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mardi, 17 avril 2012

PENSEE DU JOUR : mensonge

Derrière un mensonge, il y a un traître ou un crétin.

MONNAIE & CRISE FINANCIERE en quelques points

BASES

  • La monnaie sert, en théorie, à établir la valeur marchande (le prix) des choses.
  • Il n’y a pas de valeur marchande sans échange.
  • La monnaie remplace et représente les objets qui, sous le troc, sont échangés directement entre eux.
  • Le troc est un échange d’objets (ou de services) entre individus.
  • Des individus qui échangent entre eux mettent leurs objets respectifs en équivalence.
  • La mise en équivalence d’objets permet de définir les uns en fonction d’une quantité d’autres et engendre la notion de valeur marchande.
  • La notion de valeur marchande permet le recours à des intermédiaires représentatifs, afin de pratiquer un troc indirect.
  • Véhiculer et perpétuer la notion de valeur marchande est le but fondamental et intangible de la monnaie.
  • Le système monétaire, comme le troc, repose sur la croyance que la notion de valeur marchande est nécessaire pour échanger. (Le Civisme appelle cette croyance « Largent ».)
  • L’échange monétaire n’a aucune dimension sociale : 1) Les protagonistes des échanges ne produisent pas pour la Société, mais pour eux, pour être propriétaires de la production qu’ils vont échanger (vendre), 2) Ils ne participent pas aux échanges en tant que Citoyens, mais en tant qu’individus détenteurs de monnaie ou désireux d’en obtenir, 3) Les échanges ne sont pas une question de Devoirs et de Droits, mais d’objets et de valeur, de moyens financiers et d’intérêts personnels.

DÉVELOPPEMENTS

  • Le troc est le seul mode d’échange possible à l’origine, entre « artisans » ou petits producteurs.
  • La notion de valeur marchande est née dans un contexte de production artisanale et de rareté des produits, et est liée à ce contexte
  • Production artisanale et rareté des produits furent la règle jusqu’à une époque très récente.
  • Avec la production industrielle et l’abondance des produits, la monnaie a perdu sa raison d’être, bien que les hommes soient encore prisonniers des concepts, de la logique et des préjugés monétaires.
  • Les machines, l’électricité et enfin l’informatique ont permis et imposé la virtualisation de la monnaie qui n’a donc plus ni raison d’être ni consistance trompeuse.
  • Avec la virtualisation de la monnaie, le système monétaire n’est plus soutenu que par la confiance des individus et la force de l’État, ce qui ne peut durer éternellement.
  • L’évolution technologique condamne la monnaie et Largent qui ne peuvent plus être sauvés que par une régression technologique involontaire et catastrophique.
  • La crise financière qui ébranle le monde est l’expression de la contradiction fondamentale entre les capacités techniques modernes et un mode d’échange archaïque, anachronique, individualiste, asocial et antisocial.
  • Sauf catastrophe, cette « crise » n’est ni passagère ni financière mais systémique ; elle sonne le glas du système monétaire et annonce l’avènement prochain d’un système social.
  • La force des choses a tué le système monétaire dont on assiste aux dernières convulsions et a jeté, dans le même temps et pour les mêmes raisons, les bases d’un système que les hommes doivent concevoir et accoucher.

EN RESUMÉ :

La notion de valeur marchande naît du troc, pratiqué initialement dans un contexte de rareté et de production artisanale. La monnaie qui en est le fruit n’a plus de raison d’être à l’heure de l’abondance et de la production de masse. Voilà la contradiction fondamentale dont souffre aujourd’hui le système monétaire et dont il mourra. Les anachronismes ne survivent pas longtemps. À nouveau contexte de production, nouveau mode d’échange.

RÉFLEXION :

La monnaie est un moyen d’échange inadapté au monde industriel. De par ses principes de fonctionnement, elle confère un faible pouvoir d’achat aux masses, ce qui, malgré les injustices, s’accorde avec une faible production. Mais quand l’industrie démultiplie l’offre, la masse ne peut pas l’absorber. Il n’y a alors qu’une dizaine de solutions pour le système et les entreprises qui doivent vendre leurs produits sous peine de mort :

1) Augmenter les salaires et le pouvoir d’achat, ce qui n’est pas toujours fait et n’a d’impact que si toutes les entreprises ont cet état d’esprit, ce qui ne suffit pas de toute façon,

2) Exporter, mais les produits se heurtent tôt ou tard à la concurrence étrangère,

3) Pousser l’État à conquérir ou coloniser d’autres pays pour ouvrir de force leur marché, mais cette aventure criminelle, juteuse pour les entreprises mais ruineuse pour l’État, a une fin, souvent tragique,

4) Augmenter le nombre des consommateurs en poussant les femmes au travail rémunéré, ce qui fait également augmenter la production mais ne résoud donc pas, et même agrave, le problème de la demande globale relative qui stagne voire baisse,

5) Importer des travailleurs immigrés afin de produire moins cher, mais cela tend à faire baisser la demande globale puisque ces esclaves modernes, qui privent d’emploi les autochtones ou tirent les salaires à la baisse, sont par définition mal payés et coûtent à l’État (logement, infrastructures, services publics, aides sociales, etc.), c’est-à-dire aux contribuables et, in fine, aux travailleurs, donc aux consommateurs,

6) Matraquer les consommateurs de publicité, mais, si cela peut doper les ventes d’une entreprise aux dépens de ses concurrentes, cela ne change rien globalement puisque la demande est ce qu’elle est,

7) Développer le crédit et l’endettement, mais cela crée à terme une situation intenable où tout le monde est pris à la gorge,

8) Délocaliser la production pour produire moins cher à l’étranger, mais la généralisation de cette pratique tue l’emploi, fait effondrer la demande globale et ruine les États providence.

9) Augmenter la demande globale en injectant de la monnaie fictive (méthode de la planche à billets), laquelle va se concontrer comme toujours entre quelques mains et va en plus faire baisser la valeur de cette monnaie, donc effet nul ou négatif à long terme.

Toutes ces solutions ont été essayées et leurs effets désastreux se combinent pour donner la situation présente.

CONCLUSION :

Il n’y a, en fait, aucune solution raisonnable et durable, particulière ou collective, dans un cadre monétaire. Or ce cadre trop étroit n’empêchera pas l’Homme d’exister et d’avancer : il finira par céder. Une révolution ou évolution révolutionnaire est inévitable dans les décennies à venir. Elle renversera la monnaie et Largent, donc l’inégalité, et instaurera fatalement l’Égalité.

06:47 Écrit par Philippe Landeux dans 6. MON BLOG | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook | |  Imprimer |

lundi, 16 avril 2012

PENSEE DU JOUR : anticiracisme

L’antiracisme institutionnel est l’anticipation de la révolte populaire face à l’invasion migratoire organisée par des gouvernements traîtres à leur peuple.

