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mardi, 05 juin 2012

PENSEE DU JOUR : demi-tour droite

Dire que le FN est d'extrême droite, c'est faire croire que le PS et le FG sont de gauche.

12:00 Écrit par Philippe Landeux dans 6. MON BLOG, 7.1. PENSEES DU JOUR | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook | |  Imprimer |

lundi, 04 juin 2012

PENSEE DU JOUR : attention à la marche

Les gens sont d'aujourd'hui ou d'hier ; je suis d'après-demain.

16:00 Écrit par Philippe Landeux dans 6. MON BLOG, 7.1. PENSEES DU JOUR | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook | |  Imprimer |

dimanche, 03 juin 2012

PENSEE DU JOUR : suivez l'argent

On n'est jamais financé que par les riches.

L'ANTIRACISTE (dessin)

2012 02 23 - Négrier.jpg

10:06 Écrit par Philippe Landeux dans 6. MON BLOG | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook | |  Imprimer |

samedi, 02 juin 2012

PENSEE DU JOUR : ultra droite

La Droite est ultra-majoritaire en France : 80 % = UMP + gaucherie (fausse gauche, vraie droite).

La Gauche, la vraie, patriote et sociale, en un mot jacobine, ne dépasse pas encore les 20 % (FN).

vendredi, 01 juin 2012

LES NEO-NEGRIERS

immigrants.jpg

Cela fait près de trente ans que l’oligarchie organise l’invasion migratoire de notre pays en la justifiant qui par des nécessités économiques, au nom de Largent en dernière analyse, qui par humanité, au nom d’une conception démagogique et suicidaire des droits.

Cette politique a été amorcée par le grand patronat et cautionnée par leurs relais politiques pour soi-disant pallier un manque de main d’œuvre. En plus, les immigrés travaillent vachement bien ! Cela n’avait donc évidemment rien à voir avec le fait qu’ils étaient parqués, corvéables à merci, sous-payés, en un mot exploités comme n’auraient pu l’être des Français. Quelle idée de croire que le profit était la véritable motivation ! Au pays des droits de l’Homme, c’est bien connu, les patrons sont philanthropes. Ils aiment tellement les immigrés, qu’ils ont permis à leurs familles de venir. Là encore, il faudrait être tordu pour croire que cette mesure, qui leur évitait la peine d’aller les chercher au bled, était destinée à leur mettre le troupeau sous la main !

Le cirque durait depuis deux décennies quand, soudain, les socialistes arrivés au pouvoir par miracle, mais en perte de vitesse, s’entichèrent des malheureux immigrés et mirent au point un étrange discours antiraciste (avec Julien Dray) et anti-français (avec BHL). Sous prétexte de combattre le « racisme » (qu’ils se gardèrent bien de définir afin d’élargir cette notion à l’infini), ils s’érigèrent en défenseurs exclusifs et inconditionnels des arabo-africains ; ils traitèrent systématiquement ces derniers, même nés en France, en immigrés, jamais en Français ; ils abolirent la politique d’assimilation et firent passer pour une monstruosité la volonté de les assimiler, c’est-à-dire d’exiger d’eux qu’ils renoncent, pour être réellement français et considérés comme tels, à certaines coutumes étrangères (notamment au niveau des prénoms et des vêtements) ; ils les encouragèrent à cultiver la fierté de leurs origines et à s’enfermer dans une identité étrangère. Dans le même temps, ils interdirent aux Français, sous peine d’être traités de fascistes, de nourrir et surtout d’exprimer le moindre sentiment patriotique. En faisant de la lutte obsessionnelle contre le racisme une priorité nationale, ils avaient élevé la France au rang de pays raciste et voué le peuple français aux gémonies. Bref, ils avaient porté les bons immigrés à haïr les méchants Français et contraint ces derniers, qui sont pourtant chez eux, à faire profil bas. Bien sûr, rien à voir, là non plus, avec d’obscurs calculs ! Il est impensable que les amis autoproclamés des immigrés, chevaliers des droits de l’Homme, aient seulement cherché à engranger des électeurs (Français terrorisés par le spectre du fascisme et « immigrés » reconnaissants pour tant de compassion). Qu’ils soient devenus les chantres de l’immigration tous azimuts, les défenseurs des « sans papiers » et les partisans du droit de vote des étrangers n’est évidemment qu’une coïncidence.

Mais la gaucherie, qui n’a de « Gauche » que l’étiquette, n’a pas que du cœur, elle a aussi une tête. Elle prend très au sérieux les questions économiques qu’elle aborde toujours, bizarrement, avec le point de vue du patronat et au nom de Largent. Sans doute est-ce fortuit si la défense des immigrés présents est aussitôt allée de pair avec l’interdiction morale de parler du phénomène migratoire et de vouloir gérer l’immigration de plus en plus massive. A la rigueur, on peut admettre que dénoncer les atteintes aux personnes d’origine étrangère ait été une réaction de justice, quoique les droits des Français n’aient jamais pesé bien lourd dans la balance. Mais favoriser l’immigration elle-même est sans rapport et avait nécessairement d’autres motifs.

