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lundi, 16 avril 2012

LA GOUTTE D’OR QUI FAIT DEBORDER LE VASE

REDIF

5 juillet 2010

Je ne suis d’aucun parti, si ce n’est de celui de la France, d’une France juste, grande et fière, d’une France française faudrait-il préciser de nos jours. Le combat qui m’intéresse est celui de l’Egalité (des citoyens en devoirs et en droits), de la démocratie, mais force est de reconnaître qu’un autre combat est beaucoup plus pressant. En effet, l’Egalité qui est le principe fondamental de l’ordre social et sur lequel je rêve de voir la France enfin assise suppose l’existence du Peuple Français, menacé de disparaître physiquement à court terme. La rapidité et la profondeur des changements, pour ne pas dire des dégâts, qui ont eu lieu en France ces trente dernières années au niveau de la population augurent d’une catastrophe nationale s’ils se poursuivent au même rythme les trente prochaines. Au vrai, la situation sera déjà infernale dans dix ans, car le rythme s’accélère, les changements sont exponentiels. Si dans la présente décennie la France ne rebondit pas, elle est morte.

 Mur de la résistance.jpg

 Les Français commencent à prendre conscience de la gravité de la situation. Le ras-le-bol est général. La manifestation du 18 juin 2010 à l’Etoile, à l’appel de Riposte Laïque et soutenue par une quarantaine d’organisations de tous bords politiques, annonce un sursaut populaire et marquera sans doute, pour l’Histoire, le début de la résistance. J’y étais. C’était magnifique de voir des gens si divers, opposés sur tant de points, mettre de côté leurs divergences pour ne penser qu’au salut de la patrie. Cette dernière est loin d’être sauvée. L’union sacrée doit se renforcer et durer jusqu’à la victoire, c’est-à-dire jusqu’à ce que le bon sens, la raison et le patriotisme aient mis en déroute la niaiserie, la démagogie et l’individualisme de gauche comme de droite. 

Pour ma part, je soutiens Riposte Laïque dont, pourtant, je ne partage pas l’approche. Si dans le combat il faut mettre de côté les divergences, il est bon, par ailleurs, d’avoir des explications franches pour en gommer le plus possible et créer un large consensus. Il ne fait du reste aucun doute que des gens qui se rejoignent dans un même combat ont plus en commun qu’ils ne le croient, qu’ils sont plus séparés par des préjugés (souvent hérités de traditions familiales) que par les principes qui les animent dans le présent. S’ils peuvent s’entendre sur l’essentiel, c’est qu’ils raisonnent grosso modo de la même manière et peuvent donc, avec de la bonne foi, s’entendre sur nombre de détails qui, même si les désaccords persistent, demeurent secondaires.

Je dis donc que je ne partage pas l’approche « religieuse » et réductrice de Riposte Laïque. Elle est « religieuse » et réductrice dans le sens où, en se plaçant sur le terrain de la laïcité, elle consacre les religions comme l’ennemi exclusif et réduit les problèmes au prosélytisme religieux, en l’occurrence islamique. Or l’islamisation de la France n’est pas un phénomène spontané ! C’est l’arbre qui cache la forêt ! Il est impossible de ne pas la lier aux immigrés qui forment l’essentiel des musulmans, donc à l’immigration arabo-africaine par laquelle l’Islam a été introduit en France après la seconde guerre mondiale. Il est de même impossible de ne pas lier la montée de la pression islamique à l’accroissement du nombre de musulmans, lequel est du à la fois à l’immigration massive et à la reproduction effrénée des immigrés (ce n’est un secret pour personne que leur taux de fécondité est très supérieur à celui des Européens). Si l’on ajoute à cela l’intransigeance de l’Islam et la couardise des pouvoirs publics, on aura une idée assez juste des raisons de l’islamisation de la France.

Cependant, l’islamisation de la France, réelle, n’est qu’un aspect du problème général qui est l’orientalisation, l’africanisation, en un mot l’orientafricanisation de la population et des us et coutumes. Quand on se flatte de dire la vérité, il faut dire toute la vérité. Il n’y a pas de mauvaises vérités à dire ; il n’y en a que de dures à entendre.