LA GOUTTE D’OR QUI FAIT DEBORDER LE VASE

REDIF

5 juillet 2010

Je ne suis d’aucun parti, si ce n’est de celui de la France, d’une France juste, grande et fière, d’une France française faudrait-il préciser de nos jours. Le combat qui m’intéresse est celui de l’Egalité (des citoyens en devoirs et en droits), de la démocratie, mais force est de reconnaître qu’un autre combat est beaucoup plus pressant. En effet, l’Egalité qui est le principe fondamental de l’ordre social et sur lequel je rêve de voir la France enfin assise suppose l’existence du Peuple Français, menacé de disparaître physiquement à court terme. La rapidité et la profondeur des changements, pour ne pas dire des dégâts, qui ont eu lieu en France ces trente dernières années au niveau de la population augurent d’une catastrophe nationale s’ils se poursuivent au même rythme les trente prochaines. Au vrai, la situation sera déjà infernale dans dix ans, car le rythme s’accélère, les changements sont exponentiels. Si dans la présente décennie la France ne rebondit pas, elle est morte.

 Mur de la résistance.jpg

 Les Français commencent à prendre conscience de la gravité de la situation. Le ras-le-bol est général. La manifestation du 18 juin 2010 à l’Etoile, à l’appel de Riposte Laïque et soutenue par une quarantaine d’organisations de tous bords politiques, annonce un sursaut populaire et marquera sans doute, pour l’Histoire, le début de la résistance. J’y étais. C’était magnifique de voir des gens si divers, opposés sur tant de points, mettre de côté leurs divergences pour ne penser qu’au salut de la patrie. Cette dernière est loin d’être sauvée. L’union sacrée doit se renforcer et durer jusqu’à la victoire, c’est-à-dire jusqu’à ce que le bon sens, la raison et le patriotisme aient mis en déroute la niaiserie, la démagogie et l’individualisme de gauche comme de droite. 

Pour ma part, je soutiens Riposte Laïque dont, pourtant, je ne partage pas l’approche. Si dans le combat il faut mettre de côté les divergences, il est bon, par ailleurs, d’avoir des explications franches pour en gommer le plus possible et créer un large consensus. Il ne fait du reste aucun doute que des gens qui se rejoignent dans un même combat ont plus en commun qu’ils ne le croient, qu’ils sont plus séparés par des préjugés (souvent hérités de traditions familiales) que par les principes qui les animent dans le présent. S’ils peuvent s’entendre sur l’essentiel, c’est qu’ils raisonnent grosso modo de la même manière et peuvent donc, avec de la bonne foi, s’entendre sur nombre de détails qui, même si les désaccords persistent, demeurent secondaires.

Je dis donc que je ne partage pas l’approche « religieuse » et réductrice de Riposte Laïque. Elle est « religieuse » et réductrice dans le sens où, en se plaçant sur le terrain de la laïcité, elle consacre les religions comme l’ennemi exclusif et réduit les problèmes au prosélytisme religieux, en l’occurrence islamique. Or l’islamisation de la France n’est pas un phénomène spontané ! C’est l’arbre qui cache la forêt ! Il est impossible de ne pas la lier aux immigrés qui forment l’essentiel des musulmans, donc à l’immigration arabo-africaine par laquelle l’Islam a été introduit en France après la seconde guerre mondiale. Il est de même impossible de ne pas lier la montée de la pression islamique à l’accroissement du nombre de musulmans, lequel est du à la fois à l’immigration massive et à la reproduction effrénée des immigrés (ce n’est un secret pour personne que leur taux de fécondité est très supérieur à celui des Européens). Si l’on ajoute à cela l’intransigeance de l’Islam et la couardise des pouvoirs publics, on aura une idée assez juste des raisons de l’islamisation de la France.

Cependant, l’islamisation de la France, réelle, n’est qu’un aspect du problème général qui est l’orientalisation, l’africanisation, en un mot l’orientafricanisation de la population et des us et coutumes. Quand on se flatte de dire la vérité, il faut dire toute la vérité. Il n’y a pas de mauvaises vérités à dire ; il n’y en a que de dures à entendre.

On peut tourner la question dans tous les sens : la France est un pays européen qui était peuplé exclusivement de Blancs jusqu’à il y a peu. Le fait que le Peuple Français soit historiquement blanc fait partie de l’identité de la France. Cela n’exclut pas que des étrangers de couleur ou de type non-européen puissent y immigrer, mais à condition qu’ils restent minoritaires et se fondent dans la nation (Cf. De Gaulle). Une France sans Blancs, peuplée de Noirs par exemple, ne serait pas plus la France qu’un Congo, sans Noirs, peuplé de Jaunes, ne serait encore le Congo. Ce n’est pas la géographie qui fait un pays, mais sa population. Or nous assistons bel et bien, en France, à la substitution, du moins à la submersion d’une population par une autre. Sous l’effet de l’immigration massive, la proportion de Blancs diminue à vue d’œil. La seule présence massive d’Arabo-africains, qu’ils soient immigrés ou descendants d’immigrés, naturalisés ou non, assimilés ou non, oblige à parler d’orientafricanisation de la France. Or il ne s’est jamais vu dans l’Histoire qu’une population étrangère s’installe pacifiquement en masse sur un territoire et prolifère sans être tentée de chasser les autochtones une fois que le rapport de force lui a été favorable. C’est ce qui est arrivé aux Amériques où les Blancs ont repoussé, exterminé les Indiens et marginalisé les survivants, en Palestine où les Sionistes ont fait de même vis-à-vis des Palestiniens, en Serbie où les Albanais accueillis pas les Serbes ont fini par leur arracher le Kosovo, et dans bien d’autres partie du monde. (Il est comique de constater que les Arabes qui, en France, soutiennent les Palestiniens tiennent eux-mêmes le rôle des Sionistes, c’est-à-dire de colons, alors que les Français qu’ils ne cessent d’insulter, qu’ils traitent de racistes parce qu’ils en ont assez d’être envahis, sont, eux, dans la position des Palestiniens.) Il ne s’est jamais vu non plus que les autochtones, d’abord naïfs et bienveillants, ne prennent pas tôt ou tard les armes, souvent trop tard. Les pays d’Europe et la France en particulier sont confrontés à ce genre de situation. Ce qu’il y a d’inédit et d’invraisemblable, c’est qu’ils — leurs dirigeants — organisent eux-mêmes leur colonisation, ils favorisent les envahisseurs et désarment leurs Peuples à coups de sophismes, ils s’auto-anéantissent. S’ils disparaissent, ce ne sera pas parce qu’ils étaient faibles et impuissants, mais parce qu’ils auront été paralysés par un complexe de supériorité. 