Tout d’abord, il était mathématique que l’exaltation de l’Autre et la négation des nations ouvrent grand la porte à l’immigration. Il fallait donc s’y attendre et des mauvaises langues pourraient dire que cela était voulu. Ensuite, il est étonnant que la gaucherie ait non seulement nié les problèmes manifestes induits par l’immigration (dans tous les domaines : emploi, salaires, instruction, insécurité, logement, finances, identité, moral, etc.) mais en ait tiré prétexte à la fois pour accabler un peu plus les Français légitimement mécontents et faire plus que jamais l’apologie de l’immigration. Pour qui roulait-elle ? A qui profitait le crime que les naïfs pouvaient prendre pour du bon cœur ? Pas aux Français. Pas aux immigrés. Aux patrons et à eux seuls. La « libre circulation des personnes » est la traduction en politiquement correct de la « libre exploitation des travailleurs ».

Il est donc clair que la gaucherie sert par ses sophismes et ses impudences les intérêts exclusifs du patronat auquel elle apporte sur un plateau, mieux que dans ses rêves les plus fous, une main d’œuvre bon marché. Les conséquences pour la France, elle s’en fout. Elle a prouvé par ses discours que les Français, eux, peuvent crever et même qu’elle veut leur mort. Ce n’est ni par hasard qu’elle insulte ceux qui sont encore debout ni par étourderie qu’elle abreuve les autres de contradictions insoutenables. Faut-il qu’elle nous prenne tous pour des cons en faisant du racisme un délit alors qu’elle nie l’existence des races, en louant un jour la diversité, le lendemain le métissage, en prônant un jour le respect des différences, en poussant à la différenciation, en vitupérant le lendemain contre la stigmatisation et les discriminations, en appelant au « vivre ensemble » après avoir tout communautarisé, en se pâmant devant les cultures du monde tout en crachant sur l’identité française, en bouffant du curé tout en goûtant le halal, en dénonçant la colonisation française tout en organisant la colonisation de la France, bref, car la liste est longue, en étant systématiquement dans le deux poids, deux mesures, en disant tout et son contraire, en appliquant aux Français et aux étrangers des principes diamétralement opposés.

Quiconque a échappé à cette entreprise de lobotomisation s’aperçoit que la droite mondialiste et la gaucherie (droite mondialiste sous un pseudo vernis de gauche, aujourd’hui, l’ensemble des partis dits « de gauche ») se sont partagés les rôles, genre bon flic, méchant flic. Ce sont les deux faces d’une même pièce. Elles transpirent le même mépris pour les êtres humains ; elles communient dans la haine des nations et des peuples. Elles avancent sous des couleurs différentes, mais elles marchent au même but : le mondialisme. Elles font mine de se combattre pour se partager les combattants et être sûres de l’emporter. Et elles ont compris que l’immigration serait un formidable instrument, utile sur tous les plans (économique et politique), qu’il fallait juste un baratin d’enfer pour faire croire au peuple qu’elle est une nécessité, un bienfait voire une fatalité.

Mais qu’est-ce que l’immigration massive, telle qu’elle est organisée, si l’on arrête de se payer de mots. Pour le pays d’accueil, c’est une invasion sur un mode inédit dans l’histoire. Pour le pays de départ, c’est une saignée de ses forces vives. Pour les migrants, c’est un drame. Dans tous les cas, l’immigration ou l’émigration, selon le pays où l’on se place, est organisée, voulue, permise et favorisée par les élites occidentales. En Occident, ce sont elles qui font les lois contre leurs propres peuples pour permettre l’immigration (ce qui ne veut pas dire assurer le bien-être des immigrés, au contraire). En Afrique (noire ou du nord), ce sont elles qui, malgré la décolonisation officielle, tirent encore les ficelles. Ce sont elles qui font ou renversent les gouvernements au gré de leurs intérêts, qui tiennent les grandes entreprises, qui vampirisent les ressources et maintiennent les habitants dans la misère, soit pour les exploiter sur place, soit pour les pousser à émigrer, ce à quoi beaucoup se résignent. Ni fusil ni fouet. Ceux qui succombent aux sirènes occidentales payent même le voyage. Mais au bout de la route, souvent périlleuse, désillusion brutale. Ils sont là pour trimer —  « comme des Nègres » ou « au noir ». Ce ne sont que des instruments économiques et politiques. Pas des hommes : des variables (pour les patrons) et des faire-valoir (pour la gaucherie). Ainsi, à la déportation forcée a succédé l’émigration « volontaire ». Aux bateaux à voiles ont succédé les bateaux à moteur. A l’Amérique a succédé l’Europe. A l’esclavage a succédé l’exploitation. Les procédés d’enlèvement, le circuit, la forme et le discours ont changé, mais le principe, l’esprit, le but et les profiteurs sont les mêmes. L’immigration massive est un trafic d’être humains, une traite moderne, et les immigrationnistes sont ni plus ni moins que des néo-négriers.

Une autre chose a changé : le nombre des victimes et l’ampleur des dégâts. Ce n’est plus par centaines mais par milliers et millions que les arabo-africains sont « chassés » de leurs pays. Et ce n’est plus dans des territoires vierges qu’ils atterrissent, mais dans de vieilles nations. Or les peuples européens n’ont rien demandé et pâtissent plus qu’ils ne profitent de leur présence dont ils n’ont même pas le droit de se plaindre. L’immigration est un drame aussi bien pour les immigrés que pour les autochtones, quoique pour d’autres raisons. Et les néo-négriers grands et petits, qui l’orchestrent ou la cautionnent, ont le front d’invoquer la souffrance des premiers pour ignorer celle des seconds, pour leur interdire même d’en éprouver. Ce faisant, ils organisent la colonisation de leur propre pays et, à terme, l’extinction de leur propre peuple.