On peut tourner la question dans tous les sens : la France est un pays européen qui était peuplé exclusivement de Blancs jusqu’à il y a peu. Le fait que le Peuple Français soit historiquement blanc fait partie de l’identité de la France. Cela n’exclut pas que des étrangers de couleur ou de type non-européen puissent y immigrer, mais à condition qu’ils restent minoritaires et se fondent dans la nation (Cf. De Gaulle). Une France sans Blancs, peuplée de Noirs par exemple, ne serait pas plus la France qu’un Congo, sans Noirs, peuplé de Jaunes, ne serait encore le Congo. Ce n’est pas la géographie qui fait un pays, mais sa population. Or nous assistons bel et bien, en France, à la substitution, du moins à la submersion d’une population par une autre. Sous l’effet de l’immigration massive, la proportion de Blancs diminue à vue d’œil. La seule présence massive d’Arabo-africains, qu’ils soient immigrés ou descendants d’immigrés, naturalisés ou non, assimilés ou non, oblige à parler d’orientafricanisation de la France. Or il ne s’est jamais vu dans l’Histoire qu’une population étrangère s’installe pacifiquement en masse sur un territoire et prolifère sans être tentée de chasser les autochtones une fois que le rapport de force lui a été favorable. C’est ce qui est arrivé aux Amériques où les Blancs ont repoussé, exterminé les Indiens et marginalisé les survivants, en Palestine où les Sionistes ont fait de même vis-à-vis des Palestiniens, en Serbie où les Albanais accueillis pas les Serbes ont fini par leur arracher le Kosovo, et dans bien d’autres partie du monde. (Il est comique de constater que les Arabes qui, en France, soutiennent les Palestiniens tiennent eux-mêmes le rôle des Sionistes, c’est-à-dire de colons, alors que les Français qu’ils ne cessent d’insulter, qu’ils traitent de racistes parce qu’ils en ont assez d’être envahis, sont, eux, dans la position des Palestiniens.) Il ne s’est jamais vu non plus que les autochtones, d’abord naïfs et bienveillants, ne prennent pas tôt ou tard les armes, souvent trop tard. Les pays d’Europe et la France en particulier sont confrontés à ce genre de situation. Ce qu’il y a d’inédit et d’invraisemblable, c’est qu’ils — leurs dirigeants — organisent eux-mêmes leur colonisation, ils favorisent les envahisseurs et désarment leurs Peuples à coups de sophismes, ils s’auto-anéantissent. S’ils disparaissent, ce ne sera pas parce qu’ils étaient faibles et impuissants, mais parce qu’ils auront été paralysés par un complexe de supériorité. 

Quant à l’orientafricanisation au niveau des us et coutumes, à vrai dire elle concerne plus les Français qu’elle ne les touche. Elle est le fait d’immigrés — naturalisés ou non — qui ne renoncent pas aux traditions de leur pays d’origine, des traditions qui n’ont pas lieu d’être en France, qui pour certaines sont interdites (polygamie, excision, mariages forcés, prières dans la rue), et qui, lorsqu’elles sont visibles (voiles, djellabas, boubous, drapeaux, etc.), les signalent comme étrangers et anti-français. Ces comportements seraient marginaux quantitativement, on pourrait parler d’exotisme et s’en amuser. Mais, combinés à l’immigration massive, ils sont pléthores et se multiplient ; ils communautarisent les immigrés et défigurent la France. Certains quartiers, certaines villes sont déjà des terres étrangères.

La position de Riposte Laïque ne permet pas d’aller aussi loin dans le constat pourtant indéniable. Dénoncer le voile, la burqua, le niqab, au nom de la laïcité, c’est bien. Mais quid du reste de la panoplie ? Quid des boubous ? Quid de tous ces costumes étrangers, de toutes ces pratiques étrangères qui, sans relever de la question de la laïcité, n’en sont pas moins des hérésies en terre de France ? Au nom de quoi les dénoncer toutes, si ce n’est au nom de la francité et du principe d’assimilation ? Et, encore une fois, quid de l’immigration ?

Je sais que, dans ses colonnes, Riposte Laïque dénonce l’immigration massive et incontrôlée. Mais, face aux journalistes, ses porte-parole se gardent bien d’aborder le sujet. Ils restent enfermés dans le cercle laïcité et islamisation. Pourquoi ? Pour ne pas prêter le flanc, pour ne pas donner l’impression de reprendre le discours de Le Pen, pour ne pas être taxés d’extrême droite ? C’est raté ! Preuve est faite qu’il est inutile de mettre des gants pour complaire aux gauchistes !

Un autre inconvénient à défendre officiellement la laïcité plutôt que la francité ou l’identité française est de permettre à certains athées, arriérés et hystériques, de mettre dans le même sac Islam et Christianisme et de se déchaîner contre ce dernier, donnant libre cours à leur anti-catholicisme pathologique. Or, je suis désolé, mais, en France, toutes les religions ne se valent pas. Qu’on le veuille ou non, le Christianisme, ses valeurs, ses traditions, ses édifices font partie de la France, de son histoire, de la culture et du patrimoine français ; l’Islam et son folklore oriental, non. La laïcité aussi fait partie de la culture politique française. Mais quand elle est mise en avant pour lutter contre l’hégémonie islamique et devient entre les mains des Islamistes et des athées universalistes un moyen de lutter contre les spécificités françaises, elle se révèle pour ce qu’elle est : une arme à double tranchant dangereuse pour celui qui l’utilise, car elle limite ses mouvements et peut être retournée contre lui par des ennemis de mauvaise foi.

