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vendredi, 28 octobre 2011

PENSEE DU JOUR : idées qui puent, collabo qui parle

Qui parle d'idées "nauséabondes"  vend sans doute des pastilles Vichy.

mercredi, 26 octobre 2011

PENSEE DU JOUR : patriotes et immigrationnistes

Les patriotes n'ont pas de haine envers les immigrés. En revanche,  ils considèrent les immigrationnistes comme des traîtres à la patrie et des fléaux pour l'humanité. Ces derniers ont raison d'avoir peur : le jour de la carmagnole, ils ne seront pas à l'orchestre.

lundi, 24 octobre 2011

PENSEE DU JOUR : les héritiers

La gaucherie qui a bradé l'héritage de la Gauche a d'autant moins de scrupules à brader celui de la France.

samedi, 22 octobre 2011

PENSEE DU JOUR : la gaucherie

La gaucherie, c'est une politique de droite mondialiste sous un vernis frelaté de gauche.

Tous les partis actuellement dits "de gauche" méritent le label "gaucherie".

La gaucherie est à la Gauche ce qu'un verre de pisse est à un verre de bière.

Voir Les vraies valeurs des vraies Gauche et Droite

jeudi, 20 octobre 2011

PENSEE DU JOUR : les colons

Des colonisateurs sont des immigrés qui ont la force pour eux et dictent le droit.

Des immigrés - qui donnent des leçons d'antiracisme pour exiger le respect au lieu de le gagner - se prennent pour des colons qui jouent de leurs faiblesses et abusent de la tolérance des autochtones.

lundi, 17 octobre 2011

PENSEE DU JOUR : télé

La télé est un contenant.

On ne regarde pas la télé ; on boit son contenu. Il n'y a rien de plus toxique et de plus dangereux pour la santé mentale.

20:00 Écrit par Philippe Landeux dans 6. MON BLOG, 7.1. PENSEES DU JOUR | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook | |  Imprimer |

PENSEE DU JOUR : être ou ne pas être révolutionnaire

Les hommes ne s’attendent pas au défi a priori inconcevable que la Révolution leur proposera et seront de prime abord déroutés voire hostiles aux idées radicalement nouvelles et véritablement révolutionnaires. Quiconque espère de bonne foi la Révolution, quiconque désire moins passer pour un révolutionnaire qu’en être un, doit se défier avant tout de lui-même.

Extrait de "L'Egalité ou Largent : il faut choisir".

dimanche, 16 octobre 2011

PENSEE DU JOUR : le choix des armes

Une trahison qui avance par les urnes ne peut être arrêtée que par les armes.

vendredi, 14 octobre 2011

PENSEE DU JOUR : auto-persuasion

Les gauchistes sont tellement cons qu'ils croient leurs propres mensonges.

mercredi, 12 octobre 2011

PENSEE DU JOUR : indépendance journalistique

Sauf rarissime exception, ne sont indépendants, parmi les "journalistes", n'ont du moins un sentiment d'indépendance que les collabos naturels, les traîtres inconscients et les kapos volontaires.

mardi, 11 octobre 2011

PENSEE DU JOUR : la valeur marchande

La valeur (marchande) d'un objet dépend toujours des besoins ou du pouvoir de celui qui le vend ou de celui qui l'achète. Elle n'a rien à voir avec l'objet lui-même. Elle est illusoire et arbitraire. La valeur (marchande) est un rapport de force. Largent* introduit la loi du plus fort dans la Cité et anéantit de fait l'état de droit.

*Largent, c'est la croyance que la notion de valeur (marchande) est nécessaire pour échanger.

PENSEE DU JOUR : les primaires

Primaires socialistes : un pléonasme.

lundi, 10 octobre 2011

PENSEE DU JOUR : les vérités

Il n’y a pas de mauvaises vérités à dire ; il n’y en a que de dures à entendre.

Tiré de "La Goutte d'or qui fait déborder le vase".

PENSEE DU JOUR : Extrême droite

"Extrême droite" : le fourre-tout de ceux qui ne comprennent rien.

dimanche, 09 octobre 2011

PENSEE DU JOUR : argent sale ?

Il n'y a pas plus d'argent sale que de fortunes propres. Il n'y a que Largent et ses crimes.

samedi, 08 octobre 2011

PENSEE DU JOUR : gauchistes et immigrés

Ce ne sont pas les Français - qui s'opposent à l'immigration - qui ne veulent pas faire les boulots réservés de fait aux immigrés ; ce sont les immigrationnistes : les gauchistes, parce que les immigrés bossent à leur place ou glandent comme eux, les patrons et les bobos, parce que les immigrés bossent pour eux pour moins cher que des Français.

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Au boulot, même le week-end !

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Les défenseurs de la civilisation !