Les immigrationnistes ont en effet la double casquette : néo-négriers et néo-colonialistes. Tout dans leur discours relève du colonialisme. Hier il s’agissait d’apporter la civilisation aux sauvages, aujourd’hui, de les accueillir chez nous parce qu’ils sont nécessairement malheureux chez eux (et pour cause !). Ces bougres ne sont pas assez dégourdis pour s’en sortir tout seuls ! De fait, les immigrationnistes, champions de l'antiracisme, postulent la supériorité des races, ce qui est le racisme authentique, pour soutenir, aux dépens de leur pays, une nouvelle forme de colonialisme. Ceci débouche sur deux paradoxes.

Premièrement, contrairement aux colons européens qui avaient la force pour eux, les nouveaux colons sont a priori en position de faiblesse. Mais les immigrés ne sont pas des colons par essence. Ils n’en deviennent que s’ils forment un groupe à part qui ambitionne de dicter sa loi ou, du moins, de vivre selon les siennes. Des immigrés en nombre limité et assimilés ne présenteraient pas ces caractères. Il suffisait, pour cela, de maîtriser l’immigration et d’exiger des immigrés qu’ils s’assimilent. Or c’est précisément ce que les immigrationnistes ont refusé et refusent encore de faire. C’est donc eux qui, en dispensant les immigrés de s’assimiler et en leur inspirant même la haine des Blancs, tout en laissant grossir indéfiniment leur nombre, tantôt en niant cette réalité, tantôt en l’enjolivant, leur ont insufflé l’esprit de corps (communautarisme) et de conquête, les ont transformés en colons et en danger. Individuellement, les immigrés ne pèsent pas lourd. Mais en masse (des dizaines de millions), ils ne sont plus négligeables et finiront par constituer une force colossale. D’ailleurs, ils n’ont pas encore le pouvoir politique que déjà ils imposent progressivement leurs coutumes, même contraires aux lois, avec la complicité des immigrationnistes dont il devient difficile de dire s’ils leur laissent tout faire par condescendance (mépris colonialiste) ou s’ils devancent leurs désirs pour leur plaire (calcul électoraliste à courte vue) ou pour gagner les faveurs de l’occupant et futur maître (esprit collabo). Le premier paradoxe est donc le fait que les immigrés ont été transformés en colons malgré eux par les immigrationnistes qui, eux-mêmes, raisonnent en coloniaux.

Le deuxième paradoxe, déjà évoqué, est que ces colons fabriqués sont traités comme l’étaient les indigènes du temps des colonies. Les immigrationnistes ne se risquent pas à dire que ce sont de « grands enfants » mais les confinent dans des catégories tout aussi dévalorisantes : immigrés, beurs, blacks, jeunes des quartiers, issus de l’immigration, minorité, diversité, etc. Ils les renvoient systématiquement, avec de plus ou moins bonnes intentions, mais toujours avec le même résultat, à leurs origines. Les éducateurs gauchistes croient les servir en les cantonnant aux ateliers couscous, rap, hip-hop, danse du ventre, tressage, tam-tam, etc. Les politiciens accommodent les lois pour eux, instaurent la discrimination positive, subventionnent une foule d’associations antiracistes. Les pauvres ! il faut bien les aider, les respecter, les protéger, les excuser, les distinguer, se mettre à leur portée. Ce ne sont jamais que des Blacks et des Beurs ! (Et ne disons pas Noirs et Arabes, ça ferait raciste !) Les « meilleurs amis des immigrés » n’arrivent pas à voir en eux des Français à part entière ou, tout simplement, des hommes. D’ailleurs, ils sont là pour faire le sale boulot (que les Français ne veulent soi-disant pas faire) et payer les retraites (puisque les Français ne font plus assez d’enfants) ! Qu’entendent les immigrationnistes par « la France a besoin d’immigrés » ou « les immigrés sont une chance pour la France » ? Ce n’est donc pas par humanisme qu’ils organisent l’immigration, mais pour des raisons économiques en premier lieu. Ce ne sont pas les besoins des immigrés qui les préoccupent, encore moins ceux de leurs pays d’origine, mais ceux des patrons et de l’Etat français ! Les immigrationnistes, pourfendeurs hystériques du colonialisme et chantres des droits de l’Homme, voient toujours l’Afrique comme un vivier, et les Africains comme des serviteurs, et rien de plus. Mais, en reproduisant l’indigénat en France, alors que, dans le même temps, ils favorisent l’immigration massive, ils jouent avec le feu.

Dans un précédent article, je dénonçais l’imposture de certains partis à se dire encore « de gauche » et j’invitais à les appeler systématiquement « la gaucherie ». Je réitère l’invitation. Je vous presse d’adopter ce vocabulaire au lieu de contribuer à la mystification. La guerre se livre aujourd’hui avec des mots et, jusqu’à présent, les mondialistes ont eu l’initiative. Il est temps que les patriotes passent à l’offensive en adoptant, à leur tour, pour qualifier les ennemis de la patrie, une batterie d’épithètes foudroyants. Ils n’ont d’ailleurs que l’embarras du choix pour leur dire leurs quatre vérités. Quelque prétexte qu’ils invoquent, mondialistes et immigrationnistes, initiés ou idiots utiles, sont des néo-négriers, des néo-colonialistes, des traîtres à leur pays et à leur race, coupables de crimes contre les peuples et l’humanité. Ils traitent les patriotes de « fascistes » contre toute vraisemblance : voyons comment ils se défendront quand ils seront appelés justement « NEGRIERS ».

