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dimanche, 18 décembre 2011

PENSEE DU JOUR : droit de vote des étrangers (4)

Pourquoi la gaucherie qui se soucie de l'opinion du peuple français comme d'une guigne tient-elle tant à accorder le droit de vote aux étrangers au nom de la démocratie et en dépit du bon sens ?

samedi, 17 décembre 2011

PENSEE DU JOUR : Timeo danaos...

La gaucherie espère des mercis des immigrés en leur faisant systématiquement des cadeaux empoisonnés (sur le dos des Français).

« Timeo Danaos et dona ferentes - Je crains les Grecs, même quand ils apportent des cadeaux »

jeudi, 08 décembre 2011

PENSEE DU JOUR : parti pris

Sur la question du droit de vote des étrangers, les étrangers qui y sont favorables sont juges et parti, et la gaucherie qui le propose est, comme d'habitude, le parti de l'Etranger.

mardi, 06 décembre 2011

PENSEE DU JOUR : tels des mouches

On n’attrape pas les gauchistes avec du vrai et du juste ; on les séduit, comme on les repousse, avec des sophismes, des étiquettes en novlangue et des slogans bien-pensants.

mardi, 29 novembre 2011

PENSEE DU JOUR : droit de vote des étrangers (2)

Le droit de vote des étrangers est une insulte au bon sens et le renversement de tous les Principes. Cette mesure en apparence pro-immigrés - comme tant d'autres du même acabit - dénote un manque total de respect envers eux. En les dispensant de tout effort d’intégration, en leur donnant tout en échange de rien, en les encourageant à demeurer ce qu'ils sont, elle fera d’eux d’éternels étrangers. Pire ! En validant des revendications et des attitudes scandaleuses, elle les transforme en ennemis.

Ceux qui soutiennent cette disposition viendront ensuite accuser les Français de racisme, de xénophobie, de stigmatisation à l’encontre des immigrés qu’ils auront eux-mêmes discrédités. Ce sont les mêmes qui ont rejeté la politique d'assimilation et conspué le concept d'identité nationale, qui déclarent qu'être français ne veut rien dire et accordent la nationalité française au premier venu, et qui insultent les Français qui, en toute logique, ne voient dans les immigrés nés en France ou naturalisés que des Français de papier.

Immigrationnistes et antiracistes sont des pervers ou des crétins. Ils se présentent comme les amis des immigrés alors qu'ils les poussent dans tous les pièges et sont de fait, consciemment ou non, leurs pires ennemis.

Voir aussi : http://philippelandeux.hautetfort.com/archive/2011/10/08/...

lundi, 14 novembre 2011

PENSEE DU JOUR : immigrationnisme

Quand l'immigrationnisme n'a ni raisons économiques ni raisons politiques, il n'est même plus amour de l'Autre ; il est haine de soi à l'état pur.

samedi, 29 octobre 2011

PENSEE DU JOUR : une Gauche, une !

La Gauche veut l'Egalité. Il n'y a qu'une Gauche puisqu'il n'y a qu'une Egalité, celle des Citoyens en Devoirs et en Droits (dont celui d'accéder au marché). 

Par suite, la notion d'extrême Gauche est un non-sens. Plus que l'Egalité est une forme d'inégalité. Moins que l'Egalité est, par définition, l'inégalité.

Contrairement à la Gauche et à l'Egalité, il y a plusieurs formes d'inégalités, donc plusieurs systèmes et doctrines de Droite. Les systèmes ou doctrines prônant ou aboutissant à une inégalité extrême sont d'extrême Droite.

Ce qui n'est pas de Gauche est, consciemment ou non, de Droite ou d'extrême Droite. Les partis actuellement dits "de gauche", autrement dit la gaucherie, sont dans ce cas. S'ils le savent, ils sont pervers ; s'ils ne le savent pas, ils sont idiots, ce qui n'est rassurant ni dans un cas ni dans l'autre.

Le système monétaire, fondé sur Largent (croyance que la notion de valeur marchande est nécessaire pour échanger), est inégalitaire par nature. Largent commande à Droite. Qui accepte Largent est de Droite quoi qu'il dise. Qui s'attaque à Largent au nom (d'une conception cohérente) de l'Egalité est de Gauche. Dans un système monétaire, la Gauche est, par défaut, la tendance politique la moins à Droite, celle qui s'approche le plus de l'idéal de Gauche.