Quant à l’orientafricanisation au niveau des us et coutumes, à vrai dire elle concerne plus les Français qu’elle ne les touche. Elle est le fait d’immigrés — naturalisés ou non — qui ne renoncent pas aux traditions de leur pays d’origine, des traditions qui n’ont pas lieu d’être en France, qui pour certaines sont interdites (polygamie, excision, mariages forcés, prières dans la rue), et qui, lorsqu’elles sont visibles (voiles, djellabas, boubous, drapeaux, etc.), les signalent comme étrangers et anti-français. Ces comportements seraient marginaux quantitativement, on pourrait parler d’exotisme et s’en amuser. Mais, combinés à l’immigration massive, ils sont pléthores et se multiplient ; ils communautarisent les immigrés et défigurent la France. Certains quartiers, certaines villes sont déjà des terres étrangères.

La position de Riposte Laïque ne permet pas d’aller aussi loin dans le constat pourtant indéniable. Dénoncer le voile, la burqua, le niqab, au nom de la laïcité, c’est bien. Mais quid du reste de la panoplie ? Quid des boubous ? Quid de tous ces costumes étrangers, de toutes ces pratiques étrangères qui, sans relever de la question de la laïcité, n’en sont pas moins des hérésies en terre de France ? Au nom de quoi les dénoncer toutes, si ce n’est au nom de la francité et du principe d’assimilation ? Et, encore une fois, quid de l’immigration ?

Je sais que, dans ses colonnes, Riposte Laïque dénonce l’immigration massive et incontrôlée. Mais, face aux journalistes, ses porte-parole se gardent bien d’aborder le sujet. Ils restent enfermés dans le cercle laïcité et islamisation. Pourquoi ? Pour ne pas prêter le flanc, pour ne pas donner l’impression de reprendre le discours de Le Pen, pour ne pas être taxés d’extrême droite ? C’est raté ! Preuve est faite qu’il est inutile de mettre des gants pour complaire aux gauchistes !

Un autre inconvénient à défendre officiellement la laïcité plutôt que la francité ou l’identité française est de permettre à certains athées, arriérés et hystériques, de mettre dans le même sac Islam et Christianisme et de se déchaîner contre ce dernier, donnant libre cours à leur anti-catholicisme pathologique. Or, je suis désolé, mais, en France, toutes les religions ne se valent pas. Qu’on le veuille ou non, le Christianisme, ses valeurs, ses traditions, ses édifices font partie de la France, de son histoire, de la culture et du patrimoine français ; l’Islam et son folklore oriental, non. La laïcité aussi fait partie de la culture politique française. Mais quand elle est mise en avant pour lutter contre l’hégémonie islamique et devient entre les mains des Islamistes et des athées universalistes un moyen de lutter contre les spécificités françaises, elle se révèle pour ce qu’elle est : une arme à double tranchant dangereuse pour celui qui l’utilise, car elle limite ses mouvements et peut être retournée contre lui par des ennemis de mauvaise foi.

Maintenant, je ne dis pas que les courageux fondateurs de Riposte Laïque ont eu tort de se saisir de cette arme. Ils ont saisi ce qu’ils avaient sous la main et ce qui leur est venu à l’esprit en premier, comme on attrape un caillou pour le jeter contre un char. Il est néanmoins temps de s’apercevoir que le moyen est insuffisant dans le combat à mener. Que la laïcité ait été à la fois un moyen judicieux de fédérer rapidement des résistants et un bon premier angle d’attaque est une chose ; qu’elle soit propre à assurer la victoire en est une autre. A défaut de l’abandonner, ce qui est hors de question, il faut étoffer l’arsenal. Son complément naturel est la francité, d’où le triptyque que j’avais proposé comme devise pour Riposte Laïque : « Laïcité – Francité – Fermeté ». La francité est d’ailleurs bien un thème cher à Riposte Laïque qui appelle à un « apéro saucisson pinard » et dont le logo est une cocarde tricolore. Le tout est de le mettre plus en avant, d’en faire ouvertement le vrai cheval de bataille. 

En plaçant la francité au centre du débat, la problématique s’élargit mais tous les problèmes se révèlent liés et les réponses deviennent plus cohérentes. Comme on l’a vu, l’islamisation n’est qu’une facette de l’orientafricanisation qui est elle-même une conséquence de l’immigration massive arabo-africaine. Mais l’immigration massive a été encouragée par le grand patronat et permise par les politiques, de même que l’orientafricanisation est le résultat du renoncement à la politique d’assimilation (les immigrés pourraient-ils du reste s’assimiler quand ils déferlent par centaines de milliers chaque année ?), comme l’islamisation est le fait de la lâcheté politique maquillée derrière l’euphémisme « accommodements raisonnables ». Il y a d’un côté les instruments, de l’autre les instigateurs, tous étant supportés par les citoyens du monde autoproclamés et les associations anti-racistes surmédiatisées (dont les membres sont souvent issus de l’immigration). Dans tout cela, le Peuple Français, celui des Français qui aiment la France et voudraient préserver la francité, est nul.

Pour ma part, je pense que les dégâts sont si profonds qu’ils sont, non pas irréversibles, mais insolubles politiquement. Il n’y a d’ailleurs aucune volonté politique dans ce sens. Pire ! quiconque évoque la francité, l’immigration, la délinquance et l’insécurité (dont nul n’ignore qu’elles sont essentiellement le fait d’immigrés) est aussitôt couvert d’opprobre par les immigrationnistes patentés. Le cas Le Pen est légendaire. Mais, rappelons-nous les insultes dont fut abreuvé M. Sarkozy pour avoir basé sa campagne présidentielle sur les thèmes de l’immigration et de l’insécurité, lui qui avait laissé la France brûler pendant trois semaines, lui dont le kärcher n’a pas même la puissance d’une poire à lavement. Rappelons-nous la levée de boucliers qu’a suscité le débat — Ô combien légitime — sur l’identité nationale lancé par l’insignifiant M. Besson qui, au lieu de faire monter la mayonnaise, à contribuer à faire tourner la chose en eau de boudin. Plus récemment, rappelons-nous le tollé politico-médiatique provoqué par l’annonce d’un apéro saucisson pinard au quartier parisien de la Goutte d’Or dont les rues sont le théâtre de prières musulmanes tous les vendredi, en toute illégalité et ce depuis quinze ans. Les pouvoirs publics l’ont interdit, sous prétexte de risque de troubles à l’ordre public, tandis que la municipalité locale, considérant que magnifier des produits français à la barbe des envahisseurs était une provocation — évidemment ! —, s’est empressée d’organiser un repas halal. Les Français n’ont pas le droit de rappeler qu’ils sont chez eux en France, qu’ils en ont assez d’être envahis fut-ce pacifiquement, d’être terrorisés par des hordes sauvages. Leur propre gouvernement, à dessein ou par crainte d’une « bavure », les enchaîne autant qu’il laisse à leurs ennemis toutes les coudées franches. Des tribunaux abjects, toutes les zélites cosmopolites par idéologie et apatrides par nature, ainsi qu’une partie de leurs concitoyens (compatriotes serait trop fort) lobotomisés par la bien-pensance, tout se ligue contre eux pour les paralyser et à terme les anéantir. Le Peuple Français est seul désormais face à son destin. Il ne peut plus être sauvé que par lui-même.