16:56 Écrit par Philippe Landeux dans 6. MON BLOG | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook | |  Imprimer |

PENSEE DU JOUR : de l'interdit à l'obligation

Hier, il était interdit d'interdire ; aujourd'hui, il est obligatoire de vouloir. C'est toujours du grand n'importe quoi !

jeudi, 31 mai 2012

PENSEE DU JOUR : Merluche

Mélenchon est le négatif de Sarkozy. Il est soi-disant anti-mondialiste et immigrationniste quand lui est (était) soi-disant anti-immigration et mondialiste. En réalité, les deux sont mondialistes et immigrationnistes ; l'un ne va pas sans l'autre. Et pour preuve, ce sont tous deux des chantres du métissage forcé.

15:30 Écrit par Philippe Landeux dans 6. MON BLOG, 7.1. PENSEES DU JOUR | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook | |  Imprimer |

mercredi, 30 mai 2012

PENSEE DU JOUR : diversité

Diversité... Diversité... Arrêtez, je vais dégueuler !

15:50 Écrit par Philippe Landeux dans 6. MON BLOG, 7.1. PENSEES DU JOUR | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook | |  Imprimer |

UNE TRANSITION EN COURS

Extrait de la conférence : Largent, le tyran à abattre

Heureusement, la Révolution ne dépend pas entièrement de la volonté des hommes. Ils devront un jour se lever, mais c’est le système présent, poussé par Largent, qui, sans le savoir, leur prépare le terrain et creuse sa propre tombe. Les révolutionnaires auront moins à créer les conditions de la Révolution qu’à saisir l’occasion qui ne manquera pas de se présenter. Ils auront moins à renverser Largent qu’à lui donner le coup de grâce.

Si vous connaissez l’histoire des « révolutions » passées, vous savez  qu’un système peut s’effondrer en quelques jours voire en quelques heures. A un moment donné, l’ordre en place est miné de l’intérieur, les rapports de force s’inversent et, avec un peu d’audace et de courage, tout bascule. C’est le fait qu’il n’y ait jamais eu réellement de Révolution, puisque jamais l’Egalité n’a été instaurée, qui a permis à de nouvelles puissances de se constituer ou aux anciennes de relever la tête. La Révolution qui apportera l’Egalité sera, elle, invincible et irréversible.

Or, comme je l’ai expliqué, la Révolution implique une révolution au niveau de la conception de l’échange, donc l’anéantissement de Largent et, par suite, l’abolition de la monnaie. Si j’ai raison, une évolution doit être perceptible à ce niveau dès aujourd’hui. Est-ce le cas ?

On ne peut pas nier que l’informatique a amené de grands changements dans ce domaine, qu’elle a même bouleversé le monde de la finance. Elle a permis d’effectuer sans effort des calculs jusqu’alors impossibles, de doter tous les individus d’un compte bancaire, de tout financiariser et d’accélérer les transactions jusqu’à effectuer des opérations démentes. Elle a dopé le système monétaire ; elle a rendu Largent tout puissant. Mais la roche tarpéienne est plus proche du Capitole qu’on ne croit. Le système devenu fou et complètement virtuel est au bord de l’effondrement. Largent croyait triompher : il ne vivait que son apothéose et s’apprête à pousser le chant du cygne. Or, quand on sait que le moyen d’échange de la Cité est inconcevable sans l’informatique, quand on sait que l’informatique est une des conditions de la Révolution selon le Civisme, il devient clair que, malgré les apparences, l’informatique est mortelle pour Largent et la monnaie. Il est dans l’ordre des choses que le capitalisme ouvre la voie à la Révolution en favorisant une innovation qui scie la branche sur laquelle il est assis.

Plus concrètement, l’informatique permet la dématérialisation de la monnaie et sa manipulation via des cartes de crédits. La monnaie reste le moyen d’échange du système mais n’a plus de consistance, elle est purement virtuelle, ce n’est plus qu’une croyance : elle se confond désormais avec Largent. A ce stade, la monnaie ne peut plus évoluer ; elle est au bout de son évolution. Mais le temps ne va pas s’arrêter pour autant. Dès lors, deux hypothèse : soit la monnaie n’évolue plus, ce qui contrarie la loi universelle, soit toute nouvelle évolution lui sera fatale, puisque le néant est le seul avenir du virtuel. Dans ce second cas, qui est la seule hypothèse probable, resteraient donc des cartes sans objet. Coïncidence : le Civisme prévoit des Cartes comme moyen d’échange. Ce ne sera plus des cartes de crédits servant à manipuler la monnaie mais des Cartes civiques permettant d’attester la Citoyenneté. Que seront les Cartes civiques sinon une évolution révolutionnaire des cartes de crédits, une évolution fatale à la monnaie ? Autrement dit, l’informatique qui fait la puissance de Largent fait aussi la faiblesse de la monnaie. La dématérialisation de la monnaie, rendue possible par l’informatique, entraîne l’émergence d’un nouveau moyen d’échange et d’une nouvelle conception de l’échange qui seront fatales à Largent et à la monnaie. L’informatique est à la fois un problème aujourd’hui et la solution pour demain.

