ne sont pas celles de la France. Vous allez donc devoir choisir entre vous définir comme des Français, c’est-à-dire des Musulmans modérés, discrets, francisés, donc que vous dépouilliez votre religion de ses dehors orientaux et de ses pratiques illégales en France, ou vous définir comme des Musulmans voulant imposer en France la charia et autres joyeusetés, donc comme des non-Français, comme des étrangers et même des ennemis.

Et vous, Arabes et Noirs de passage, travailleurs immigrés, descendants d’immigrés fiers de vos origines, conscients que votre place n’est pas ici et qui ne feignez pas d’être français ; patriotes d’ailleurs, vous qui aimez vos pays d’origine comme nous aimons le nôtre, vous qui n’avez pas l’impudeur d’appeler vos congénères à nous envahir et de nous taxer de racistes et de fascistes parce que nous ne consentons pas à être envahis ; vous qui plus que tout autre pouvez comprendre l’embarras des vrais humanistes que nous sommes face à une immigration démesurée et destructrice ; vous qui savez à quel degré de fureur et d’héroïsme peut porter le patriotisme aux abois parce que vous êtes de cette trempe, comprenez que, malgré tout le respect qu’inspire votre dignité, il est difficile de vous distinguer de la foule de nos ennemis — cela l’est d’autant plus que vous ne vous manifestez pas — et que, par conséquent, votre présence ajoute à nos inquiétudes. Votre refus de vous assimiler est légitime, la France ne l’exige ni des étrangers ni des touristes, mais ce refus prête à malentendus. N’étant pas des touristes, êtes-vous des étrangers ou des conquérants ? A vous de dissiper les doutes. A vous de démentir les capitalo-gauchistes qui vous décrètent Français sans vous consulter, qui vous prennent, qui nous prennent tous pour des débiles ; à vous d’affirmer que vous vous êtes étrangers et que vous partagez nos sentiments et nos principes. Mais soyez aussi conséquents : Annoncez que vous comptez retourner dans votre patrie et partez avant d’être entraînés contre nous dans un conflit qui ne vous concerne pas ou, si vous différez votre départ, soutenez-nous ouvertement au lieu d’avoir l’air de nous défier et battez-vous à nos côtés. Vous ne pouvez pas rester sans être avec nous ou contre nous.

Un homme averti en vaut deux.

De Munich à Montoire !

Philippe Landeux

Ecrit pour et publié par Riposte Laïque

23:48 Écrit par Philippe Landeux dans 6. MON BLOG | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : avis, immigrés, guerre, civile |  Facebook | |  Imprimer |

mardi, 30 novembre 2010

IMMIGRATION : SAVEZ-VOUS ENCORE COMPTER ?

 

Le Peuple français subit une immigration sans précédent depuis 50 ans. Elle a commencé dans les années 60. A cette époque, elle était constituée essentiellement d’Algériens et de Nord-Africains qui déferlaient déjà au rythme de 200.000 par an. Quelques-uns d’entre eux sont retournés chez eux, d’autres sont décédés. Mais ce chiffre a explosé depuis pour atteindre des 300.000 à 400.000 par an (tout compris, immigrés légaux et illégaux). Si l’on ne tient pas compte de cette explosion, et si l’on considère que le chiffre est constant depuis les années 60, le calcul est simple :

200.000 x 50 = 10.000.000 (10 millions)

Ce chiffre est déjà largement en dessous de la réalité. Mais si l’on songe que les immigrés sont plus féconds que les autochtones (N’ont-ils pas pour fonction de repeupler la vieille Europe, autrement dit d’effacer les Européens ? cf. rapport de l’ONU sur les migrations de remplacement) et engendrent des individus qui, aux yeux de ces derniers, sont eux aussi des immigrés quoique français selon la loi, et qui, depuis, ont eu eux aussi des enfants, ce chiffre doit être multiplié au moins par deux ou trois.

10 millions x 2 = 20 millions
10 millions x 3 = 30 millions

Un petit calcul et un peu de bon sens porte donc le nombre d’immigrés en France aujourd’hui entre 20 et 30 millions.

Mères méritantes - Dijon.jpg

Dijon (21) : des mères méritantes médaillées.