Il est temps de rappeler cet article de la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen de 1793 : « Lorsque le gouvernement viole les droits du peuple, l’insurrection est pour le peuple et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs. » Bien sûr, une insurrection qui, dans le cas présent, serait le début d’une guerre civile et ethnique est un moyen extrême et même impossible pour des individus désorganisés et désarmés. De plus, de nombreuses considérations et questions sans réponse présentent tant de difficultés qu’il semble que cette entreprise soit vouée à l’échec et donc impensable : Qui en fixe la date ? Quel doit être son but ? Qui répartit les rôles ? Qui sont les ennemis ? Qui sont les amis ? Comment la préparer sans être arrêté ? Comment l’envisager sans être pétrifié par ses terribles conséquences ? En somme, une insurrection qui est en apparence un mouvement spontané ne doit rien laisser à l’improvisation pour réussir ; elle doit être dirigée par des chefs reconnus et décidés. L’idéal est évidemment que ces chefs soient à la tête de l’Etat, afin de disposer de ses ressources et d’en priver les adversaires, afin également de maîtriser le déclenchement de l’insurrection ou de prévenir la guerre civile par une politique vigoureuse.

Les Français ont donc deux solutions complémentaires : 1) mettre de côté leurs différends mineurs en regard de l’enjeu national et voter pour le candidat à l’élection présidentielle qui sera le plus patriote et aura le plus de chances d’être élu (seul un candidat du Front National remplit objectivement ces deux conditions) ; 2) constituer dès à présent des réseaux d’assistance, des groupes d’intervention et s’armer individuellement pour être prêts le moment venu. La première solution peut permettre d’éviter la guerre, mais mieux vaut que les Français s’y préparent sérieusement. Comme l’a montré Riposte Laïque, la France est en état de guerre civile larvée. Un rien peut mettre le feu aux poudres, et ce rien arrivera fatalement un jour ou l’autre — et le plus tôt sera le mieux.

Il est cependant improbable que les Français fassent le premier pas ; ils sont trop modérés, trop légalistes, trop écrasés, trop réfléchis. Ils n’agiront que par réaction et en dernier recours. Mais rassurons-nous ! La racaille bestiale ou les islamistes fanatiques dépasseront un jour les bornes, déclencheront une vague de violence sans précédent sous un prétexte ridicule ou pour soutenir des revendications inacceptables ou pour s’opposer à une mesure allant enfin dans le bon sens ; les tentatives de répression musclée susciteront la solidarité raciale ; l’émeute s’étendra sur tout le territoire ; la France apparaîtra coupée en deux ou plutôt il deviendra évident que l’ennemi est dans la place ; enivrés par leurs premiers succès, rien ne pourra plus arrêter les émeutiers sinon la mort. Alors, plusieurs hypothèses : ou les forces de l’ordre recevront des ordres impitoyables et les écraseront, éventuellement secondées par les Français constitués en milices, ou elles seront « dépassées » à l’image du pouvoir politique qui n’osera toujours pas agir, auquel cas les Français n’auront plus le choix de se défendre eux-mêmes, ou les forces de l’ordre désobéiront et, unies au Peuple Français, renverseront le gouvernement, écraseront les émeutiers et chasseront de France leurs congénères. L’hypothèse que le gouvernement laisse les Français se faire exterminer sans que les forces de l’ordre interviennent ou, pire, avec leur concours, est inconcevable pour la simple raison que ces dernières sont aussi constituées de Français — bien que, de plus en plus, le recrutement favorise des « Français issus de l’immigration » — qui ne pourront rester impassibles et entreront individuellement ou en corps dans la bataille.

Il est également temps de rappeler cet adage romain qu’affectionnaient les révolutionnaires : « Salus populi suprema lex esto - Le salut du Peuple est la loi suprême. » Autrement dit, les considérations ordinaires n’ont plus cours lorsqu’il s’agit de sauver le Peuple dont l’existence est menacée. Or jamais dans son histoire le Peuple Français n’a été en aussi grand péril. Il n’est pas seulement menacé d’être battu, conquis et dominé ; il est menacé d’extinction. L’immigration massive constitue un danger infiniment plus grand que la dernière invasion allemande, car plus insidieux, plus profond, plus durable et plus mortel. Cependant ce danger n’est pas le fruit d’une fatalité. Les immigrés en sont certes partie prenante, et vont de ce fait en prendre plein la gueule, mais les véritables responsables de cette situation apocalyptique sont avant tout les Français influents qui, par intérêt ou par bêtise, font montre d’un respect exorbitant pour les étrangers ou d’un mépris aberrant pour les Français. Aussi, tous les notables qui proposent encore des mesures ou soutiennent des positions qui supposent un de ces penchants doivent désormais être considérés comme des collabos en puissance et des traîtres au Peuple Français. Ces collabos modernes sont d’ailleurs pires que les précédents. Ces derniers s’étaient ralliés à l’ennemi triomphant ; eux ouvrent les portes à un ennemi qu’ils ont créé. Car c’est eux qui ont transformé les immigrés en ennemis à force d’encourager l’immigration sans jamais poser de garde-fous, à force d’en imposer aux Français jusqu’à la nausée. Tout doit être entrepris pour les discréditer et les empêcher de nuire plus longtemps. Ceux qui persévèreront dans leur trahison jusqu’à ce que la tragédie éclate par leur faute ne devront espérer aucun ménagement ni aucune pitié de la part des patriotes. Ils ont trahi le Peuple quand ils pouvaient l’aider ; ils ne peuvent que le trahir à nouveau s’il parvient à se sauver lui-même. Qu’ils sachent que leurs crimes ne resteront pas impunis, que les bonnes intentions ne serviront pas d’excuse, qu’ils seront les premiers à payer de leur vie le mal qu’ils ont fait à la France, aux Français et aux immigrés eux-mêmes.

En résumé, l’avenir n’offre que trois perspectives : 1) Les Français ne réagissent pas et la France disparaît dans quelques décennies, 2) Les Français envoient enfin à l’Elysée un patriote énergique qui fera le ménage avec le seul concours des forces de l’ordre ou qui, de par sa politique sans concession (1), déclenchera des émeutes qui tourneront à la guerre civile, les Français étant alors dans les meilleures conditions pour vaincre, 3) Rien n’est fait, la situation se dégrade encore quelques années jusqu’à ce qu’un événement fasse boule de neige et contraigne les Français à se défendre violemment et légitimement, à s’organiser s’ils ne le sont pas déjà, et à livrer une guerre à mort aux immigrés anti-français, avec des chances incertaines de succès.