L'Egalité suppose une société, un ensemble défini de citoyens, une nation. Le crédo de la Gauche est donc : Egalité, patriotisme et nation.

Ce lien a été établi sans équivoque par Robespierre, le père de la Gauche : "Si, dans la République, la justice ne règne pas avec un empire absolu, et si ce mot ne signifie pas l’amour de l’égalité et de la patrie, la liberté n’est qu’un vain nom" (discours du 8 thermidor).

A l'inverse, le crédo de la Droite est : inégalité, individualisme, mondialisme, autant d'éléments sur lesquels l'influence de Largent, pour qui s'y soumet, est évidente.

Les choses ainsi posées, il devient possible de déterminer le bord authentique ou du moins la teinte des partis politiques actuels, indépendamment des étiquettes qu'ils revendiquent ou qui leurs sont collées.

Ces rectifications sont d'autant plus nécessaires que l'heure est grave et que les mensonges profitent aux menteurs et nuisent aux naïfs qui les cautionnent à leurs dépens.                                                     

gauche,droite,gaucherie,mensonges,étiquettes

samedi, 22 octobre 2011

PENSEE DU JOUR : la gaucherie

La gaucherie, c'est une politique de droite mondialiste sous un vernis frelaté de gauche.

Tous les partis actuellement dits "de gauche" méritent le label "gaucherie".

La gaucherie est à la Gauche ce qu'un verre de pisse est à un verre de bière.

Voir Les vraies valeurs des vraies Gauche et Droite

mercredi, 17 août 2011

PENSEE DU JOUR : haine et peur

La gaucherie voit partout, chez ses détracteurs, la haine et la peur. C’est bien plus facile, pour elle qui n’est qu’amour et courage, comme chacun sait, pour les haïr et les ridiculiser.

Selon elle, ils combattent donc par haine et refusent par peur. L’idée qu’ils rejettent simplement par principe l’inacceptable lui est étrangère. S’ils sont contre l’immigration débridée, ce n’est pas parce qu’elle est une catastrophe bilatérale, mais parce qu’ils haïssent les immigrés. S’ils sont contre l’Europe, ce n’est pas parce qu’ils ont confiance en eux et foi en leur pays, mais parce qu’ils ont peur de s’abandonner (à un ogre impotent). La haine de la France, la peur de l’isolement, le mépris des peuples et la soumission à Largent ne sont bien sûr pour rien dans cette appréciation.

07:01 Écrit par Philippe Landeux dans 6. MON BLOG, 7.1. PENSEES DU JOUR, 8. GAUCHERIE | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : gaucherie, peur, haine |  Facebook | |  Imprimer |

dimanche, 17 juillet 2011

LA GAUCHERIE : le parti de l'Etranger

La gaucherie, faussement sociale et ouvertement antinationale, est le parti des étrangers (qu'elle trompe et utilise), donc le parti de l'Etranger.

 

Rapport de Terra Nova :

http://www.lolicus.com/article-la-gauche-a-un-veritable-p...

Version intégrale :

http://www.tnova.fr/sites/default/files/Rapport%20Terra%20Nova%20Strat%C3%A9gie%20%C3%A9lectorale.pdf

Martine Aubry : pour le vote des étrangers

lundi, 06 juin 2011

PENSEE DU JOUR : clivage politique

Le clivage politique aujourd’hui, et jusqu’à ce que la France soit sauvée, n’est plus entre droite et pseudo gauche mais entre patriotes et traîtres à la patrie.