 

Une autre façon de procéder est de prendre le chiffre d’une année et de tenir compte de la fécondité. Le chiffre le plus bas, aujourd’hui est de 300.000. Combien d’enfants qui vont s’ajouter à eux ces immigrés vont-ils engendrer dans les 10 ans qui suivent ? 1, 2, 3, 4, 5, 6 ? Plus ? Disons au moins 2, ce qui est très largement en dessous de la réalité. Comme il faut être deux pour faire un enfant, le chiffre de départ n’est pas 300.000 mais la moitié : 150.000 couples. Ainsi, si 150.000 couples font 2 enfants en 10 ans, le calcul est simple :

150.000 x 2 = 300.000 enfants
300.000 immigrés + 300.000 enfants = 600.000 individus d’origine étrangère

Ainsi, chaque fois qu’entrent en France 300.000 immigrés, ce sont en réalité, au bas mot, 600.000 immigrés de plus en France dans les 10 ans. Mais ces 300.000 descendants seront eux-mêmes en état de procréer au bout de 20 ans, de sorte que dans les 20 à 30 ans qui suivent l’arrivée des premiers immigrés apparaîtra une génération de petits enfants de l’ordre de 300.000 individus (le calcul est le même que précédemment) qui s’ajoutent à la génération de leurs parents et à celle de leurs grands parents, soit 900.000 immigrés.

Si on simplifie, que l’on fait remonter l’immigration au rythme de 300.000 par an aux années 1980 (effet du regroupement familial, 1974), et si l’on considère que les immigrés des années 2000 n’ont pas encore fait d’enfants, que ceux des années 1990 en ont fait et que ceux des années 1980 ont même des petits enfants, on peut calculer le nombre que représentent les immigrés d’une décennie et leur descendance, et le nombre réel d’immigrés pour chaque décennie.   

Années 1980 :

300.000 immigrés (A-1980-1990) x 10 ans
+ 300.000 enfants (A1-1980-1990) x 10 ans
+ 300.000 petits enfants (A2-2000-2010) x 10 ans
= 9 millions d’immigrés
 

Années 1990 :

300.000 immigrés (B-1990-2000) x 10 ans
+ 300.000 enfants (B1-1990-2000) x 10 ans
= 6 millions d’immigrés

Années 2000 :

300.000 immigrés (C-2000-2010) x 10 ans
= 3 millions (quoique beaucoup aient déjà des enfants, d’autant plus qu’il est notoire que nombre de femmes arabo-africaines viennent accoucher exprès en France)

Total des générations 1980, 1990, 2000 et leurs descendants :
9 + 6 + 3 = 18 millions en 2010

Le résultat final est correct, mais ces trois chiffres sont inversés en réalité puisque les enfants des immigrés d’une décennie n’existent tous réellement que dans la décennie suivante :

Années 1980 :

300.000 immigrés (A-1980-1990) x 10 ans
= 3 millions d’immigrés

Années 1990 :

300.000 immigrés (B-1990-2000) x 10 ans
+ 300.000 enfants (A1-1980-1990) x 10 ans
= 6 millions d’immigrés

Années 2000 :

300.000 immigrés (C-2000-2010) x 10 ans
+ 300.000 petits enfants (A2-2000-2010) x 10 ans
+ 300.000 enfants (B1-1990-2000) x 10 ans
= 9 millions

Total des années 1980, 1990, 2000 :
3 + 6 + 9 millions = 18 millions en 2010


Considérant que les chiffres utilisés pour ces calculs sont bien en deçà des réalités (les immigrés dans années 1960 et 1970 ont eu des enfants qui eux-mêmes en ont eu, et ceux des années 2000, eux aussi, ont déjà des enfants), ce chiffre de 18 millions n’est pas un maximum mais un minimum. Le nombre d’immigrés en France se situe donc dans la première fourchette que nous avons établie, 20 à 30 millions, voire au-delà. Ce calcul explique aussi pourquoi le nombre d’immigrés explose de décennie en décennie même si l’immigration est constante. Les enfants des immigrés sont français aux yeux de la loi, mais les descendants d’immigrés extra-européens sont perçus comme des immigrés par les Français et s’ajoutent autant à leurs pères et à leurs grands-pères qu’aux nouveaux arrivés et à leurs premiers descendants.