De ces trois perspectives, la troisième est la plus réaliste. Il est à peu près sûr que les politiciens, les médias et une part non négligeable des Français continueront à faire les autruches tant que la maison n’aura pas pris feu et même lorsqu’elle flambera sous leurs yeux. Il est douteux, par ailleurs, qu’un patriote catalogué « extrême droite » remporte les prochaines élections présidentielles, même s’il accède au second tour, tant cette étiquette fait aux Français l’effet d’un épouvantail, comme l’atteste l'attitude de Riposte Laïque qui ne cesse de vouloir se démarquer du Front National alors qu’elle est diabolisée comme lui, par les mêmes et de la même manière. Enfin, comme en témoigne le succès de Riposte Laïque, il semble que nombre de Français, même de gauche, ne soient pas disposés à disparaître sans réagir, même s’ils ne savent pas encore comment. La force des choses pousse donc vers la troisième voie, vers un dénouement armé et sanglant, anarchique à ses débuts.

Ce n’est pas vouloir une telle fin que la prédire. Que les pères la vertu qui s’indigneront devant ce discours n’oublient pas qu’ils sont ceux qui ont empêché de prévenir la catastrophe, qui ont même tout fait pour qu’elle advienne aussi sûrement qu’un plus un égale deux. Ils n’ont voulu ni limiter l’immigration ni imposer l’assimilation des immigrés. Maintenant il est trop tard pour redevenir raisonnable et réparer leurs « erreurs » sans aller au clash. Les dés sont jetés. La question aujourd’hui est de savoir comment faire face à l’inéluctable.

Que tous les Français conscients de la situation se mettent bien en tête que l’avenir est sombre, que ça va saigner, que la France va connaître sans doute la pire tragédie de son histoire, qu’il va falloir se salir les mains. Des dizaines de millions de gens à mettre au pas, à tuer ou à chasser… qui peut croire que cela sera aisé et sans douleur ? Que des manifestations patriotiques permettent aux Français de reprendre espoir en voyant qu’ils ne sont pas seuls est une bonne chose. Mais que nul ne se trompe. Ce qui nous attend n’est ni une manif ni une kermesse ; c’est une guerre et la pire de toutes, une guerre civile, ethnique et religieuse. La seule façon de s’y préparer est de réaliser l’union sacrée des patriotes de tous bords, de constituer en secret des groupes armés et si possible coordonnés ; c’est d’appliquer littéralement comme ils le furent en leur temps ces vers de la Marseillaise : « aux armes citoyens, formez vos bataillons ».

Pour finir, une remarque s’impose : les patriotes de gauche n’ont pas la culture du groupuscule et des armes contrairement à l’extrême droite qui, dans ce combat patriotique, est leur allié objectif. Ils ont donc beaucoup à apprendre de ceux avec qui ils vont combattre demain, de ceux avec qui ils doivent d’ores et déjà s’unir. Pour Riposte Laïque et Résistance Républicaine, cela implique trois choses : premièrement, qu’elles ne se bercent pas d’illusions sur la nature du combat à venir, qu’elles ne donnent pas l’impression à leurs membres et à leurs lecteurs que des discours, des journaux et des banderoles suffiront, mais les invitent ouvertement ou de manière plus subtile à se préparer comme il a été dit ; deuxièmement, qu’elles ne prennent plus « l’extrême droite » dans laquelle elles sont elles-mêmes cataloguées par les médias pour cible en essayant de s’en démarquer, en critiquant notamment le Front National, ce qui fait le jeu des ennemis communs (Quant on te donne un cheval, ne demande pas s’il est borgne.) ; troisièmement, qu’elles se rapprochent au contraire de tout mouvement déterminé à sauver la France du politiquement correct et de l’invasion arabo-africaine, et invitent leurs partisans à faire de même, sans quoi l’union sacrée est un vain mot et la résistance une vue de l’esprit. Il va de soi que tous les mouvements sont pareillement invités à mettre en sourdine leurs différends. Que tout le monde comprenne bien que ces différends n’ont aucune importance, que l’heure n’est pas à l’administration mais à la lutte. Si le gouvernement n’est pas patriote, tous les patriotes auront bientôt besoin les uns des autres. Si par miracle le gouvernement est patriote, ce sera aussitôt la guerre civile ; il ne gouvernera donc pas tant il sera accaparé par les opérations et accablé de difficultés. Agiter les différends dans la situation présente, faire comme si chacun était à la veille de transformer en loi ses vues particulières alors qu’aucun n’a le pouvoir et que nul n’y parviendra dans cet état de division, c’est vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tué. Sauvons d’abord la France. Remettons les disputes politiques au lendemain de la victoire.


Laïcité – francité – fermeté
VIVE LA FRANCE !

Philippe Landeux

05 juillet 2010

Ecrit pour et publié par Riposte Laïque

 

NOTE

(1) La première mesure à prendre est de stopper l’immigration arabo-africaine, en ne délivrant plus aucun permis de travail ou visa de tourisme aux ressortissants des pays concernés, en renvoyant systématiquement chez eux les immigrés dont le permis de séjour est expiré et tous les hors la loi, en punissant de dénaturalisation, d’expropriation et de bannissement à vie les employeurs et les logeurs de clandestins. La deuxième est d’interdire sur tout le territoire national le port du voile islamique et toutes ses déclinaisons, de même que tout vêtement et attribut vestimentaire typiquement étranger et incompatible avec l’assimilation, sous peine de dénaturalisation, d’interdiction de séjour et d’expulsion immédiate de toute la famille. La troisième est de réactualiser la loi sur les prénoms, d’interdire aux parents de donner à leur enfant un prénom autre que français ou francisé, de fixer un délai pour que ceux qui n’ont pas un prénom français mais désirent être Français aient le temps d’en adopter un, et, passé ce délai, de déchoir de la nationalité quiconque porte un prénom étranger. La quatrième est de modifier le mode d’acquisition de la nationalité, de supprimer le droit du sol et le droit du sang, de déterminer les conditions qui, attestant la francité, permettent d’y prétendre et les devoirs à remplir pour l’obtenir et la conserver. La cinquième est de ne plus reconnaître la double nationalité, de fixer aux intéressés un délai pour choisir et d’expulser tous ceux qui n’auront pas choisi ou satisfait aux critères de la nationalité française ou qui, ayant opté pour une nationalité étrangère, se comporteront comme des étrangers en pays conquis. La sixième est de ne plus reconnaître aucun droit en France aux personnes dans le cas d’être expulsées. La septième est d’instituer en toute chose le principe de priorité nationale. Toutes ces mesures ne peuvent évidemment être prises que si la France est placée en état de siège, si les forces de l’ordre sont déployées et prêtes à écraser toute contestation.