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Ca bosse dur. Faut c'qu'y faut, pour payer nos retraites ! Quelle chance pour la France !

PENSEE DU JOUR : le droit de vote des étrangers

Dès lors qu’un principe est violé, il n’existe plus.

Ne peuvent jouir des droits politiques que les individus attachés à la Nation et revêtus, de ce fait, de la Nationalité. (Ceci implique d’établir un mode d’acquisition de la Nationalité attestant effectivement l’attachement à la Nation et, par suite, de distinguer les notions de Citoyenneté et de Nationalité, comme seul le fait le Civisme.)

Demander le droit de vote pour les étrangers aux municipales sous prétexte de discrimination amènerait fatalement à violer le principe sous le même prétexte pour exiger qu’ils aient aussi le droit de voter aux élections nationales et d’intégrer les institutions. C’est donc un engrenage dans lequel il ne faut pas mettre un doigt.

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Il n’y a pas plus de devoirs sans droits que de droits sans devoirs. Un droit est la conséquence d’un devoir. Il n’est pas généré par n’importe quel devoir, mais par un devoir qui, de par sa nature, le génère. Autrement dit, les droits sont de la même nature ou sur le même plan que les devoirs qui les engendrent.

Un Citoyen ne génère qu’indirectement ses droits. Les devoirs qu’il remplit garantissent des droits à d’autres, mais, comme ces autres ont envers lui les mêmes devoirs, ils lui assurent les mêmes droits. Il remplit donc bien les devoirs qui génèrent les droits dont il jouit, mais ses droits ne sont qu’une conséquence indirecte des devoirs qu’il a remplis.

Exemple : La sécurité d’un Citoyen en tant que droit découle du fait que les Citoyens se protègent mutuellement et non du fait qu’un Citoyen se défend. Quand un Citoyen doit se défendre par lui-même, il est plongé malgré lui dans l’état de Nature : sa sécurité ne dépend pas de la Société et n’est pas, dans l’instant, une question de droit mais de force.

En l’occurrence, les devoirs économiques et sociaux génèrent les droits économiques et sociaux qui sont l’apanage de la Citoyenneté. Le fait de participer à la vie de la Cité donne le droit d’accéder aux bienfaits de la Cité qui sont le fruit de la participation des Citoyens. Les droits politiques qui sont l’apanage de la Nationalité découlent, eux, du moins devraient-ils découler, de l’accomplissement de devoirs particuliers envers la Nation qui justifient que leurs détenteurs en jouissent.

Ces derniers sont les dépositaires de l’intérêt national. La moindre des choses est qu’ils l’aient à cœur, qu’ils soient viscéralement attachés à la Nation, ce dont lesdits devoirs sont censés témoigner. Cet attachement est douteux de la part d’étrangers, d’immigrés plus exactement. Cela l’est d’autant plus quand la Nationalité est un choix qu’ils se refusent à faire. Il ont certes le droit de ne pas vouloir être français, il est honnête qu’ils ne prétendent pas l’être quand ils n’en ont pas le sentiment, ils sont respectables dans l’identité qui est la leur, mais cela ne leur confère aucun titre à gouverner en terre étrangère de leur point de vue et il serait insensé de leur confier les clés de la Nation, même celles de portes dérobées.

Quant aux natifs qui réclament pour eux le droit de cité, cela en dit long sur leur ignorance des principes, leur défaut de patriotisme, leur niaiserie, leur démagogie et leur dangerosité. Ils voient les étrangers comme leurs égaux ! Hé bien ! qu’ils soient, comme eux privés, de tout droit politique.

Toute association ou organisation qui prône le droit de vote des étrangers ou quelque autre droit politique devrait être dissoute ; tout Français devrait être déchu de la Nationalité et banni à perpétuité en cas de récidive ; tout immigré devrait être expulsé sur-le-champ et à jamais.

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Pour être plus terre-à-terre, le vote des étrangers est justifié, soi-disant, par le fait qu’ils travaillent, qu’ils cotisent, qu’ils payent des impôts, qu'ils vivent sous nos lois, qu'ils sont installés depuis longtemps et qu'ils sont concernés par la vie locale. Or ce droit ne serait pas accordé seulement aux travailleurs et aux contribuables : il serait aussi octroyé aux chômeurs et aux allocataires d’aides publiques dont on se demande au nom de quoi ils ont encore le droit de résider en France ; il serait aussi accordé à ceux qui violent les lois (les défenseurs du droit de vote des étrangers ne sont-ils pas les défenseurs des immigrés illégaux ?) et, de manière générale, à des gens qui, n’ayant aucun sentiment pour la France, peuvent la quitter à tout moment.

Mais, reprenons en détail ces arguments détinés à enfumer le gogo.