Une dernière façon de procéder est de se baser sur la population française, puisqu’il est admis que le taux de reproduction des Européens, aujourd’hui, n’assure pas le renouvellement de leur population. (Rien n’est fait dans ce sens, alors que tout est fait pour les démoraliser.) L’augmentation de la population n’est pas une opération du Saint Esprit : elle est due à l’apport de l’immigration.

En 1960, la population française était d’environ 46 millions (45 684 000). L’immigration extra-européenne commence ensuite. Elle était d’environ 51 million (50 772 000) en 1970, environ 54 millions (53 880 000) en 1980, d’environ 57 millions (56 735 000) en 1990, d’environ 59 millions (58 895 500) en 2000 et d’environ 65 millions en 2010. (Source : Perspective Monde)

 pop fr 1960-2008.jpeg

 

Le nombre d’immigrés était donc, au bas mot, en
1970 : 51 – 46 = 5 millions
1980 : 54 – 46 = 8 millions
1990 : 57 – 46 = 11 millions
2000 : 59 – 46 = 13 millions
2010 : 65 – 46 = 19 millions

Ces chiffres corroborent sans conteste les résultats précédents. Comme eux, ils sont en deçà de la réalité. Car le nombre de Français « de souche » est considéré comme constant, alors qu’il a sans doute baissé en raison d’un faible taux de natalité et d’une émigration encore plus tabou que l’immigration. Par ailleurs, les recensements ne peuvent tenir compte des immigrés illégaux. Le véritable nombre d'immigrés est donc bien dans la fourchette 20 à 30 millions, plus près voire supérieur à 30.


CONCLUSION

S’il est interdit de faire en France des recensements ethniques (pour des raisons fumeuses), les Français, à défaut de « stats », ont des yeux et des cerveaux. Des calculs élémentaires confirment ce que nos yeux constatent et que politiciens et immigrationnistes s’efforcent de nier : la France est envahie comme elle ne l’a jamais été, le Peuple français est en passe d’être submergé. S’il est encore vrai que les immigrés sont une minorité, mais une minorité qui, aux alentours de 25 millions d’individus sur 65 millions d’habitants (38 %), n’a plus rien de négligeable, nulle personne sensée ne peut croire les discours lénifiants du genre : « les musulmans sont 5 millions en France », alors qu’ils sont bien 70 % des immigrés (soit 17,5 millions), ou encore : « les immigrés sont concentrés à Paris », alors que les mosquées poussent partout en France. Nul ne peut croire, par exemple, que l’islamisation de la France est un phénomène spontané et anodin. Elle se développe, parce que le nombre de musulmans — immigrés ou descendants d’immigrés — a explosé et que ce nombre leur permet de faire pression, même malgré eux, tant dans la vie quotidienne que sur les élus qui se moquent des Français ou sont trop lâches pour leur faire face.

 

Philippe Landeux

Publié par Riposte Laïque


NOTA : PROJECTIONS

Nota 1 : Les Algériens étaient 9 millions en 1960, ils sont aujourd’hui, 50 ans plus tard, plus de 35 millions. Il est donc probable que l’évolution des immigrés soit au moins égale sinon plus forte encore en France, puisque c’est une population essentiellement jeune, qui bénéficie ici d’avantage sociaux incomparables, qui souvent s’arrange pour procréer ou accoucher en France et qui s’accroît toujours de nouveaux immigrés. Ce n’est donc pas en 50 ans que cette population passera de 9 à 35 millions, mais en 30 ou 40 ans. Or quand cette population a-t-elle atteint les 9 millions ? Sans doute entre 1990 et l’an 2000. Si rien ne change, les 35 millions seront donc atteints entre 2020 et 2040, plus vraisemblablement entre 2020 et 2030.

Nota 2 : Les deux premières méthodes de calcul permettent de faire des projections.