Maintenant, je ne dis pas que les courageux fondateurs de Riposte Laïque ont eu tort de se saisir de cette arme. Ils ont saisi ce qu’ils avaient sous la main et ce qui leur est venu à l’esprit en premier, comme on attrape un caillou pour le jeter contre un char. Il est néanmoins temps de s’apercevoir que le moyen est insuffisant dans le combat à mener. Que la laïcité ait été à la fois un moyen judicieux de fédérer rapidement des résistants et un bon premier angle d’attaque est une chose ; qu’elle soit propre à assurer la victoire en est une autre. A défaut de l’abandonner, ce qui est hors de question, il faut étoffer l’arsenal. Son complément naturel est la francité, d’où le triptyque que j’avais proposé comme devise pour Riposte Laïque : « Laïcité – Francité – Fermeté ». La francité est d’ailleurs bien un thème cher à Riposte Laïque qui appelle à un « apéro saucisson pinard » et dont le logo est une cocarde tricolore. Le tout est de le mettre plus en avant, d’en faire ouvertement le vrai cheval de bataille. 

En plaçant la francité au centre du débat, la problématique s’élargit mais tous les problèmes se révèlent liés et les réponses deviennent plus cohérentes. Comme on l’a vu, l’islamisation n’est qu’une facette de l’orientafricanisation qui est elle-même une conséquence de l’immigration massive arabo-africaine. Mais l’immigration massive a été encouragée par le grand patronat et permise par les politiques, de même que l’orientafricanisation est le résultat du renoncement à la politique d’assimilation (les immigrés pourraient-ils du reste s’assimiler quand ils déferlent par centaines de milliers chaque année ?), comme l’islamisation est le fait de la lâcheté politique maquillée derrière l’euphémisme « accommodements raisonnables ». Il y a d’un côté les instruments, de l’autre les instigateurs, tous étant supportés par les citoyens du monde autoproclamés et les associations anti-racistes surmédiatisées (dont les membres sont souvent issus de l’immigration). Dans tout cela, le Peuple Français, celui des Français qui aiment la France et voudraient préserver la francité, est nul.

Pour ma part, je pense que les dégâts sont si profonds qu’ils sont, non pas irréversibles, mais insolubles politiquement. Il n’y a d’ailleurs aucune volonté politique dans ce sens. Pire ! quiconque évoque la francité, l’immigration, la délinquance et l’insécurité (dont nul n’ignore qu’elles sont essentiellement le fait d’immigrés) est aussitôt couvert d’opprobre par les immigrationnistes patentés. Le cas Le Pen est légendaire. Mais, rappelons-nous les insultes dont fut abreuvé M. Sarkozy pour avoir basé sa campagne présidentielle sur les thèmes de l’immigration et de l’insécurité, lui qui avait laissé la France brûler pendant trois semaines, lui dont le kärcher n’a pas même la puissance d’une poire à lavement. Rappelons-nous la levée de boucliers qu’a suscité le débat — Ô combien légitime — sur l’identité nationale lancé par l’insignifiant M. Besson qui, au lieu de faire monter la mayonnaise, à contribuer à faire tourner la chose en eau de boudin. Plus récemment, rappelons-nous le tollé politico-médiatique provoqué par l’annonce d’un apéro saucisson pinard au quartier parisien de la Goutte d’Or dont les rues sont le théâtre de prières musulmanes tous les vendredi, en toute illégalité et ce depuis quinze ans. Les pouvoirs publics l’ont interdit, sous prétexte de risque de troubles à l’ordre public, tandis que la municipalité locale, considérant que magnifier des produits français à la barbe des envahisseurs était une provocation — évidemment ! —, s’est empressée d’organiser un repas halal. Les Français n’ont pas le droit de rappeler qu’ils sont chez eux en France, qu’ils en ont assez d’être envahis fut-ce pacifiquement, d’être terrorisés par des hordes sauvages. Leur propre gouvernement, à dessein ou par crainte d’une « bavure », les enchaîne autant qu’il laisse à leurs ennemis toutes les coudées franches. Des tribunaux abjects, toutes les zélites cosmopolites par idéologie et apatrides par nature, ainsi qu’une partie de leurs concitoyens (compatriotes serait trop fort) lobotomisés par la bien-pensance, tout se ligue contre eux pour les paralyser et à terme les anéantir. Le Peuple Français est seul désormais face à son destin. Il ne peut plus être sauvé que par lui-même.

Il est temps de rappeler cet article de la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen de 1793 : « Lorsque le gouvernement viole les droits du peuple, l’insurrection est pour le peuple et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs. » Bien sûr, une insurrection qui, dans le cas présent, serait le début d’une guerre civile et ethnique est un moyen extrême et même impossible pour des individus désorganisés et désarmés. De plus, de nombreuses considérations et questions sans réponse présentent tant de difficultés qu’il semble que cette entreprise soit vouée à l’échec et donc impensable : Qui en fixe la date ? Quel doit être son but ? Qui répartit les rôles ? Qui sont les ennemis ? Qui sont les amis ? Comment la préparer sans être arrêté ? Comment l’envisager sans être pétrifié par ses terribles conséquences ? En somme, une insurrection qui est en apparence un mouvement spontané ne doit rien laisser à l’improvisation pour réussir ; elle doit être dirigée par des chefs reconnus et décidés. L’idéal est évidemment que ces chefs soient à la tête de l’Etat, afin de disposer de ses ressources et d’en priver les adversaires, afin également de maîtriser le déclenchement de l’insurrection ou de prévenir la guerre civile par une politique vigoureuse.