« Ils travaillent. » Même quand cela serait vrai pour tous, le travail génère des droits sur le produit commun, pas des droits politiques. Mais il est faux de dire « ils travaillent » car tous ne travaillent pas puisque l’essentiel de l’immigration s’effectue aujourd’hui au titre du regroupement familial. Les partisans du droit de vote des étrangers devraient le savoir, eux qui sont aussi partisans du regroupement familial au nom de l’humanité (pas au nom de la famille, concept pétainiste et réactionnaire !). Par ailleurs, qu’un immigré travaille est la moindre des choses puisque rien d’autre ne justifie sa présence. On ne peut donc lier les droits politiques qui sont le privilège des Français au fait de travailler, sans quoi tout immigré devient automatiquement français, ce qui est manifestement  absurde. Si un pareil lien était établi, et il l’est presque aujourd’hui, il ne faudrait pas s’étonner que les Français authentiques s’opposent à une immigration qui menace de les engloutir.

« Ils cotisent. Ils payent des impôts. » Même quand cela serait vrai pour tous, cotisations et impôts (qui n’ont d’ailleurs de sens que dans un système monétaire) leur assurent la jouissance de prestations sociales et l’usage d’infrastructures publiques. C’est un donnant-donnant qui ne porte pas témoignage de leur à attachement sentimental à la France et ne garantit pas que, s’ils avaient le droit de cité, ils seraient guidés par l’intérêt national. Leur état persistant d’étranger prouve au contraire que leur présence est une question d’intérêt particulier et que leur cœur bat toujours pour un autre pays. Il est, du reste, étonnant qu’une revendication portée par des gens autoproclamés « de gauche » soit appuyée par des arguments historiquement de droite. En effet, le suffrage censitaire établi par les aristo-bourgeois de droite sous la Révolution excluait du droit de cité les pauvres qui ne payaient pas trois journées de salaire d’impôt par an. Accorder le droit de vote aux immigrés sous prétexte qu’ils payent des impôts relève de la même logique, quoiqu’en plus hypocrite puisqu’il n’est pas question de le refuser à ceux qui n’en payent pas. Cet argument parfaitement bidon n’est que l’expression d’une xénofolie pathologique, à moins qu’il n’émane d’immigrés malhonnêtes. Les droits politiques ne sont pas une question d’argent.

« Ils vivent sous nos lois. » Un immigré peut-il faire autrement ? N’est-ce pas pour vivre sous les lois d’un autre pays qu’il quitte le sien ? Un immigré n’est pas un esclave ; il vient de lui-même, en connaissance de cause et dans son intérêt tel qu’il le conçoit. Par définition, les immigrés apprécient les lois du pays dans lequel ils s’installent et qui ont été adoptées sans leur concours. Si elles ne leur plaisent pas, ils peuvent aller vivre ailleurs. S’ils restent, ils doivent les accepter, donc accepter que d’autres les fassent à leur place. Les choses étaient ainsi avant qu’ils arrivent, il n’y a aucune raison qu’elles changent parce qu’ils sont là. D’ailleurs, dans quel sens pourraient-ils les faire changer, si ce n’est à leur profit, aux profit des immigrés et de leur pays d’origine ? Car, n’oublions pas que nous parlons d’immigrés qui, pour une raison ou une autre, ne veulent pas être français et n'useraient donc pas de leur droit de cité dans l’intérêt de la France. Ce n’est parce qu’ils ne renoncent à rien que la Nation qui les accueille doit renoncer à son âme pour leur bon plaisir !

Il s’ensuit que poser le pied en France ne confère pas les droits qui appartiennent aux seuls Français, sans quoi ces derniers ne seraient plus maîtres chez eux et la Nationalité serait vide de sens. De plus, le fait que des individus immigrés demeurent étrangers implique qu’ils vivent sous les lois d’un pays qu’ils ne reconnaissent pas comme le leur, auquel ils ne sont pas attachés et qu’ils peuvent retourner d’où ils viennent ou partir ailleurs à tout moment. Il se pourrait donc, s’ils avaient le droit de cité, qu’ils contribuent à faire adopter des lois sans jamais les supporter. Tout est immoral dans cette revendication, qui est d’ailleurs moins celle des immigrés que de leurs prétendus amis.