mercredi, 04 mai 2011

GAUCHE / DROITE : LA VALSE DES ETIQUETTES

FRONT NATIONAL : LA GAUCHE RÉINCARNÉE


Il n’y a plus de gauche aujourd’hui dans le paysage politique. Elle ne pourrait exister qu’en conscience, en ayant conscience que Largent est l’ennemi de l’Egalité et en étant porteuse d’un projet cohérent de « société égalitaire » (pléonasme). Cependant, bien qu’aucun parti ne puisse être réellement de gauche, puisque aucun ne peut ou ne veut instaurer l’Egalité, le bon sens n’a pas entièrement disparu et des idées de gauche demeurent. Ces idées — contrat social, devoirs, droits, Sécurité, Liberté, démocratie, nation, pays, frontière, peuple, identité, fierté, patriotisme, ordre, exigence, souveraineté du peuple, indépendance nationale — sont secondaires par rapport à l’Egalité, mais elles en découlent et participeraient à l’édification d’une société digne de ce nom si le pilier principal était en place. Pour l’heure, écrasées par le poids de l’édifice, donc quelque peu déformées (je ne parle pas ici de leur emploi fictif), elles sont les seuls marqueurs de gauche.

Or, force est de constater que non seulement les partis dits « de gauche » ne sont plus sur ces positions mais  leur donnent au contraire l’assaut au nom des immigrés, de l’antiracisme, du multiculturalisme, du métissage, de l’humanisme dévoyé et de l’universalisme dénaturé. Ces positions ne sont pas non plus celles de la droite ouvertement capitalo-libérale, du moins de la droite mondialiste. Car il existe encore une droite capitalo-libérale nationale, concevant le capitalo-libéralisme dans le cadre de la nation. Bien que cette position soit philosophiquement intenable, capitalo-libéralisme et patriotisme étant inconciliables, l’un étant intrinsèquement inégalitaire, l’autre, égalitaire, il n’en demeure pas moins que le patriotisme fait partie du logiciel de gauche, de la gauche historique s’entend. La droite capitalo-libérale nationale est donc déjà plus à gauche que les partis dit « de gauche » et les « citoyens du monde autoproclamés » qui ont chaussé les bottes de la droite capitalo-libérale mondialiste et immigrationniste.

En fait, la plupart des idées et des aspirations authentiquement de gauche qui remontent à la Révolution (d’où viennent également les notions de droite et de gauche) sont aujourd’hui portées par la droite nationale anti-capitalo-libérale, qualifiée d’extrême droite par la gaucherie. Le Front National est objectivement le seul parti de gauche en France à l’heure actuelle, du moins le parti le plus à gauche d’après ses fondamentaux. Qui d’autre arbore le drapeau tricolore, chante la Marseillaise à pleins poumons, qui d’autre est fier d’être français au lieu d’en être honteux ? qui parle de patrie, de nation comme au temps de la Révolution ? qui défend le peuple français au lieu d’en nier l’existence et d’essayer de le dissoudre ? qui réclame des référendums au lieu de craindre le peuple ? qui appelle à sortir de l’Europe au lieu de se bercer d’illusions à son sujet ? qui s’émeut de la décomposition générale de la France au lieu de jouer les autruches ? qui fustige l’insécurité et le laxisme politico-juridique au lieu de nier que la sécurité soit le premier des droits du citoyen ? qui sonne l’alarme contre l’immigration-invasion au lieu de s’en faire le complice ? Etc. Etc. Il n’y a aucune différence fondamentale entre ce discours et celui des révolutionnaires de 1792-1793 qui criaient « Vive la nation ! », décrétaient « la patrie en danger » et vouaient les traîtres à l’échafaud.

Les Français que la propagande intensive gauchiste n’a pas lobotomisés ou effrayés ne s’y trompent pas. Même ceux qui hésitent à accorder leur voix au Front National partagent l’essentiel de son discours. La gaucherie est trop embourbée dans son idéologie et trop hystérique pour se désavouer en adaptant son discours à des fins politiciennes, autrement dit en promettant sans rien tenir comme ose le faire la droite mondialiste. Elle en est donc réduite à dénoncer, en vain, « une droitisation » de l’opinion. Mais, chose bien connue en France, c’est la poule qui chante qui a fait l’œuf. En réalité, c’est la gauche qui s’est droitisée pour devenir la gaucherie immigrationniste et apatride (1), poussant les Français de gauche n’en pouvant plus à rallier en masse la droite nationale qui, par un processus inverse, s’est, pour ainsi dire, jacobinisée (2). La vieille garde frontiste, réellement d’extrême droite, se reconnaît d’ailleurs de moins en moins dans ce Front National dans lequel les Français, eux, se retrouvent de plus en plus.