Les Français ont donc deux solutions complémentaires : 1) mettre de côté leurs différends mineurs en regard de l’enjeu national et voter pour le candidat à l’élection présidentielle qui sera le plus patriote et aura le plus de chances d’être élu (seul un candidat du Front National remplit objectivement ces deux conditions) ; 2) constituer dès à présent des réseaux d’assistance, des groupes d’intervention et s’armer individuellement pour être prêts le moment venu. La première solution peut permettre d’éviter la guerre, mais mieux vaut que les Français s’y préparent sérieusement. Comme l’a montré Riposte Laïque, la France est en état de guerre civile larvée. Un rien peut mettre le feu aux poudres, et ce rien arrivera fatalement un jour ou l’autre — et le plus tôt sera le mieux.

Il est cependant improbable que les Français fassent le premier pas ; ils sont trop modérés, trop légalistes, trop écrasés, trop réfléchis. Ils n’agiront que par réaction et en dernier recours. Mais rassurons-nous ! La racaille bestiale ou les islamistes fanatiques dépasseront un jour les bornes, déclencheront une vague de violence sans précédent sous un prétexte ridicule ou pour soutenir des revendications inacceptables ou pour s’opposer à une mesure allant enfin dans le bon sens ; les tentatives de répression musclée susciteront la solidarité raciale ; l’émeute s’étendra sur tout le territoire ; la France apparaîtra coupée en deux ou plutôt il deviendra évident que l’ennemi est dans la place ; enivrés par leurs premiers succès, rien ne pourra plus arrêter les émeutiers sinon la mort. Alors, plusieurs hypothèses : ou les forces de l’ordre recevront des ordres impitoyables et les écraseront, éventuellement secondées par les Français constitués en milices, ou elles seront « dépassées » à l’image du pouvoir politique qui n’osera toujours pas agir, auquel cas les Français n’auront plus le choix de se défendre eux-mêmes, ou les forces de l’ordre désobéiront et, unies au Peuple Français, renverseront le gouvernement, écraseront les émeutiers et chasseront de France leurs congénères. L’hypothèse que le gouvernement laisse les Français se faire exterminer sans que les forces de l’ordre interviennent ou, pire, avec leur concours, est inconcevable pour la simple raison que ces dernières sont aussi constituées de Français — bien que, de plus en plus, le recrutement favorise des « Français issus de l’immigration » — qui ne pourront rester impassibles et entreront individuellement ou en corps dans la bataille.

Il est également temps de rappeler cet adage romain qu’affectionnaient les révolutionnaires : « Salus populi suprema lex esto - Le salut du Peuple est la loi suprême. » Autrement dit, les considérations ordinaires n’ont plus cours lorsqu’il s’agit de sauver le Peuple dont l’existence est menacée. Or jamais dans son histoire le Peuple Français n’a été en aussi grand péril. Il n’est pas seulement menacé d’être battu, conquis et dominé ; il est menacé d’extinction. L’immigration massive constitue un danger infiniment plus grand que la dernière invasion allemande, car plus insidieux, plus profond, plus durable et plus mortel. Cependant ce danger n’est pas le fruit d’une fatalité. Les immigrés en sont certes partie prenante, et vont de ce fait en prendre plein la gueule, mais les véritables responsables de cette situation apocalyptique sont avant tout les Français influents qui, par intérêt ou par bêtise, font montre d’un respect exorbitant pour les étrangers ou d’un mépris aberrant pour les Français. Aussi, tous les notables qui proposent encore des mesures ou soutiennent des positions qui supposent un de ces penchants doivent désormais être considérés comme des collabos en puissance et des traîtres au Peuple Français. Ces collabos modernes sont d’ailleurs pires que les précédents. Ces derniers s’étaient ralliés à l’ennemi triomphant ; eux ouvrent les portes à un ennemi qu’ils ont créé. Car c’est eux qui ont transformé les immigrés en ennemis à force d’encourager l’immigration sans jamais poser de garde-fous, à force d’en imposer aux Français jusqu’à la nausée. Tout doit être entrepris pour les discréditer et les empêcher de nuire plus longtemps. Ceux qui persévèreront dans leur trahison jusqu’à ce que la tragédie éclate par leur faute ne devront espérer aucun ménagement ni aucune pitié de la part des patriotes. Ils ont trahi le Peuple quand ils pouvaient l’aider ; ils ne peuvent que le trahir à nouveau s’il parvient à se sauver lui-même. Qu’ils sachent que leurs crimes ne resteront pas impunis, que les bonnes intentions ne serviront pas d’excuse, qu’ils seront les premiers à payer de leur vie le mal qu’ils ont fait à la France, aux Français et aux immigrés eux-mêmes.