En complément, voir Avis aux immigrés

20:10 Écrit par Philippe Landeux dans 6. MON BLOG | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : résistance, islam, immigration, front, national |  Facebook | |  Imprimer |

dimanche, 15 avril 2012

PENSEE DU JOUR : Vae victis

Les cultures sont dans un rapport de force. Le multiculturalisme est une idéologie de fourbes et de vaincus.

SI J'ETAIS PRESIDENT... EN 2012 (redif)

Quand on veut, on peut.
Impossible n’est pas français !

Projet de programme patriotique

Les élections présidentielles de 2012 approchent. Je me suis donc demandé ce que je proposerais aux Français si j’étais en position de me présenter, autrement dit ce que j’espère du prochain président de la République Française.

Ceux qui ont l’habitude de me lire savent que je prône une théorie personnelle, appelée Civisme, d’après laquelle la Cité (la Société) doit et peut fonctionner sans monnaie afin que l’Egalité soit réellement. Cette révolution approche mais son heure n’est pas encore venue. Le programme ci-après n’a donc pas pour but d’appliquer tous les Principes, c’est-à-dire d’ériger la Cité, car il est impossible de faire abstraction de Largent et de la monnaie, de leurs lois et de leurs effets pervers à tous les niveaux. Il a pour seule ambition de rappeler certains Principes et de faire au mieux dans le contexte actuel.

Ce programme n’est pas chiffré. Mais qui est encore dupe des chiffres avancés par les uns et les autres ? La politique, une fois au pouvoir, c’est du bricolage. Elle est (ou devrait être) affaire de bon sens, de courage, d’honnêteté et de patriotisme, autant de qualités qui sembleraient faire défaut à nos dirigeants depuis quarante ans s’ils n’étaient à l’évidence des traîtres. La France est dans une situation désastreuse, politiquement, économiquement, socialement et humainement. Les responsables de cette situation, éternels candidats à leur propre succession, peuvent-ils encore faire illusion en présentant des chiffres notoirement bidons auxquels ils font manifestement dire n’importe quoi ? Leur est-il permis de piéger leurs détracteurs en exigeant d’eux, à leur tour, un numéro d’illusionniste ? Non ! Assez de ces astuces ! Fini les boniments ! Ce n’est pas d’experts en manipulation de chiffres dont la France a besoin, mais de Français couillus, désireux et capables de la sauver du naufrage. Il est temps que ce pays échappe à la corde des bureaucrates et que les patriotes lui donnent un bon coup de fouet.

La France n’est pas faite pour la médiocrité et la pacotille, mais pour la grandeur. Son destin n’est pas de suivre, mais de guider, mais d’éclairer. Mais elle ne rejouera son rôle de premier plan parmi les nations que quand elle aura retrouvé son âme, quand elle sera de nouveau fière et sûre d’elle, quand elle aura de nouveau foi dans le génie de son peuple.

Ce programme propose des mesures et des projets dans les domaines suivants :

POLITIQUE ETRANGERE
MONNAIE
IDENTITE NATIONALE
NATIONALITE
POLITIQUE
FINANCES PUBLIQUES
LIBERTE
IMMIGRATION & ETRANGERS
LAICITE
SECURITE
NATALITE
EDUCATION
ENSEIGNEMENT
SANTE
LOGEMENT
ECONOMIE
SALAIRES & IMPOTS
CHOMAGE & RETRAITE
FONCTIONNARIAT
ECOLOGIE
JUSTICE
SOL & PATRIMOINE NATIONAL
TOURISME & VIE NOCTURNE
MŒURS

POLITIQUE ETRANGERE

1. Affirmation de la souveraineté française

  • Sortie immédiate de l’Europe institutionnelle et retrait de toutes les instances mondialistes, tout en maintenant des rapports privilégiés avec les nations européennes et des relations cordiales avec les autres pays du monde.

2. Arrêt de l’ingérence politique, humanitaire et militaire à l’étranger

  • Rapatriement immédiat de toutes les troupes déployées à l’étranger
  • Référendum pour inscrire dans la constitution les articles suivants, tirés de la constitution de 1793 : Le Peuple français est l'ami et l'allié naturel des peuples libres. – Il ne s'immisce point dans le gouvernement des autres nations ; il ne souffre pas que les autres nations s'immiscent dans le sien. – Il donne asile aux étrangers bannis de leur patrie pour la cause de la liberté ; il le refuse aux tyrans. – Il ne fait point la paix avec un ennemi qui occupe son territoire.

3. Annulation de la dette des pays étrangers envers la France

4. Instauration de politiques de coopération (sans échange monétaire) avec les pays africains qui le désirent 

MONNAIE

5. Retour au Franc

6. Révocation de l’indépendance de la banque « de France »

  • Un pays qui n’est pas maître de sa monnaie est la propriété de ceux qui lui prêtent de l’argent (riches particuliers, banques, Etats étrangers).

7. Annulation de la dette nationale (c’est-à-dire des intérêts dus aux banques)

IDENTITE NATIONALE

« C’est très bien qu’il y ait des Français jaunes, des Français noirs, des Français bruns. Ils montrent que la France est ouverte à toutes les races et qu’elle a une vocation universelle. Mais à condition qu’ils restent une petite minorité. Sinon la France ne serait plus la France. Nous sommes quand même avant tout un peuple européen de race blanche, de culture grecque et latine et de religion chrétienne. » Charles de Gaulle

8. Affirmation de l’identité ethniquement européenne et culturellement chrétienne de la France qui a le droit de préserver son identité (Cf. Déclaration des droits de peuples autochtones de l’ONU) (Commentaires)

9. Rétablissement de la politique d’assimilation, en particulier l’obligation de donner aux enfants nés en France un prénom français ou francisé et d’en porter un pour pouvoir prétendre à la nationalité française.

10. Interdiction, pour des Français, d’être accoutrés en étrangers (sauf périodes de fêtes) sous peine de dénaturalisation immédiate, sur simple procès verbal. (Commentaires)

11. Promotion de la langue française

  • Interdiction d’employer des mots étrangers sur les enseignes, sous peine de fermeture de l’établissement, et dans la publicité, sous peine d’interdiction de vendre en France les produits en question
  • Traduction ou sous-titrage en français des titres de films, livres, etc., sous peine d’interdiction de commercialiser les œuvres en question
  • Rétablissement des dictées à l’école