PREMIERE METHODE

Pour l’année 2020 avec immigration constante depuis les années 1960

200.000 immigrés x 60 ans = 12 millions, à multiplier à par 2 ou 3, soit
12 millions x 2 = 24 millions d’immigrés au moins
12 millions x 3 = 36 millions d’immigrés au plus

Pour l’année 2030 avec immigration constante depuis les années 1960

200.000 x 70 = 14 millions, à multiplier à par 2 ou 3, soit
14 millions x 2 = 28 millions d’immigrés au moins
14 millions x 3 = 42 millions d’immigrés au plus
 

Pour l’année 2040 avec immigration constante depuis les années 1960

200.000 x 80 = 16 millions, à multiplier à par 2 ou 3, soit
16 millions x 2 = 32 millions d’immigrés au moins
16 millions x 3 = 48 millions d’immigrés au plus

DEUXIEME METHODE

Projection 1 : 2020
l’immigration continue au même rythme dans les années 2000

Années 1980 :

Les petits enfants (A2-2000-2010) des immigrés (A-1980-1990), eux-mêmes toujours en vie, n’ont pas encore d’enfants

300.000 immigrés (A-1980-1990) x 10 ans
+ 300.000 enfants (A1-1980-1990) x 10 ans
+ 300.000 petits enfants (A2-2000-2010) x 10 ans
= 9 millions d’immigrés

Années 1990 :

Les immigrés B ont eu des enfants (B1-1990-2000) qui ont eux-mêmes des enfants (B2) dans les années 2010-2020

300.000 immigrés (B-1990-2000) x 10 ans
+ 300.000 enfants (B1-1990-2000) x 10 ans
+ 300.00 petits enfants (B2-2010-2020) x 10 ans
= 9 millions d’immigrés

Années 2000 :

Les immigrés C ont eu des enfants C1 dans les années 2000-2010, lesquels sont trop jeunes pour en avoir eux-mêmes dans les années 2010-2020

300.000 immigrés (C-2000-2010) x 10 ans + 300.000 enfants (C1-2000-2010) x 10 ans
= 6 millions

Années 2010 :

Les immigrés D ont des enfants que nous ne comptons pas

300.000 immigrés (D-2010-2020) x 10 ans
= 3 millions

Total en 2020 : 9 + 9 + 6 + 3 = 27 millions / 24 millions (9 + 9 + 6) si l’immigration  est stoppée net en 2010

Que l’immigration soit stoppée en 2010, réduite ou continuée, le nombre d’immigrés sera, en 2020, entre 24 et 27 millions, fourchette vraisemblablement en deçà de la réalité. Il continuera donc d’augmenter prodigieusement dans tous les cas de figure pour atteindre des chiffres astronomiques.

Projection 2 : 2030
l’immigration continue au même rythme dans les années 2010

Années 1980

Les petits enfants des immigrés A2 ont maintenant des enfants (A3), qui sont les petits petits enfants des immigrés A qui, eux-mêmes étant jeunes dans les années 1980, n’ont qu’entre 60 et 80 ans dans les années 2020.

300.000 immigrés (A-1980-1990) x 10 ans
+ 300.000 enfants (A1-1980-1990) x 10 ans
+ 300.000 petits enfants (A2-2000-2010) x 10 ans
+ 300.000 petits petits enfants (A3-2020-2030) x 10 ans
= 12 millions d’immigrés

Années 1990 :

Les enfants (B1) des immigrés B ont des enfants (B2-2010-2020)

300.000 immigrés (B-1990-2000) x 10 ans
+ 300.000 enfants (B-1990-2000) x 10 ans
+ 300.00 petits enfants (B-2010-2020) x 10 ans
= 9 millions d’immigrés

Années 2000 :

Les immigrés C ont eu des enfants (C1-2002010) qui ont eux-mêmes des enfants dans les années 20

300.000 immigrés (C-2000-2010) x 10 ans
+ 300.000 enfants (C1-2000-2010) x 10 ans
+ 300.000 petits enfants (C2-2020-2030) x 10 ans
= 9 millions

Années 2010 :

Les immigrés D des années 2010 ont eu des enfants (D1)

Les immigrés D des années 2010 ont eu des enfants (D1)
300.000 immigrés (D-2010-2020) x 10 ans
+ 300.000 enfants (D1-2010-2020) x 10 ans
= 6 millions

Années 2020

Les immigrés E (2020-2030) ont des enfants que nous ne comptons pas

300.000 immigrés (E-2020-2030) x 10 ans
= 3 millions

Total en 2030 : 12 + 9 + 9 + 6 + 3 = 39 millions / 30 millions (12 + 9 + 9) si l’immigration est stoppée net en 2010.


Projection 3 : 2040
l’immigration continue au même rythme dans les années 2020

Années 1980

La génération A3 (2020-2030) n’a pas encore d’enfants. Par contre, la génération des années 1980 a entre 70 et 80 ans au début de la décennie et entre 80 et 90 ans à la fin. Compte tenu du fait que certains sont décédés dans les décennies précédentes et que l’essentiel va décéder dans la décennie présente, éliminons-la de l’équation.