Un autre indice de la transition en cours est la réalité de notre mode d’échange. En théorie, nous faisons toujours du troc via le système de représentation de la valeur marchande qu’est la monnaie. En théorie, un salaire est fonction de la valeur du travail qu’il rémunère. Sans revenir sur l’absurdité de la soi-disant équivalence entre la valeur marchande et le travail ou tout autre chose, tel était en effet le schéma appliqué du temps où les hommes étaient payés à la pièce ou à la journée. On pourrait croire qu’il en est de même lorsqu’ils sont payés, comme aujourd’hui, au mois. Mais qu’en est-il réellement lorsque des millions de travailleurs, aux activités fort différentes, sont payés au salaire minimum légal ? Dans ces conditions, ils ne sont plus payés en fonction de leur travail, mais selon un statut. Leur paiement n’est plus un troc mais la reconnaissance d’un droit, celui d’accéder au marché en proportion dudit salaire. Autrement dit, leur droit d’accéder au marché est lié d’abord à leur statut puis au nombre d’unités monétaires dont ils disposent. Ce mode d’échange est une étape entre deux modes d’échange ; il dénature le mode d’échange monétaire et annonce l’échange social selon lequel les individus auront le droit d’accéder au marché en raison de leur statut, du seul statut reconnu, celui de Citoyen.
 
Enfin, l’apparition de l’informatique est une conséquence de la maîtrise de l’électricité qui, elle, favorise l’industrialisation de la production. Ces progrès nous ont fait entre dans l’ère de la production de masse. Or l’informatique et la production de masse sont les conditions nécessaires pour concevoir et mettre en œuvre un moyen d’échange utilisant la technologie de l’informatique et conférant aux Citoyens un pouvoir d’achat indéfini donc élevé. Un tel pouvoir d’achat n’a pas de raison d’être hors du contexte de production de masse, et concevoir un pouvoir d’achat obligatoirement limité, donc limité artificiellement, empêche d’adopter le principe selon lequel le droit d’accéder au marché doit être attaché à la Citoyenneté. L’absence de production industrielle oblige à recourir à la monnaie et enferme dans le système monétaire. Quoi de plus logique si l’on se souvient que la monnaie repose sur la notion de valeur qui naît du troc, c’est-à-dire d’un mode d’échange incontournable dans un contexte de production artisanale ? Il est également logique 1) que Largent et la monnaie survivent un temps à la disparition de la production artisanale, les idées évoluant moins vite que les choses, 2) que le Civisme soit théorisé peu après l’apparition de l’informatique, puisque cela devient possible, 3) que la Cité voit le jour peu après sa théorisation, puisque, alors, toutes les conditions sont réunies et que Largent n’a plus de raison d’être.

L’effondrement de la construction européenne est, elle aussi, l’indice d’une transition. On remarque, d’ailleurs, que l’effondrement de l’Union Européenne a pour cause ce qui semblait être la base de sa solidité : l’Euro. Unir des nations par une monnaie alors que la monnaie, par nature, divise les hommes était un non-sens. L’entreprise était vouée à l’échec. L’expérience le prouve, la vérité s’impose, même à ceux qui ne veulent pas l’admettre. Mais, surtout, l’Union Européenne était une construction contre-révolutionnaire. La Révolution qui doit avoir pour objet l’anéantissement de Largent et l’abolition de la monnaie n’aurait jamais pu se faire dans le carcan capitaliste européen. Une Révolution ne peut avoir lieu qu’à l’échelle des nations existantes qui seules ont l’unité requise pour une telle aventure. On pouvait craindre que les peuples soient à jamais enchaînés ; la force des choses a déjoué les tyrans et  rallumé l’espoir.

Dans le même ordre d’idées, qui ne s’est jamais fait cette réflexion : « Ce n’est pas possible de voir ça à notre époque ! » Cette réflexion sous-entend qu’il y a manifestement une différence énorme entre le potentiel technique de la « société » et les conditions de vie réelles et les droits de la plupart des « citoyens ». Or il est vrai que l’écart n’a jamais était aussi grand. Pour s’en convaincre, il suffit de tracer sur un même graphique les courbes de l’évolution technique et de l’évolution politique. La première croît lentement jusqu’au XVIIIe siècle, s’accélère au XIXe et devient exponentielle au XXe. La courbe de l’évolution politique, du niveau général des droits, si l’on préfère, a la même allure que la précédente jusqu’à la fin du XIXe. Autrement dit, la fulgurante évolution technique de la fin du XXe n’a pas eu d’équivalent dans le domaine politique, et l’écart entre les deux courbes ne cesse de s’agrandir. Pire ! il semble que l’évolution des droits soit en panne, et même qu’il y ait régression. Cette régression n’est qu’un aléa de l’histoire. Une courbe progresse toujours en dents de scie. Par ailleurs, l’évolution des siècles passés indique que le progrès technique a, avec le temps, des effets dans le domaine politique. Logiquement, la modification des structures de production, pour s’adapter à l’évolution des produits, entraîne des changements de mentalité, suscite des revendications et provoque une évolution sociale. L’évolution technique fulgurante de la fin du XXe va infailliblement entraîner d’ici peu une évolution de la même ampleur dans le domaine politique. Sous cet angle, nous sommes là encore dans une période intermédiaire, entre une révolution accomplie et une autre en attente. Or une révolution dans le domaine politique qui portera les droits à un niveau inconnu, qui apportera la Démocratie et l’Egalité authentiques, ne se fera pas dans un contexte monétaire. Cette Révolution impliquera l’anéantissement de Largent et l’abolition de la monnaie (quoi de plus révolutionnaire ?) qui sont notre limite et font que nous piétinons aujourd’hui.