12. Etablissement de la préférence nationale dans tous les domaines (comme dans tous les pays du monde)

  • La préférence nationale ou la priorité pour les Français, par rapport aux étrangers, n'est pas de la discrimination. La discrimination consiste à "établir" une différence, c'est-à-dire à créer artificiellement une différence. Tenir compte d'une différence qui existe réellement n'est pas de la discrimination ; ne pas en tenir compte est, en revanche, de la démagogie. Il y a bien une différence entre un Français et un étranger. Qu'ils aient en commun le fait d'être hommes ne change rien, puisqu'il est ici question de droits, qu'il n'y a de droits qu'en société et que seuls les citoyens d'une société donnée ont des droits dans cette société et doivent être égaux entre eux. Les droits qu'une société accorde à des étrangers par humanité, non par principe, ne sont pas les droits du citoyen. Des étrangers, selon les principes, n'en ont aucun (si ce n'est dans leur propre société). Qu'une société leur en accorde par humanité n'autorise pas à nier la différence qui existe entre eux et les citoyens, que ce soit pour les traiter comme des citoyens ou pour traiter les citoyens comme des étrangers. (Commentaires)

13. Rétablissement ou maintien de l’exclusivité nationale dans la fonction publique

NATIONALITE

14. Suppression de la multi-nationalité

  • Les multinationaux devront choisir et seront dénaturalisés en l’absence de choix au bout d’un an. Dans l’intervalle, les droits politiques des multinationaux seront suspendus en France. (Commentaires)

15. Révision du mode d’acquisition de la nationalité qui doit se mériter (mesure non rétroactive)

  • Suppression du droit du sol, du droit du sang et du droit par alliance, filiation, mariage, etc.
  • Instauration de critères, pour y prétendre (notamment porter un prénom français ou francisé, parler français, connaître un minimum la France, son histoire et ses coutumes), et de devoirs, pour l’acquérir et la conserver
  • Rétablissement d’un véritable service national (militaire ou civil) d’un an, facultatif, mais obligatoire pour acquérir la nationalité et jouir des droits qu’elle confère. (Commentaires)

16. Création d’un nouveau statut : « citoyen de France » distinct de « citoyen français »

  • La citoyenneté assure aux citoyens, c’est-à-dire aux individus honnêtes résidants en France et dépendants d’elle dans leurs déplacements à l’étranger, la protection physique de l’Etat français
  • Un immigré irréprochable ne devient officiellement citoyen qu’au bout de dix ans ; dans l’intervalle il est dit immigré ou étranger.
  • Un immigré remplissant tous les critères pour prétendre à la nationalité et volontaire pour un service national peut acquérir la nationalité sans délai.
  • Les citoyens de France n’étant pas « français » en vertu de leur choix sont « étrangers » sur le plan pénal
  • La nationalité confrère aux citoyens français les droits politiques
  • Seuls des citoyens français peuvent représenter la France dans les manifestations et compétitions internationales. (Commentaires)

17. Dénaturalisation des auteurs d’outrage à la France et au peuple français et expulsion des étrangers

  • Les Français dans ce cas sont des parjures (la dénaturalisation est un avertissement)
  • Les citoyens de France et les étrangers dans ce cas sont des indésirables et des nuisibles (leur expulsion est la moindre des choses) (Commentaires)


POLITIQUE

18. Révision du mode de sélection des candidats à l’élection présidentielle

  • Validation automatique de la candidature des candidats des partis présents à la dernière élection
  • Autorisation de se présenter pour tous les citoyens français soutenus par au moins 10.000 électeurs ayant versé au candidat une somme non-remboursable d’au moins 50 €. (Commentaires)

19. Instauration d’une cérémonie publique et retransmise au cours de laquelle le président prête serment, sur le drapeau français, d’être fidèle à la France et de respecter les engagements sur la base desquels il a été élu (lesquels sont d’ailleurs rappelés)

  • L’élection d’un candidat n’est pas un référendum sur les mesures contenues dans son programme ni sur celles qu'il prendra durant son mandat. (Commentaires)

20. Révision du mode de remboursement des frais de campagne (valable pour toutes les élections)

  • Partage entre tous les partis en lisse, en proportion du nombre de voix obtenu, d’un budget défini préalablement par l’Etat et alloué à cet effet. (Commentaires)

 21. Instauration d’un système mixte pour la composition de l'Assemblée nationale

  • La moitié des sièges revient aux candidats élus localement au suffrage majoritaire, l’autre moitié est pourvue par les partis en proportion du nombre de voix qu’ils ont obtenu au niveau national (les députés ainsi nommés ayant été candidats) (Commentaires)

 22. Interdiction du cumul des mandats

23. Limitation des mandats : pas plus de deux mandats d’une même nature dans une carrière. (Commentaires)

24. Obligation pour les élus d’être présents à leur poste sous peine d’éjection

25. Etablissement de la démocratie populaire (référendums obligatoires sur les traités internationaux, les grandes orientations, les modifications de la constitution et le déploiement de soldats français à l’étranger, référendums sur tous les sujets sur lesquels le président juge bon de consulter le peuple, sur toutes les mesures réclamées par pétition par au moins 100.000 électeurs et sur tous les sujets suscitant des manifestations). (Commentaires)

26. Suppression du Ministère de la culture (la culture ne relève pas de l’Etat, sauf dans les dictatures)

27. Création d’un Ministère du patrimoine national

FINANCES PUBLIQUES

28. Suspension de toutes les subventions publiques nationales et locales (à la presse, aux associations, aux spectacles, etc.) et interdiction d’être subventionné directement ou indirectement par l’étranger

29. Assainissement des dépenses publiques à tous les niveaux

  • Passage au crible des avantages monétaires et en nature des élus, des hauts fonctionnaires et des administrations publiques, et suppression de tout le superflu
  • Transparence des budgets, recettes et des dépenses publiques
  • Un an après la proclamation de la loi, les hauts responsables des différentes administrations seront passibles de 10 ans de prison si les abus persistent.
  • Mise en place d’un bureau indépendant anti-corruption, composé de citoyens français dotés de pleins pouvoirs, chargés de traquer les élus et fonctionnaires corrompus et corrupteurs. Tout acte de corruption de la part des membres de ce bureau  sera puni de 20 ans de prison.


LIBERTE

30. Abolition des lois mémorielles (anti-historiques) et antiracistes (anti-françaises)

31. Reconnaissance de la liberté absolue d’opinion et d’expression

  • Les insultes personnelles sont néanmoins considérées comme une agression légitimant une réaction violente de la part des intéressés : les tribunaux ne punissent pas ces insultes, mais ne reçoivent pas non plus les plaintes (pour coups et blessures) de ceux qui les ont proférées
  • Les insultes envers la France et le peuple français sont passibles de dénaturalisation et de bannissement, les coupables ne méritant pas d’autre sanction mais n’ayant pas leur place en France et constituant même un danger potentiel. (Commentaires)


IMMIGRATION & ETRANGERS

Bis repetita : « C’est très bien qu’il y ait des Français jaunes, des Français noirs, des Français bruns. Ils montrent que la France est ouverte à toutes les races et qu’elle a une vocation universelle. Mais à condition qu’ils restent une petite minorité. Sinon la France ne serait plus la France. Nous sommes quand même avant tout un peuple européen de race blanche, de culture grecque et latine et de religion chrétienne. » Charles de Gaulle

32. Fin du regroupement familial : il n’y a d’immigrés que des travailleurs légaux

33. Régulation draconienne de l’immigration européenne.

34. Arrêt total de l’immigration extra-européenne jusqu’à nouvel ordre (la France doit apprendre à faire avec ses ressources humaines).