En résumé, l’avenir n’offre que trois perspectives : 1) Les Français ne réagissent pas et la France disparaît dans quelques décennies, 2) Les Français envoient enfin à l’Elysée un patriote énergique qui fera le ménage avec le seul concours des forces de l’ordre ou qui, de par sa politique sans concession (1), déclenchera des émeutes qui tourneront à la guerre civile, les Français étant alors dans les meilleures conditions pour vaincre, 3) Rien n’est fait, la situation se dégrade encore quelques années jusqu’à ce qu’un événement fasse boule de neige et contraigne les Français à se défendre violemment et légitimement, à s’organiser s’ils ne le sont pas déjà, et à livrer une guerre à mort aux immigrés anti-français, avec des chances incertaines de succès.

De ces trois perspectives, la troisième est la plus réaliste. Il est à peu près sûr que les politiciens, les médias et une part non négligeable des Français continueront à faire les autruches tant que la maison n’aura pas pris feu et même lorsqu’elle flambera sous leurs yeux. Il est douteux, par ailleurs, qu’un patriote catalogué « extrême droite » remporte les prochaines élections présidentielles, même s’il accède au second tour, tant cette étiquette fait aux Français l’effet d’un épouvantail, comme l’atteste l'attitude de Riposte Laïque qui ne cesse de vouloir se démarquer du Front National alors qu’elle est diabolisée comme lui, par les mêmes et de la même manière. Enfin, comme en témoigne le succès de Riposte Laïque, il semble que nombre de Français, même de gauche, ne soient pas disposés à disparaître sans réagir, même s’ils ne savent pas encore comment. La force des choses pousse donc vers la troisième voie, vers un dénouement armé et sanglant, anarchique à ses débuts.

Ce n’est pas vouloir une telle fin que la prédire. Que les pères la vertu qui s’indigneront devant ce discours n’oublient pas qu’ils sont ceux qui ont empêché de prévenir la catastrophe, qui ont même tout fait pour qu’elle advienne aussi sûrement qu’un plus un égale deux. Ils n’ont voulu ni limiter l’immigration ni imposer l’assimilation des immigrés. Maintenant il est trop tard pour redevenir raisonnable et réparer leurs « erreurs » sans aller au clash. Les dés sont jetés. La question aujourd’hui est de savoir comment faire face à l’inéluctable.

Que tous les Français conscients de la situation se mettent bien en tête que l’avenir est sombre, que ça va saigner, que la France va connaître sans doute la pire tragédie de son histoire, qu’il va falloir se salir les mains. Des dizaines de millions de gens à mettre au pas, à tuer ou à chasser… qui peut croire que cela sera aisé et sans douleur ? Que des manifestations patriotiques permettent aux Français de reprendre espoir en voyant qu’ils ne sont pas seuls est une bonne chose. Mais que nul ne se trompe. Ce qui nous attend n’est ni une manif ni une kermesse ; c’est une guerre et la pire de toutes, une guerre civile, ethnique et religieuse. La seule façon de s’y préparer est de réaliser l’union sacrée des patriotes de tous bords, de constituer en secret des groupes armés et si possible coordonnés ; c’est d’appliquer littéralement comme ils le furent en leur temps ces vers de la Marseillaise : « aux armes citoyens, formez vos bataillons ».

Pour finir, une remarque s’impose : les patriotes de gauche n’ont pas la culture du groupuscule et des armes contrairement à l’extrême droite qui, dans ce combat patriotique, est leur allié objectif. Ils ont donc beaucoup à apprendre de ceux avec qui ils vont combattre demain, de ceux avec qui ils doivent d’ores et déjà s’unir. Pour Riposte Laïque et Résistance Républicaine, cela implique trois choses : premièrement, qu’elles ne se bercent pas d’illusions sur la nature du combat à venir, qu’elles ne donnent pas l’impression à leurs membres et à leurs lecteurs que des discours, des journaux et des banderoles suffiront, mais les invitent ouvertement ou de manière plus subtile à se préparer comme il a été dit ; deuxièmement, qu’elles ne prennent plus « l’extrême droite » dans laquelle elles sont elles-mêmes cataloguées par les médias pour cible en essayant de s’en démarquer, en critiquant notamment le Front National, ce qui fait le jeu des ennemis communs (Quant on te donne un cheval, ne demande pas s’il est borgne.) ; troisièmement, qu’elles se rapprochent au contraire de tout mouvement déterminé à sauver la France du politiquement correct et de l’invasion arabo-africaine, et invitent leurs partisans à faire de même, sans quoi l’union sacrée est un vain mot et la résistance une vue de l’esprit. Il va de soi que tous les mouvements sont pareillement invités à mettre en sourdine leurs différends. Que tout le monde comprenne bien que ces différends n’ont aucune importance, que l’heure n’est pas à l’administration mais à la lutte. Si le gouvernement n’est pas patriote, tous les patriotes auront bientôt besoin les uns des autres. Si par miracle le gouvernement est patriote, ce sera aussitôt la guerre civile ; il ne gouvernera donc pas tant il sera accaparé par les opérations et accablé de difficultés. Agiter les différends dans la situation présente, faire comme si chacun était à la veille de transformer en loi ses vues particulières alors qu’aucun n’a le pouvoir et que nul n’y parviendra dans cet état de division, c’est vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tué. Sauvons d’abord la France. Remettons les disputes politiques au lendemain de la victoire.