15:50 Écrit par Philippe Landeux dans 6. MON BLOG | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook | |  Imprimer |

mardi, 29 mai 2012

PENSEE DU JOUR : charmant

Etre royaliste, c'est croire au prince charmant.

lundi, 28 mai 2012

PENSEE DU JOUR : Bis repetita

Un immigrationniste de droite est un négrier ; un immigrationniste de « gauche », un colonialiste. L’un et l’autre sont des traîtres à la patrie et des criminels envers l’humanité.

LES ILLUMINES ET LA FACE OBSCURE DE LARGENT

Je vous présente aujourd’hui, tel quel, un texte que j’ai écrit en 2002 à l’attention de David Icke, auteur du livre, en deux tomes, « Le plus grand secret », dans lequel il parle des Illuminati et autres sociétés occultes et développe la théorie des reptiliens. Je ne doute pas, pour ma part, que des groupes agissent dans l’ombre et tirent les ficelles du monde. Mais ceci n’explique pas tout, et se contenter de cette explication (pour le moins capilotractée en ce qui concerne les reptiliens) est le meilleur moyen de passer à côté de certaines évidences dérangeantes, de tourner indéfiniment autour du pot et de sombrer dans le délire. Se donner bonne conscience aux dépens d’autrui est un réflexe vieux comme le monde mais ne fait pas avancer le schmilblick.

Le livre de M. Icke m’a donné l’occasion de me livrer à un exercice que la plupart des livres politiques permettent d’effectuer. C’est donc à titre d’exemple utile que j’ai exhumé le texte suivant.

UN DETAIL DE TAILLE !

M. Icke est passé à côté d’un élément essentiel alors qu’il tournait manifestement autour. Lequel ? Pour vous aider à trouver, voici un texte concocté à partir de phrases tirées de son livre "Le plus grand secret".

Parmi les domaines énumérés, c’est celui des finances qui a le plus d’importance pour la question du contrôle, de la création et de la manipulation de l’argent. (p. 319, TI) La présence physique a été remplacée par la présence financière, et le contrôle manifeste est devenu un contrôle clandestin. (p. 217, TI) Un emprisonnement travesti en liberté, un contrôle caché au lieu d’un contrôle manifeste. (p. 234, TI) Le système bancaire a rendu l’humanité esclave de monnaies et d’argent irréels. (p. 229, TI) Mayer Amschel Rothschild est cité pour avoir dit : Donnez-moi le contrôle de la devise d’un pays et je ne m’occupe plus de qui fait les lois. (p. 323, TI) C’est la raison pour laquelle les mêmes politiques sont imposées dans tous les pays (p. 218, TI). Il est beaucoup plus difficile d’identifier et, par conséquent, de résister à l’invasion de l’esprit et de la sphère financière. (p. 91, TII) Pour terroriser les gens vous n’avez pas besoin d’un fusil ou d’une bombe. Vous pouvez le faire en menaçant de détruire leur gagne-pain et de les expulser de leurs maisons pour vous faire payer des taxes illégalement. (p. 331, TI) La manipulation qu’exerce la Fraternité babylonienne sur le système financier fait en sorte que vous ne pouvez trouver un emploi. Cette force créatrice toute-puissante qui se trouve en vous ne peut être réprimée. Alors, elle se manifeste d’une manière qui se trouve déséquilibrée, empreinte des vibrations de la colère, du désespoir ou de la frustration. C’est ainsi que naît la violence et l’appétit pour les stupéfiants et l’alcool qui servent à étouffer la douleur émotionnelle. (p. 357, TII) Lorsque les gens sont amenés à vivre dans un état permanent de peur, d’impuissance et de désespoir, ils en viennent à se dissocier de la réalité et à devenir les moutons qu’ils sont encouragés à être. Ils ne vivent plus qu’à la dérive dans un état d’engourdissement servile. (p. 320, TII)

Ce texte à lui seul ne permet peut-être pas de réaliser la lacune de M. Icke, pourtant visible comme le nez au milieu de la figure. Aussi, pour mettre les points sur les "i", voici quelques phrases commentées :

La présence physique a été remplacée par la présence financière, et le contrôle manifeste est devenu un contrôle clandestin. (p. 217, TI) Un emprisonnement travesti en liberté, un contrôle caché au lieu d’un contrôle manifeste. (p. 234, TI ) Dès lors que Largent [croyance que la notion de valeur marchande est nécessaire pour échanger] existe, il y a des pauvres et des riches. Les riches sont les valets de Largent, mais les pauvres sont ses esclaves. Les riches sont les maîtres qui servent un tyran désincarné. Tout le monde ressent cette tyrannie, mais personne ne réalise d’où elle vient, car nul n’admet que la tyrannie ne soit pas le fait d’un homme. Mais dénoncer ou persécuter les riches ne sert à rien, comme nous l’a appris l’expérience. Leurs têtes peuvent tomber, elles n’entraînent pas Largent dans leur chute car son principe n’est pas fondamentalement remis en cause. Dès lors, les riches n’apparaissent plus comme des tyrans, puisque le seul véritable tyran est Largent, mais ils n’en demeurent pas moins les maîtres occultes du jeu. L’erreur est donc de revenir à nouveau à la croyance que la tyrannie est d’origine humaine, même si elle est effectivement servie pas des hommes.