Les idées de gauche n’ont donc pas disparu, mais les étiquettes sont restées sur des partis dont le contenu, lui, a tourné avec le temps et par la force des choses. C’est là toute l’ambiguïté de la situation : le décalage entre la nature des contenus et les noms obsolètes des contenants. Cette confusion profite encore à la gaucherie, faussement sociale et anti-nationale, qui continue de s’arroger le label « de gauche » et berne ainsi une partie du peuple français qui, lui, est fondamentalement et nécessairement de gauche. Ce faisant, le Front National ne pouvant se revendiquer « de gauche » puisque cette étiquette est déjà prise et a été galvaudée continue de se dire « de droite », ce qui a un effet repoussoir, et cautionne ainsi l’imposture et les mensonges de la gaucherie au lieu de les dénoncer. Du reste, il n’est pas certain que le Front National, en raison de son histoire et des préjugés, ait conscience d’être désormais le parti politique le plus à gauche.

Maintenant, s’il est dommage, d’un point de vue intellectuel, que les mots aient perdu leur sens et souhaitable, d’un point de vue stratégique, qu’ils le retrouvent, l’important est que les Français sachent consciemment ou d’instinct où est leur devoir quand le salut de la France et leur avenir sont en jeu.

Philippe Landeux

 

Extrait d'un texte à paraître : Droite, Gauche - Hier, aujourd'hui et demain

 

NOTES :

(1) L’immigrationnisme est une monstruosité de droite, du grand patronat, la cause est entendue. Mais comment la « gauche » a-t-elle pu s’y convertir et commettre ainsi une double hérésie, d’un côté en singeant les patrons, de l’autre en abandonnant le peuple français ?
Pour le comprendre, il faut se souvenir que la vraie gauche est progressiste, que l’Egalité est son ambition suprême, que Largent l’empêche de l’atteindre et que, pourtant, aucun parti de gauche n’a jamais désigné Largent comme l’ennemi et proposé les moyens à la fois de l’abattre et d’instaurer l’Egalité. Aucun parti de gauche n’a donc jamais été réellement anti-capitaliste ; aucun n’est même réellement libéral puisqu’il ne peut exister, sous le capitalisme, que du capitalo-libéralisme. Néanmoins, le système monétaire n’empêche pas quelques progrès dans certains domaines. Il a donc été possible d’être de gauche sans être fondamentalement égalitaire tant que des progrès furent possibles. Mais il arrive un moment où tous les progrès possibles sous Largent sont réalisés, tout nouveau progrès impliquant de s’attaquer à Largent lui-même et à ses lois. C’est ce qui se produisit au tournant des années 1980. La gauche, inconsciemment capitaliste, ne put franchir le cap et fut dès lors condamnée à reculer, à stagner ou à sombrer dans la démagogie.
Pour sauver la face et les places des éléphants, elle qui n’avait jamais été de gauche que de manière illusoire mit un point d’honneur à paraître encore progressiste. Ne pouvant plus rien faire pour les Français et étant vouée à perdre leur confiance, elle s’en détourna et porta son attention sur les immigrés qui, à la fois exploités en France et originaires de pays moins développés, pouvaient seuls voir en elle la promesse d’un progrès. Les immigrés devinrent pour elle le nouvel opprimé à défendre, le futur électeur à engranger, sa planche de salut. Plus il y en avait, mieux c’était pour elle. Mais pour pouvoir favoriser l’immigration (à l’instar du grand patronat), elle dut persuader les Français qui n’avaient rien à y gagner, bien au contraire, que l’immigrationnisme est un devoir moral, un combat « de gauche », le summum de l’humanisme et de la générosité. Et elle y parvint. Elle réussit à convaincre nombre de Français que se soucier de leurs intérêts est égoïste, qu’être patriote est réactionnaire, fasciste, raciste, nauséabond et que, pour être des hommes bons et respectables, ils devaient se battre exclusivement pour l’autre, ne songer qu’aux immigrés, s’effacer devant eux et s’auto-anéantir. Elle renversa ainsi toutes les idées, se coupa de la réalité et perdit toute raison et toute mesure, tout sens des priorités et des proportions.