Laïcité – francité – fermeté
VIVE LA FRANCE !

Philippe Landeux

05 juillet 2010

Ecrit pour et publié par Riposte Laïque

 

NOTE

(1) La première mesure à prendre est de stopper l’immigration arabo-africaine, en ne délivrant plus aucun permis de travail ou visa de tourisme aux ressortissants des pays concernés, en renvoyant systématiquement chez eux les immigrés dont le permis de séjour est expiré et tous les hors la loi, en punissant de dénaturalisation, d’expropriation et de bannissement à vie les employeurs et les logeurs de clandestins. La deuxième est d’interdire sur tout le territoire national le port du voile islamique et toutes ses déclinaisons, de même que tout vêtement et attribut vestimentaire typiquement étranger et incompatible avec l’assimilation, sous peine de dénaturalisation, d’interdiction de séjour et d’expulsion immédiate de toute la famille. La troisième est de réactualiser la loi sur les prénoms, d’interdire aux parents de donner à leur enfant un prénom autre que français ou francisé, de fixer un délai pour que ceux qui n’ont pas un prénom français mais désirent être Français aient le temps d’en adopter un, et, passé ce délai, de déchoir de la nationalité quiconque porte un prénom étranger. La quatrième est de modifier le mode d’acquisition de la nationalité, de supprimer le droit du sol et le droit du sang, de déterminer les conditions qui, attestant la francité, permettent d’y prétendre et les devoirs à remplir pour l’obtenir et la conserver. La cinquième est de ne plus reconnaître la double nationalité, de fixer aux intéressés un délai pour choisir et d’expulser tous ceux qui n’auront pas choisi ou satisfait aux critères de la nationalité française ou qui, ayant opté pour une nationalité étrangère, se comporteront comme des étrangers en pays conquis. La sixième est de ne plus reconnaître aucun droit en France aux personnes dans le cas d’être expulsées. La septième est d’instituer en toute chose le principe de priorité nationale. Toutes ces mesures ne peuvent évidemment être prises que si la France est placée en état de siège, si les forces de l’ordre sont déployées et prêtes à écraser toute contestation.

En complément, voir Avis aux immigrés

20:10 Écrit par Philippe Landeux dans 6. MON BLOG | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : résistance, islam, immigration, front, national |  Facebook | |  Imprimer |

mercredi, 04 mai 2011

GAUCHE / DROITE : LA VALSE DES ETIQUETTES

FRONT NATIONAL : LA GAUCHE RÉINCARNÉE


Il n’y a plus de gauche aujourd’hui dans le paysage politique. Elle ne pourrait exister qu’en conscience, en ayant conscience que Largent est l’ennemi de l’Egalité et en étant porteuse d’un projet cohérent de « société égalitaire » (pléonasme). Cependant, bien qu’aucun parti ne puisse être réellement de gauche, puisque aucun ne peut ou ne veut instaurer l’Egalité, le bon sens n’a pas entièrement disparu et des idées de gauche demeurent. Ces idées — contrat social, devoirs, droits, Sécurité, Liberté, démocratie, nation, pays, frontière, peuple, identité, fierté, patriotisme, ordre, exigence, souveraineté du peuple, indépendance nationale — sont secondaires par rapport à l’Egalité, mais elles en découlent et participeraient à l’édification d’une société digne de ce nom si le pilier principal était en place. Pour l’heure, écrasées par le poids de l’édifice, donc quelque peu déformées (je ne parle pas ici de leur emploi fictif), elles sont les seuls marqueurs de gauche.

Or, force est de constater que non seulement les partis dits « de gauche » ne sont plus sur ces positions mais  leur donnent au contraire l’assaut au nom des immigrés, de l’antiracisme, du multiculturalisme, du métissage, de l’humanisme dévoyé et de l’universalisme dénaturé. Ces positions ne sont pas non plus celles de la droite ouvertement capitalo-libérale, du moins de la droite mondialiste. Car il existe encore une droite capitalo-libérale nationale, concevant le capitalo-libéralisme dans le cadre de la nation. Bien que cette position soit philosophiquement intenable, capitalo-libéralisme et patriotisme étant inconciliables, l’un étant intrinsèquement inégalitaire, l’autre, égalitaire, il n’en demeure pas moins que le patriotisme fait partie du logiciel de gauche, de la gauche historique s’entend. La droite capitalo-libérale nationale est donc déjà plus à gauche que les partis dit « de gauche » et les « citoyens du monde autoproclamés » qui ont chaussé les bottes de la droite capitalo-libérale mondialiste et immigrationniste.