Il est beaucoup plus difficile d’identifier et, par conséquent, de résister à l’invasion de l’esprit et de la sphère financière. (p. 91, TII) Ceci ne s’applique-t-il pas à Largent lui-même, à Largent qui est un fruit de notre imagination bien qu’il ait des conséquences réelles par la suite ? Or qui dénonce Largent ? Qui ose identifier Largent, non comme un moyen d’oppression, mais comme sa source même ? Est-ce parce que Largent n’est pas un homme qu’il ne peut sévir, que ses principes ne sévissent pas et avec plus de force que s’il était un tyran de chair ? C’est précisément parce qu’il est désincarné, que personne ne le conçoit comme un tyran, que personne ne s’y oppose et qu’il sévit en toute liberté !

Mayer Amschel Rothschild est cité pour avoir dit : Donnez-moi le contrôle de la devise d’un pays et je ne m’occupe plus de qui fait les lois. (p. 323, TI) Comment avoir le contrôle financier s’il n’y a pas d’argent ? Mais, ce qu’il faut retenir de cette phrase, c’est que les lois de Largent dépassent toutes les lois que les hommes peuvent édicter. Dans un système monétaire, le véritable maître, c’est Largent. Nul ne peut déroger à ses lois. Il suffit de regarder autour de nous pour le constater tous les jours, chaque seconde. Dès lors, il ne faut pas s’étonner de la phrase suivante :

C’est la raison pour laquelle les mêmes politiques sont imposées dans tous les pays (p. 218, TI). Largent impose ses lois. CQFD

Pour terroriser les gens vous n’avez pas besoin d’un fusil ou d’une bombe. Vous pouvez le faire en menaçant de détruire leur gagne-pain et de les expulser de leurs maisons pour vous faire payer des taxes illégalement. (p. 331, TI) Même s’il n’est pas un homme, Largent n’est-il pas un tyran ? Ceux qui font planer des menaces de représailles financières, font-ils autre chose que mettre en garde contre le courroux du tyran de ce monde ?

Le système bancaire a rendu l’humanité esclave de monnaies et d’argent irréels. (p. 229, TI) Pourquoi ne pas dire tout simplement que l’humanité est esclave de Largent, qu’elle est enfermée dans la logique monétaire, et que Largent est un tyran ?

Bien entendu, les gouvernements pourraient créer leur propre argent sans frais, et n’auraient aucun intérêt à payer au cartel banquier privé. (p. 211, TI ) Ils pourraient aussi abolir Largent s’ils comprenaient en quoi cette abolition consiste et qui n’a rien à voir avec l’idée que les gens s’en font. Pourrait-il y avoir changement plus radical ?

Parmi les domaine énumérés, c’est celui des finances qui a le plus d’importance pour la question du contrôle, de la création et de la manipulation de l’argent. (p. 319, TI) Un monde guidé par la force créatrice et non par les profits des banquiers de la Fraternité. (p. 357, TII) Abolir Largent serait-il le coup le plus rude porté à la Fraternité ?

L’argent dans les banques est un mythe, un autre abus de confiance. (p. 319, TI) Largent ne repose que sur la croyance que les échanges exigent son existence. Largent est un concept qui repose sur la notion de valeur (héritée du troc) et le principe de l’unité. Qu’est-ce que la notion de valeur sinon, au départ, un paramètre subjectif ? Car, par la suite, l’échange impliquant la notion de valeur (le troc) amène à adopter la monnaie qui finit par imposer ses propres valeurs. Qui fixe les prix ? Les prix sont essentiellement la conséquence d’autres prix, de sorte que les valeurs s’établissent indépendamment de la volonté des hommes. Les hommes sont donc entraînés dans un cercle vicieux sur lequel ils n’ont pas de prise, alors que, paradoxalement, ce tourbillon n’existe que parce qu’ils croient en Largent, en la nécessité d’un étalon de valeur. 

Si nous respections la valeur intrinsèque de la créativité… Nous connaissons le prix de chaque chose, mais la valeur d’aucune. (p. 357, TII) Comment nous soumettre aux lois de Largent et aux valeurs qu’il établit, et respecter en même temps la valeur intrinsèque des choses. Largent repose sur la notion de valeur. Largent ne peut exister sans que nous acceptions les valeurs qu’il impose. Nous ne pourrons donc pas respecter la valeur intrinsèque des choses tant que Largent existera. Faut-il abolir Largent ?

Lorsque  les gens sont amenés à vivre dans un état permanent de peur, d’impuissance et de désespoir, ils en viennent à se dissocier de la réalité et à devenir les moutons qu’ils sont encouragés à être. Ils ne vivent plus qu’à la dérive dans un état d’engourdissement servile. (p. 320, TII) Il faut donc commencer par détruire cet état, ce contexte. Largent n’est-il pas au cœur de nos "sociétés" capitalistes ?