La passion soudaine de la gaucherie pour l’écologie répond au même besoin que précédemment : amener les Français à se passionner pour des objets étrangers, à s’investir tout entiers dans des causes auxquelles ils n’ont aucun intérêt, à ne plus se battre pour eux-mêmes, à se désintéresser de leur propre cause, à dépérir sans réagir, à s’autodétruire, à trahir leur peuple et leur pays, à cautionner un chaos social d’un nouveau genre et à croire que c’est en cela que consiste « être de gauche ». L’écologisme — à ne pas confondre avec un réel souci de l’écologie — est apparu après l’immigrationnisme qui, lui, rapporte des électeurs d’origine étrangère sonnants et trébuchants. Avec lui, la gaucherie a touché le jack pot.  L’intérêt de l’écologisme est plus subtil ; c’est de contribuer à lobotomiser davantage les Français pour leur faire avaler les salades immigrationnistes et euro-mondialistes. C’est la cerise sur le gâteau. Bien sûr, dans les deux cas, ces idéologies se sont forgées ou ont été introduites progressivement. Elles ont d’abord semblé raisonnables avant de verser de plus en plus dans l’outrance.

L’européisme a la même fonction et le même intérêt que l’écologisme à la différence qu’il n’a, lui, aucun objet, qu’il est une pure abstraction. C’est la perfection du génie infernal ! L’Europe vendue aux peuples est une belle idée avec laquelle l’Europe réelle n’a aucun rapport. Elle ruine, elle étouffe, elle détruit, elle nie les nations, elle n’apporte rien, elle ne protège de rien, elle est anti-démocratique et ultra-capitaliste : elle ne sert que de monture aux chevaliers de l’ordre mondial et de Largent. Voilà ce que la gaucherie (ouvertement main dans la main avec la droite capitalo-libérale mondialiste) a osé présenter, une fois de plus, une fois de trop, comme un projet « de gauche » ! Heureusement, il semble que la supercherie soit éventée et que le rideau soit prêt d’être tiré.

(2) Symbole on ne peut plus clair de la jacobinisation du FN, Marine Le Pen ose  citer Robespierre dans son discours du 1er mai : "Nous, défenseurs des libertés de pensée et d’opinion sans lesquelles la démocratie n’est qu’un vain mot, nous obligeons au débat et ça gêne. Robespierre l’avait théorisé en son temps : « L’homme de génie qui révèle de grandes vérités à ses semblables est celui qui a devancé l’opinion de son siècle. La nouveauté hardie de ses conceptions effarouche toujours leurs faiblesses et leur ignorance. Toujours les préjugés se ligueront avec l’envie pour le peindre sous des traits odieux ou ridicules »." Extrait du discours sur la liberté de la presse prononcé par Robespierre le 11 mai 1791 à la Société des amis de la Constitution (les Jacobins) et utilisé en partie devant l'Assemblée constituante le 22 août 1791.

12:52 Écrit par Philippe Landeux dans 6. MON BLOG, 8. GAUCHERIE | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : droite, gauche, gaucherie, front, national, landeux |  Facebook | |  Imprimer |

vendredi, 15 avril 2011

IMMIGRATIONNISME, ECOLOGISME, EUROPEISME

IDEOLOGIES DE GAUCHE ?

L’immigrationnisme est une monstruosité de droite, du grand patronat, la cause est entendue. Mais comment la « gauche » a-t-elle pu s’y convertir et commettre ainsi une double hérésie, d’un côté en singeant les patrons, de l’autre en abandonnant le peuple français ?