En fait, la plupart des idées et des aspirations authentiquement de gauche qui remontent à la Révolution (d’où viennent également les notions de droite et de gauche) sont aujourd’hui portées par la droite nationale anti-capitalo-libérale, qualifiée d’extrême droite par la gaucherie. Le Front National est objectivement le seul parti de gauche en France à l’heure actuelle, du moins le parti le plus à gauche d’après ses fondamentaux. Qui d’autre arbore le drapeau tricolore, chante la Marseillaise à pleins poumons, qui d’autre est fier d’être français au lieu d’en être honteux ? qui parle de patrie, de nation comme au temps de la Révolution ? qui défend le peuple français au lieu d’en nier l’existence et d’essayer de le dissoudre ? qui réclame des référendums au lieu de craindre le peuple ? qui appelle à sortir de l’Europe au lieu de se bercer d’illusions à son sujet ? qui s’émeut de la décomposition générale de la France au lieu de jouer les autruches ? qui fustige l’insécurité et le laxisme politico-juridique au lieu de nier que la sécurité soit le premier des droits du citoyen ? qui sonne l’alarme contre l’immigration-invasion au lieu de s’en faire le complice ? Etc. Etc. Il n’y a aucune différence fondamentale entre ce discours et celui des révolutionnaires de 1792-1793 qui criaient « Vive la nation ! », décrétaient « la patrie en danger » et vouaient les traîtres à l’échafaud.

Les Français que la propagande intensive gauchiste n’a pas lobotomisés ou effrayés ne s’y trompent pas. Même ceux qui hésitent à accorder leur voix au Front National partagent l’essentiel de son discours. La gaucherie est trop embourbée dans son idéologie et trop hystérique pour se désavouer en adaptant son discours à des fins politiciennes, autrement dit en promettant sans rien tenir comme ose le faire la droite mondialiste. Elle en est donc réduite à dénoncer, en vain, « une droitisation » de l’opinion. Mais, chose bien connue en France, c’est la poule qui chante qui a fait l’œuf. En réalité, c’est la gauche qui s’est droitisée pour devenir la gaucherie immigrationniste et apatride (1), poussant les Français de gauche n’en pouvant plus à rallier en masse la droite nationale qui, par un processus inverse, s’est, pour ainsi dire, jacobinisée (2). La vieille garde frontiste, réellement d’extrême droite, se reconnaît d’ailleurs de moins en moins dans ce Front National dans lequel les Français, eux, se retrouvent de plus en plus.

Les idées de gauche n’ont donc pas disparu, mais les étiquettes sont restées sur des partis dont le contenu, lui, a tourné avec le temps et par la force des choses. C’est là toute l’ambiguïté de la situation : le décalage entre la nature des contenus et les noms obsolètes des contenants. Cette confusion profite encore à la gaucherie, faussement sociale et anti-nationale, qui continue de s’arroger le label « de gauche » et berne ainsi une partie du peuple français qui, lui, est fondamentalement et nécessairement de gauche. Ce faisant, le Front National ne pouvant se revendiquer « de gauche » puisque cette étiquette est déjà prise et a été galvaudée continue de se dire « de droite », ce qui a un effet repoussoir, et cautionne ainsi l’imposture et les mensonges de la gaucherie au lieu de les dénoncer. Du reste, il n’est pas certain que le Front National, en raison de son histoire et des préjugés, ait conscience d’être désormais le parti politique le plus à gauche.

Maintenant, s’il est dommage, d’un point de vue intellectuel, que les mots aient perdu leur sens et souhaitable, d’un point de vue stratégique, qu’ils le retrouvent, l’important est que les Français sachent consciemment ou d’instinct où est leur devoir quand le salut de la France et leur avenir sont en jeu.

Philippe Landeux

 

Extrait d'un texte à paraître : Droite, Gauche - Hier, aujourd'hui et demain

 

NOTES :