La manipulation qu’exerce la Fraternité babylonienne sur le système financier fait en sorte que vous ne pouvez trouver un emploi. Cette force créatrice toute-puissante qui se trouve en vous ne peut être réprimée. Alors, elle se manifeste d’une manière qui se trouve déséquilibrée, empreinte des vibrations de la colère, du désespoir ou de la frustration. C’est ainsi que naît la violence et l’appétit pour les stupéfiants et l’alcool qui servent à étouffer la douleur émotionnelle. (p. 357, TII) Quand il est aussi clair que Largent est le moyen d’étouffer l’humanité, en la divisant par l’inégalité, comment ne pas penser à l’abolir ?

La Fraternité babylonienne connaît la loi de l’attraction et elle a mis en place un courant énergétique qui attire à elle l’argent dont elle a besoin. (p. 348, TII) 1) Il n’est pas besoin d’être sorcier pour comprendre pourquoi Largent va à Largent. 2) La richesse de la Fraternité repose peut-être sur des courants d’énergie, en tout cas elle n’hésite pas à se salir les mains pour s’en procurer. 3) Une seule chose est sûre, Largent est son arme la plus puissante, et peut-être sa seule arme.

Il est également important de nous libérer les uns les autres. (p. 349, TII) Largent nous oblige à nous asservir les uns les autres. Paradoxalement, l’individualisme est le terreau de la tyrannie. Diviser pour mieux régner. Fatalement, l’individualisme qui est la division extrême, favorise toutes les entreprises tyranniques. Or l’individualisme est lié à l’inégalité qui elle-même est liée à Largent. Avant de nous libérer spirituellement, il faut nécessairement qu’entre les hommes s’établissent des rapports pacifiques, il faut que les citoyens soient égaux, et non qu’ils soient des individus s’opprimant les uns les autres pour arracher des droits.

Equilibre égale harmonie. Déséquilibre égale disharmonie. Pour aboutir à la disharmonie, le déséquilibre s’impose. (p. 320, TII) L’inégalité n’est-elle pas le premier déséquilibre (au niveau des droits), la première source de conflit ? L’harmonie n’exige-t-elle pas l’Egalité, donc l’abolition de Largent ?

Yeats a écrit que l’objectif de la Fraternité babylonienne est que l’inégalité devienne loi (une inégalité devenue loi). (p. 248, TI) Quelle est la première conséquence de Largent ? L’inégalité.

Nous sommes à une époque de changement phénoménaux pendant laquelle s’effondreront tous les systèmes de croyance. (p. 351, TII) Largent n’est-il pas de toutes les croyances la plus funeste ? Il serait temps de s’en rendre compte !

Voir : Qu'est-ce que Largent ?

20:04 Écrit par Philippe Landeux dans 6. MON BLOG | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook | |  Imprimer |

dimanche, 27 mai 2012

PENSEE DU JOUR : le pli

Un fer chaud pour un bon pli.

samedi, 26 mai 2012

PENSEE DU JOUR : républicain ?

La question n'est pas de savoir si le Front National est républicain mais si les autres partis - euro-mondialistes, universalistes, immigrationnistes - sont encore français !

12:00 Écrit par Philippe Landeux dans 6. MON BLOG, 7.1. PENSEES DU JOUR | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook | |  Imprimer |

vendredi, 25 mai 2012

PENSEE DU JOUR : la prime

Une prime pour un riche est un juste dédommagement.
Une prime pour un pauvre est un ignoble chantage.

08:49 Écrit par Philippe Landeux dans 6. MON BLOG, 7.1. PENSEES DU JOUR | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook | |  Imprimer |

jeudi, 24 mai 2012

PENSEE DU JOUR : le piège de Largent

Alors que tout est essentiellement politique, le génie de Largent est de tout réduire à une question purement économique afin d’y répondre selon tout ou partie des préjugés monétaires et ainsi de ne jamais sortir du cercle.

C’est le piège dans lequel les adeptes du projet Zeitgeist tombent la tête la première.

mercredi, 23 mai 2012

PENSEE DU JOUR : droit et devoir

Celui qui est chez lui a le droit de vouloir ; celui qui est chez les autres a le devoir de se taire.

LARGENT ET LE SYSTEME MONETAIRE

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VOUS VOULEZ GARDER CE SYSTEME ?

GARDEZ TOUT : LARGENT, LA MONNAIE ET LEURS EFFETS,

MAIS N'ESPEREZ PAS CHANGER QUOI QUE CE SOIT,

NE PRETENDEZ PAS ETRE ANTI-SYSTEME :

VOUS ETES LE SYSTEME.

17:30 Écrit par Philippe Landeux dans 5. SCHEMAS, 6. MON BLOG | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : largent, système, monétaire, troc, argent, monnaie |  Facebook | |  Imprimer |

lundi, 21 mai 2012

PENSEE DU JOUR : métissocratie

Le nazisme, c’est l’aversion pour l’impureté et le génocide au nom de la race pure. Le métissage obligatoire, c’est le contraire. C’est l’aversion pour la pureté raciale et la destruction, par l’immigration, et au nom de l’antifascisme, de toutes les races, de tous les peuples, de toutes les nations.

Les Nazis n’étaient que des amateurs et des gagne-petit à côté des métissolâtres à la novlangue fleurie.