Pour le comprendre, il faut se souvenir que la vraie gauche est progressiste, que l’Egalité est son ambition suprême, que Largent l’empêche de l’atteindre et que, pourtant, aucun parti de gauche n’a jamais désigné Largent comme l’ennemi et proposé les moyens à la fois de l’abattre et d’instaurer l’Egalité. Aucun parti de gauche n’a donc jamais été réellement anti-capitaliste ; aucun n’est même réellement libéral puisqu’il ne peut exister, sous le capitalisme, que du capitalo-libéralisme. Néanmoins, le système monétaire n’empêche pas quelques progrès dans certains domaines. Il a donc été possible d’être de gauche sans être fondamentalement égalitaire tant que des progrès furent possibles. Mais il arrive un moment où tous les progrès possibles sous Largent sont réalisés, tout nouveau progrès impliquant de s’attaquer à Largent lui-même et à ses lois. C’est ce qui se produisit au tournant des années 1980. La gauche, inconsciemment capitaliste, ne put franchir le cap et fut dès lors condamnée à reculer, à stagner ou à donner l’impression d’avancer en sombrant dans la démagogie.

Pour sauver la face et les places des éléphants, elle qui n’avait jamais été de gauche que de manière illusoire mit un point d’honneur à paraître encore progressiste. Ne pouvant plus rien faire pour les Français et étant vouée à perdre leur confiance, elle s’en détourna et porta son attention sur les immigrés qui, à la fois exploités en France et originaires de pays moins développés, pouvaient seuls voir en elle la promesse d’un progrès. Les immigrés devinrent pour elle le nouvel opprimé à défendre, le futur électeur à engranger, sa planche de salut. Plus il y en avait, mieux c’était pour elle. Mais pour pouvoir favoriser l’immigration (à l’instar du grand patronat), elle dut persuader les Français qui n’avaient rien à y gagner, bien au contraire, que l’immigrationnisme est un devoir moral, un combat « de gauche », le summum de l’humanisme et de la générosité. Et elle y parvint. Elle réussit à convaincre nombre de Français que se soucier de leurs intérêts est égoïste, qu’être patriote est réactionnaire, fasciste, raciste, nauséabond et que, pour être des hommes bons et respectables, ils devaient se battre exclusivement pour l’autre, ne songer qu’aux immigrés, s’effacer devant eux et s’auto-anéantir. Elle renversa ainsi toutes les idées, se coupa de la réalité et perdit toute raison et toute mesure, tout sens des priorités et des proportions.

La passion soudaine de ce que j'appelle désormais « la gaucherie » pour l’écologie répond au même besoin que précédemment : amener les Français à se passionner pour des objets étrangers, à s’investir tout entiers dans des causes auxquelles ils n’ont aucun intérêt, à ne plus se battre pour eux-mêmes, à se désintéresser de leur propre cause, à dépérir sans réagir, à s’autodétruire, à trahir leur peuple et leur pays, à cautionner un chaos social d’un nouveau genre et à croire que c’est en cela que consiste « être de gauche ». L’écologisme — à ne pas confondre avec un réel souci de l’écologie — est apparu après l’immigrationnisme qui, lui, rapporte des électeurs d’origine étrangère sonnants et trébuchants. Avec lui, la gaucherie a touché le jack pot.  L’intérêt de l’écologisme est plus subtil ; c’est de contribuer à lobotomiser davantage les Français pour leur faire avaler les salades immigrationnistes et euro-mondialistes. C’est la cerise sur le gâteau. Bien sûr, dans les deux cas, ces idéologies se sont forgées ou ont été introduites progressivement. Elles ont d’abord semblé raisonnables avant de verser de plus en plus dans l’outrance.

L’européisme a la même fonction et le même intérêt que l’écologisme à la différence qu’il n’a, lui, aucun objet, qu’il est une pure abstraction. C’est la perfection du génie infernal ! L’Europe vendue aux peuples est une belle idée avec laquelle l’Europe réelle n’a aucun rapport. Elle ruine, elle étouffe, elle détruit, elle nie les nations, elle n’apporte rien, elle ne protège de rien, elle est anti-démocratique et ultra-capitaliste : elle ne sert que de monture aux chevaliers de l’ordre mondial et de Largent. Voilà ce que la gaucherie (ouvertement main dans la main avec la droite capitalo-libérale mondialiste) a osé présenter, une fois de plus, une fois de trop, comme un projet « de gauche » ! Heureusement, il semble que la supercherie soit éventée et que le rideau soit prêt d’être tiré.