« Ils sont là depuis longtemps. Ils sont concernés par la vie locale. » Raison de plus, devrait-on dire, de leur refuser le droit de cité. Ils ont eu le temps de devenir français, ils ne le sont toujours pas et sans doute ne le seront-ils jamais. La règle, pour avoir le droit de cité en France, est d’être Français. Cette règle frappée du sceau du bon sens est connue ; elle est la même dans tous les pays du monde, y compris leurs pays d’origine. Ils savent que leurs prétentions sont infondées et scandaleuses. Ils savent aussi ce qu’ils ont à faire pour jouir des droits en question. S’ils ne le font pas, ils ne peuvent s’en prendre qu’à eux-mêmes. Ils n’auront pas le beurre et l’argent du beurre. La France ne se laissera pas avoir à l’usure par des sophismes. Et qu’est-ce que la France, sinon la somme de ses communes ? Qui règnerait en France si ses communes passaient une à une aux mains de l’étranger sous la pression d’une immigration massive et continue encouragée par les partisans du droit de vote pour les étrangers ?

On aura remarqué que les problèmes créés par certains sont toujours pour eux le prétexte d’en créer de nouveaux. Ici, ils instrumentalisent les immigrés. Ils les font venir, ils les exploitent, ils les délaissent, ils les stigmatisent, ils les renvoient à leurs origines, ils les communautarisent, ils en font des ennemis et des envahisseurs et, pour finir, ils veulent leur donner les clés de la maison parce qu’ils sont là, parce qu’ils sont nombreux. Mais, a-t-on oublié que les Français n’ont jamais été consultés sur la question de l’immigration, qu’ils ont été trahis par les capitalistes et la gaucherie main dans la main à chaque étape ? Ils n’ont pas à accepter le fait accompli sans leur consentement. Ils n’ont pas à reconnaître de droits à des individus qu’ils n’ont non seulement pas invité (il n’y a de droits que dans le cadre d’un contrat social ; un mariage forcé est nul et non avenu) mais qui, en plus, se comportent comme en pays conquis. Ils n’ont pas à laisser détruire leur Nation parce que Bobo le collabo se prend tantôt pour un « citoyen du monde » tantôt pour un « citoyen européen », imité en cela par Gaucho le prolo, éternel idiot utile.

vendredi, 07 octobre 2011

PENSEE DU JOUR : l’aristocratie

La démocratie, le gouvernement du peuple, est impossible sous Largent.

L’aristocratie, le gouvernement des meilleurs, est impossible par nature.

Aucun système ne peut permettre aux meilleurs de chaque discipline d’être élevés systématiquement au rang de maîtres et de former ensemble le gouvernement de la cité. (Cette idée, me semble-t-il, était celle d’Auguste Comte et du « positivisme ».) Le talent, le désintéressement, le désir de commander, l’art du commandement et le souci du bien commun qui sont les conditions de l’aristocratie au vrai sens du terme sont rarement réunis dans une même personne, de sorte que ne parviennent réellement au pouvoir, non pas les meilleurs, mais ceux qui, médiocres voire mauvais dans leur discipline, lui courent après et ne reculent devant rien pour y parvenir et s’y maintenir. Si l’aristocratie est officiellement le gouvernement des meilleurs, elle est fatalement l’empire des intrigants dénués de talent et assoiffés de pouvoir.

Talent et pouvoir sont des passions différentes. Les meilleurs en toute chose sont parmi ceux qui se consacrent à leur art avec passion. Mais la passion est absolue. Qui en est possédé lui sacrifie tout. Le fait d’être le meilleur, témoigne en soi d’une passion exclusive pour son sujet. Les meilleurs dans un domaine ne courent pas après le pouvoir et n’en ont probablement pas les qualités. Même s’ils étaient appelés, ils le refuseraient. Et s’ils acceptaient, d’autres deviendraient meilleurs qu’eux.

Ne parviennent donc au pouvoir que les arrivistes qui le désirent et lui sacrifient leur art. Or, pour le conserver, ils doivent se poser comme les meilleurs, puisqu’ils sont sensés l’être, et casser ceux qui les dépassent et pourraient leur faire ombrage. Ils imposent donc des modes pour être eux-mêmes à la page et étouffer le génie ; ils faussent les règles du jeu et vident les mots de leur sens pour régner par la tricherie et le mensonge ; ils substituent la morgue au talent et le politiquement correct à l’intérêt général.

Ainsi, sous l’empire des zélites autoproclamées qui s’auto-congratulent, l’aristocratie se transforme par la force des choses en médiocratie, en voyoucratie, en oligarchie, bref en aristocratie au sens classique et, à raison, péjoratif.

mercredi, 05 octobre 2011

PENSEE DU JOUR : l'épée et le bouclier

Qui n’attaque pas Largent s’en fait le bouclier.

Qui défend Largent s’en fait l’épée.

Or qui n’attaque pas Largent le défend et en est donc à la fois l’épée et le bouclier.

Largent étant le cœur du système (monétaire), qui est l’épée et le bouclier du système est un valet du système, donc un contre-révolutionnaire.

mardi, 04 octobre 2011

PENSEE DU JOUR : le règne du non-sens

Quand Largent est le maître absolu, plus rien n'a de sens, pas même la monnaie.