(1) L’immigrationnisme est une monstruosité de droite, du grand patronat, la cause est entendue. Mais comment la « gauche » a-t-elle pu s’y convertir et commettre ainsi une double hérésie, d’un côté en singeant les patrons, de l’autre en abandonnant le peuple français ?
Pour le comprendre, il faut se souvenir que la vraie gauche est progressiste, que l’Egalité est son ambition suprême, que Largent l’empêche de l’atteindre et que, pourtant, aucun parti de gauche n’a jamais désigné Largent comme l’ennemi et proposé les moyens à la fois de l’abattre et d’instaurer l’Egalité. Aucun parti de gauche n’a donc jamais été réellement anti-capitaliste ; aucun n’est même réellement libéral puisqu’il ne peut exister, sous le capitalisme, que du capitalo-libéralisme. Néanmoins, le système monétaire n’empêche pas quelques progrès dans certains domaines. Il a donc été possible d’être de gauche sans être fondamentalement égalitaire tant que des progrès furent possibles. Mais il arrive un moment où tous les progrès possibles sous Largent sont réalisés, tout nouveau progrès impliquant de s’attaquer à Largent lui-même et à ses lois. C’est ce qui se produisit au tournant des années 1980. La gauche, inconsciemment capitaliste, ne put franchir le cap et fut dès lors condamnée à reculer, à stagner ou à sombrer dans la démagogie.
Pour sauver la face et les places des éléphants, elle qui n’avait jamais été de gauche que de manière illusoire mit un point d’honneur à paraître encore progressiste. Ne pouvant plus rien faire pour les Français et étant vouée à perdre leur confiance, elle s’en détourna et porta son attention sur les immigrés qui, à la fois exploités en France et originaires de pays moins développés, pouvaient seuls voir en elle la promesse d’un progrès. Les immigrés devinrent pour elle le nouvel opprimé à défendre, le futur électeur à engranger, sa planche de salut. Plus il y en avait, mieux c’était pour elle. Mais pour pouvoir favoriser l’immigration (à l’instar du grand patronat), elle dut persuader les Français qui n’avaient rien à y gagner, bien au contraire, que l’immigrationnisme est un devoir moral, un combat « de gauche », le summum de l’humanisme et de la générosité. Et elle y parvint. Elle réussit à convaincre nombre de Français que se soucier de leurs intérêts est égoïste, qu’être patriote est réactionnaire, fasciste, raciste, nauséabond et que, pour être des hommes bons et respectables, ils devaient se battre exclusivement pour l’autre, ne songer qu’aux immigrés, s’effacer devant eux et s’auto-anéantir. Elle renversa ainsi toutes les idées, se coupa de la réalité et perdit toute raison et toute mesure, tout sens des priorités et des proportions.

La passion soudaine de la gaucherie pour l’écologie répond au même besoin que précédemment : amener les Français à se passionner pour des objets étrangers, à s’investir tout entiers dans des causes auxquelles ils n’ont aucun intérêt, à ne plus se battre pour eux-mêmes, à se désintéresser de leur propre cause, à dépérir sans réagir, à s’autodétruire, à trahir leur peuple et leur pays, à cautionner un chaos social d’un nouveau genre et à croire que c’est en cela que consiste « être de gauche ». L’écologisme — à ne pas confondre avec un réel souci de l’écologie — est apparu après l’immigrationnisme qui, lui, rapporte des électeurs d’origine étrangère sonnants et trébuchants. Avec lui, la gaucherie a touché le jack pot.  L’intérêt de l’écologisme est plus subtil ; c’est de contribuer à lobotomiser davantage les Français pour leur faire avaler les salades immigrationnistes et euro-mondialistes. C’est la cerise sur le gâteau. Bien sûr, dans les deux cas, ces idéologies se sont forgées ou ont été introduites progressivement. Elles ont d’abord semblé raisonnables avant de verser de plus en plus dans l’outrance.

L’européisme a la même fonction et le même intérêt que l’écologisme à la différence qu’il n’a, lui, aucun objet, qu’il est une pure abstraction. C’est la perfection du génie infernal ! L’Europe vendue aux peuples est une belle idée avec laquelle l’Europe réelle n’a aucun rapport. Elle ruine, elle étouffe, elle détruit, elle nie les nations, elle n’apporte rien, elle ne protège de rien, elle est anti-démocratique et ultra-capitaliste : elle ne sert que de monture aux chevaliers de l’ordre mondial et de Largent. Voilà ce que la gaucherie (ouvertement main dans la main avec la droite capitalo-libérale mondialiste) a osé présenter, une fois de plus, une fois de trop, comme un projet « de gauche » ! Heureusement, il semble que la supercherie soit éventée et que le rideau soit prêt d’être tiré.

(2) Symbole on ne peut plus clair de la jacobinisation du FN, Marine Le Pen ose  citer Robespierre dans son discours du 1er mai : "Nous, défenseurs des libertés de pensée et d’opinion sans lesquelles la démocratie n’est qu’un vain mot, nous obligeons au débat et ça gêne. Robespierre l’avait théorisé en son temps : « L’homme de génie qui révèle de grandes vérités à ses semblables est celui qui a devancé l’opinion de son siècle. La nouveauté hardie de ses conceptions effarouche toujours leurs faiblesses et leur ignorance. Toujours les préjugés se ligueront avec l’envie pour le peindre sous des traits odieux ou ridicules »." Extrait du discours sur la liberté de la presse prononcé par Robespierre le 11 mai 1791 à la Société des amis de la Constitution (les Jacobins) et utilisé en partie devant l'Assemblée constituante le 22 août 1791.

12:52 Écrit par Philippe Landeux dans 6. MON BLOG, 8. GAUCHERIE | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : droite, gauche, gaucherie, front, national, landeux |  Facebook | |  Imprimer |

jeudi, 14 avril 2011

PENSEE DU JOUR : FN

La France survivrait au Front National ; elle ne survivra pas à l'immigration.