 

Philippe Landeux


Extrait d'un texte à paraître : Droite, Gauche - Hier, aujourd'hui et demain

samedi, 26 mars 2011

LES HEURES LES PLUS SOMBRES DE NOTRE HISTOIRE

Je n’ai jamais compris pourquoi la gaucherie affectionne particulièrement la phrase « cela rappelle les heures les plus sombres de notre histoire », alors qu’elle est la moins bien placée pour s’en servir. Chaque fois je me dis : comment ose-t-elle ? Mais, comme dit l’autre, les cons osent tout, c’est même à ça qu’on les reconnaît.

Ces fameuses heures sombres sont les années noires 40-44 durant lesquelles la France était occupée par les Allemands, courbée sous le joug nazi, vendue à l’occupant par Vichy. Le peuple français, trahi, envahi, sonné, écrasé, grondait sourdement. Mais ces temps de ténèbres étaient aussi éclairés par la flamme de la Résistance. Les patriotes ardents s’organisaient dans l’ombre, défiaient l’occupant et les traîtres, entravaient leurs projets. Traqués, torturés, il se réchauffaient en chantant la Marseillaise et mourraient en criant Vive la France ! Les plus chanceux combattaient les armes à la main ; certains tombèrent en martyrs, les autres devinrent les héros de la patrie. Ils étaient la France. La vraie France était lumière. Et la lumière chasse les ténèbres.

C’est ne pas avoir une âme de Français que de ne retenir de cette époque que la noirceur au lieu d’y apercevoir le génie de la patrie dans tout son éclat, que de parler de ces temps, non comme d’une épopée terrible, glorieuse et exemplaire, mais comme les plus sombres de notre histoire. Certes, les individus souffrirent, mais que le peuple français fut grand au milieu de tant de trahisons et de souffrances !   

C’est être aujourd’hui un émule des traîtres d’hier, et poignarder la France une nouvelle fois, qu’évoquer Vichy chaque fois que le patriotisme se manifeste ! Quelle une imposture, en effet, que d’établir une continuation entre les collabos passés et les patriotes présents ! La cause des patriotes de tous lieux et de tous temps est une. Ceux qui s’opposent aux envahisseurs de leur pays sont des patriotes ; ceux qui appellent à son invasion, se couchent devant les envahisseurs et persécutent « leurs » compatriotes pour complaire à l’occupant sont des lâches et des collabos. Des collabos ne reculent devant aucun procédé, aucune bassesse. Ils n’ont aucun honneur ; ils mentent comme ils respirent ; ils renversent le sens des mots.

Quoi qu’il en soit, « cela rappelle les heures les plus sombres de notre histoire » évoque un temps où des « Français » trahissaient la patrie et collaboraient avec l’ennemi. En quoi la situation actuelle permet-elle une telle comparaison ? En quoi est-il pertinent, de la part de la gaucherie, de la faire ? A quel propos la fait-elle d’ailleurs ?

A tout propos ! Quiconque exprime une idée patriotique, quiconque défend les traditions françaises, quiconque est partisan de l’indépendance nationale et de la souveraineté du peuple, quiconque s’inquiète de l’immigration-invasion que subit la France depuis 50 ans et qui menace son identité et son existence, bref, quiconque est Français, fier de l’être et désire le rester suscite l’ire des gauchistes qui le peignent en chœur comme un être abject, proposant des mesures rappelant les « heures les plus sombres de notre histoire ». Mais nous avons vu que ces « heures » furent assombries par les collabos, non par les résistants. Or quels dangers menacent aujourd’hui la France et le peuple français ? L’Europe, le mondialisme, l’immigration massive, l’islam, le communautarisme. Les résistants modernes sont ceux qui dénoncent ces dangers, proposent des mesures vigoureuses pour les contrer, revendiquent leur francité et sont prêts, le cas échéant, à se battre pour sauver la France ou du moins l’honneur. Oui, l’avenir est sombre, mais la faute à qui, si ce n’est à ceux qui créent ces dangers et bavent sur les Français, c’est-à-dire la gaucherie et la sarkozie ? Ce sont eux, les gauchistes et les euro-mondialistes, qui, pour le coup, sont des collabos (de « l’Empire » et des envahisseurs) et nous plongent dans une situation qui rappelle en effet les « heures les plus sombres de notre histoire ».