300.000 enfants (A1-1980-1990) x 10 ans
+ 300.000 petits enfants (A2-2000-2010) x 10 ans
+ 300.000 petits petits enfants (A3-2020-2030) x 10 ans
= 9 millions d’immigrés

Années 1990 :

Les petits enfants (B2-2010-2020) des immigrés (B-1990-2000) ont des enfants dans la décennie (B3-2030-2040)

300.000 immigrés (B-1990-2000) x 10 ans
+ 300.000 enfants (B-1990-2000) x 10 ans
+ 300.000 petits enfants (B-2010-2020) x 10 ans
+ 300.000 petits petits enfants (B3-2030-2040)
x 10 ans
= 12 millions

Années 2000 :

Les immigrés C (2000-2010) ont eu des enfants (C1-2002010) qui ont eux-mêmes des enfants (C2-2020-2030) dans les années 20, lesquels sont trop jeunes pour en avoir.

300.000 immigrés (C-2000-2010) x 10 ans
+ 300.000 enfants (C1-2000-2010) x 10 ans
+ 300.000 petits enfants (C2-2020-2030) x 10 ans
= 9 millions

Années 2010 :

Les immigrés D des années 2010 ont eu des enfants (D1-2010-2020) qui ont eux-mêmes des enfants dans les années 30.

300.000 immigrés (D-2010-2020) x 10 ans
+ 300.000 enfants (D1-2010-2020)
x 10 ans
+ 300.000 enfants (D2-2020-2030) x 10 ans
= 9 millions

Années 2020

Les immigrés E (2020-2030) ont eu des enfants (E-3020-2030).

300.000 immigrés (E-2020-2030) x 10 ans
+ 300.000 enfants (E-2020-2030) x 10 ans
= 6 millions

Années 2030

Les immigrés F (2030-2040) ont des enfants que nous ne comptons pas.

300.000 immigrés (F-2030-2040) x 10 ans
= 3 millions

Total en 2040 : 9 + 12 + 9 + 9 + 6 + 3 = 48 millions / 30 millions (9 + 12 + 9) si l’immigration est stoppée net en 2010.

Projection 4 : 2050
l’immigration continue au même rythme dans les années 2030

Au résultat obtenu pour les années 2030, soit 48 millions, il faut retirer les immigrés B arrivés dans les années 1990-2000 qui seront pour la plupart décédés dans les années 2040. Mais il faut ajouter les enfants de la générations A3 (2020-2030) qui sont donc la génération A4 (2040-2050), ceux de la génération C2 (2020-2030) qui sont donc la génération C3 (2040-2050), ceux de la génération E1 (2020-2030) qui sont donc la génération E2 (2040-2050), ceux de la génération F (2030-2040) qui sont donc la génération F1 (2030-2040) et, enfin, les immigrés proprement dit des années 40 (G), soit :

48 millions – B + A4 + C3 + E2 + F1 + G = 48 – 3 + 3 + 3 + 3 + 3 = 57 millions

Maintenant, en supposant que l’immigration soit stoppée net en 2010, il faudrait ôter aux 30 millions précédemment obtenus les 3 millions de la génération B, mais ajouter les 3 millions d’enfants des générations A3 et ceux de la génération C2, de sorte que l’apport serait deux fois plus important que les décès et que la somme globale augmenterait de 3 millions, pour être portée à 33 millions. 

 

TABLEAU RECAPITULATIF

Le tableau ci-dessous permet de visualiser la situation et de retrouver rapidement tous ces résultats pour chaque génération (de A à G), pour chaque décennie, de faire les totaux en tenant compte des décès (les cases rouges notées "décès" indiquent qu'il ne faut plus compter la génération signalée en rouge sur la même ligne) et même de tenir compte de l'arrêt éventuel de l'immigration (ici, les cases grises doivent seules être comptabilisées si l'immigration est stoppée en 2010).

Immigration et descendance - tableau.jpg

 

 

02:16 Écrit par Philippe Landeux dans 6. MON BLOG | Lien permanent | Commentaires (12) | Tags : chiffres, comptage, immigration, immigrés |  Facebook | |  Imprimer |