Quelle impudence donc, de la part de la gaucherie, d’appliquer à ses détracteurs une expression forgée par elle et pour elle en définitive ! De tous les responsables de notre situation, elle est la plus coupable. La gaucherie n’est pas la gauche, historiquement et intrinsèquement patriote, mais l’ensemble des traîtres à la patrie autoproclamés « de gauche ». Elle trahit à la fois le peuple français et les immigrés : le peuple français, en le vendant au mondialisme au nom de l’humanisme, en détruisant leur pays au nom du multiculturalisme, en cherchant même à éradiquer leur race au nom du métissage ; les immigrés, en leur faisant haïr les Français au nom de la haine de soi, en les laissant se stigmatiser, en les poussant à se communautariser au nom du droit à la différence, en provoquant leur rejet à force d’encourager l’immigration au nom de l’antiracisme. La différence, c’est qu’elle trahit les Français consciemment, et les immigrés involontairement, car elle croit servir leurs intérêts en leur étant complaisante. La différence, encore, entre les collabos d’hier et la gaucherie, c’est qu’elle a créé elle-même l’ennemi, sans raison, qu’elle le sert sans contrainte, et qu’elle expose la France au plus grand danger qu’elle ait jamais couru.

La gaucherie, c’est l’anti-France, le parti de l’étranger. Il y a donc une nouvelle impudence de sa part à parler de « notre » histoire à propos de l’histoire de France. Elle n’a rien à voir avec la France pour laquelle elle n’a que mépris. L’histoire de France n’est pas la sienne. Ce « notre » n’est qu’une habileté, un moyen de s’inclure dans le peuple français et de paraître légitime quand elle parle. Mais que fait-elle de ce droit de parole usurpé ? Elle s’en sert pour accabler la France et les Français, les rabaisser, les faire culpabiliser, les obliger à se repentir de tout et envers tous, étouffer en eux toute fierté, les appeler à se laisser piétiner. Jamais un mot en leur faveur. Tout pour les étrangers et les immigrés, quoi qu’ils fassent, sauf s’ils sont dignes d’être français. Elle ne fait pas inlassablement allusion « aux heures les plus sombres de notre histoire » pour que les Français soient en alerte et évitent les dangers, mais pour les anesthésier et les piéger plus sûrement, autrement dit pour les armer contre eux-mêmes. Elle ne s’intéresse à eux que pour les perdre, comme si leur sort ne la concernait pas. Elle ne jouit que de leur malheur. Elle n’est pas française de cœur ; elle n’est pas française tout court.

Enfin, aux heures les plus sombres de notre histoire, face au péril, les Français de tous bords politiques mettent de côté leurs différends, écoutent le bon sens, répondent à l’honneur et ne voient plus que l’intérêt supérieur de la patrie. Il est là le peuple de France, c’est-à-dire la France, la vraie. En dehors d’eux, il n’y a que des égarés, des apatrides et des traîtres, tous collabos par bêtise ou en conscience. Or on observe bien, aujourd’hui, un tel mouvement. Des Français de tous horizons se retrouvent sous la bannière du Front National. Que veut-il pour l’essentiel ? L’arrêt de l’immigration, la sortie de l’Europe, l’affirmation de la souveraineté nationale, la résurgence du patriotisme. Voilà les Français que la gaucherie, championne en calomnie, taxe de fascistes pour se donner le beau rôle ! Beaucoup de ces Français ont longtemps été dupes de la gaucherie et de ses mantras assassins et pourtant insipides. Faut-il que l’heure soit grave pour qu’ils se rallient à un parti qu’ils détestaient machinalement comme les fourbes le leur avaient inculqué ! Ils surmontent leur dégoût parce qu’ils réalisent que ce parti est le seul à défendre la patrie, que tous les autres sont ligués contre elle. Le sursaut national approche, comme aux heures les plus décisives de notre histoire.

De Munich à Montoire !

Philippe Landeux

18:00 Écrit par Philippe Landeux dans 6. MON BLOG, 8. GAUCHERIE | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : heures, sombres, histoire, gaucherie |  Facebook | |  Imprimer |