  • Plus de visas, mêmes touristiques, plus de renouvellement des visas, des permis de séjour ou de travail (excepté pour les créateurs et patrons d’entreprises, leurs femmes et leurs enfants), plus d’adoption d’enfants étrangers
  • Billets d’avion et de bateau gratuits (aller simple vers leur pays d’origine) pour les étrangers en fin de droit.
  • Peine de 2 ans de prison pour les immigrés clandestins, 5 ans pour les récidivistes, 10 ans pour les multirécidivistes, avec, toujours, expulsion à la clé. (Commentaires)

 35. Arrêt des abus de mariage.

  • Un mariage ne confère pas la nationalité française
  • Seul un mariage avec un(e) citoyen(ne) français(e) (non « de France ») permet le renouvellement du permis de séjour d’un étranger : un divorce l’annule et entraîne l’expulsion immédiate.
  • Un projet de mariage n’est pas un critère pour accorder un permis de séjour à un étranger vivant dans son pays : si les amants veulent se marier et vivre ensemble, ils peuvent le faire, mais pas en France.
  • Tout couple dont un des époux est immigré est soumis à la législation sur les étrangers (ceci ne s’applique pas si l’autre époux est citoyen(ne) français(e)).

 36. Suppression de toute aide publique aux étrangers (excepté aux réfugiés politiques)

37. Instauration de caisses particulières pour et alimentées par les étrangers (immigrés présents depuis moins de dix ans) par des prélèvements obligatoires (Français et citoyens France pouvant cotiser volontairement en plus de leurs obligations envers les caisses nationales)

38. Renvoi systématique des immigrés illégaux, clandestins et sans papiers

39. Expulsion systématique des étrangers délinquants, hors la loi, mendiants, chômeurs, fraudeurs, polygames et étudiants en fin d’étude. (Commentaires)

40. Dénaturalisation et expropriation totale, systématique et sans appel des employeurs d’immigrés illégaux et clandestins

41. Dénaturalisation et bannissement ou expulsion des défenseurs des immigrés illégaux, clandestins et sans papiers

42. Mise en place de structures communautaires pour aider les immigrés sur le point d’être expulsés, les étudiants étrangers et les citoyens de France d’origine étrangère désireux de rentrer chez eux à monter et à mettre eux-mêmes en œuvre des projets sociaux et économiques dans leurs pays d’origine (ces projets seront financés par lesdites « communautés »)

LAICITE

A moins de prêcher des idées antinationales et de prôner des pratiques illégales, le contenu des cultes ne concerne pas l’Etat lequel, en revanche, a un droit de regard sur le contenant et le devoir d’intervenir lorsque les débordements compromettent l’intérêt général. La laïcité ne consiste pas à ce que l’Etat ne s’immisce en rien dans les affaires religieuses ou présentées comme telles, mais à ce qu’il permette à tous les croyants de vivre leur foi en paix sans troubler la paix publique.

43. Maintien de tous les jours fériés de tradition chrétienne, ancrés dans la culture française

44. L’entretien des églises relevant du patrimoine local ou national est à la charge des collectivités locales et de l’Etat

45. Obligation pour les entreprises d’accorder aux employés ayant déclaré leur appartenance religieuse les jours de congé qu’ils demandent pour célébrer les fêtes correspondant à leur religion, jours à déduire de leurs congés légaux.

46. Interdiction pour l’Etat, les collectivités locales et a fortiori pour des organismes ou des particuliers étrangers de financer directement ou indirectement quelque religion que ce soit.

  • Religieux et lieux de culte en France sont financés exclusivement par les fidèles de France.

47. Obligation de pratiquer tous les cultes en français ou dans une langue morte, sauf dans les lieux fréquentés par des étrangers

  • Une religion ne peut pas être « de France » si elle n’est pas intégralement à la portée de tous les Français.
  • Le latin étant une langue morte, les messes en latin ne stigmatisent pas les fidèles comme étrangers.

 48. Gel des projets de construction de mosquées, destruction des minarets et mise aux normes architecturales locales des mosquées de type oriental (sauf la grande mosquée de Paris).

  • La France n’est pas l’Orient. L’orientalisation est une stigmatisation en France. Appeler les musulmans à la raison n’est pas faire de la discrimination envers eux. Stigmatisation et discrimination ne sont pas le fait de celui qui remarque et corrige, mais de celui qui se fait remarquer et s’entête dans l’erreur.

 49. Suppression de tous les accommodements discriminatoires dits « raisonnables ». (Commentaires)

50. Interdiction d’abattre sans étourdissement les animaux destinés à la consommation, conformément aux normes françaises

  • Interdiction également d’importer de la viande d’animaux abattus sans étourdissement.

51. Interdiction des revendications religieuses sous peine de dénaturalisation et, pour les étrangers (compris les citoyens de France), d’expulsion

52. Interdiction des manifestations religieuses sur la voie publique, sauf dérogations occasionnelles

53. Interdiction du voile islamique sur le territoire national, même pour les étrangers, sous peine de dénaturalisation et d’expulsion de toute la famille (le mari suit sa femme, les enfants suivent leurs parents)

  • Ce point est un rappel : il relève moins de la laïcité que de l’assimilation et de l'identité nationale


SECURITE

54. Rétablissement de l’autorité policière et renforcement des effectifs

  • Un policier dans l’exercice de ses fonctions a toujours raison sur le moment. Toute personne est tenue d’obtempérer à l’instant et en silence à ses injonctions. Un policier est seul juge de la conduite à tenir face aux grandes gueules et aux fortes têtes.
  • Outrager un policier (physiquement ou verbalement), outre la réaction du policier lui-même, est passible de dénaturalisation et d’un mois de prison ou d’expulsion pour les étrangers ; blesser un policier est passible d’au moins 10 ans de prison.

55. Lutte contre la corruption et les abus de pouvoir des policiers

  • Les policiers porteront en permanence, lors de leurs interventions, des mini-caméras, de même leurs véhicules, à l’avant et à l’arrière. (Commentaires)

NATALITE

56. Augmentation des allocation familiales pour les parents français : 400 € ou 2.000 F par enfant et par mois

  • Suspension desdites allocations au bout d’un an de chômage des deux parents ou du parent isolé

 57. Aide de l’Etat de 50.000 € ou 300.000 F et prêt à taux zéro pour les parents français voulant accéder au logement, appartement ou maison

  • Cette aide concerne aussi bien les couples que les parents isolés, mais n’est valable qu’une seule fois et les couples dont un des conjoints ou époux en a déjà bénéficié ne peuvent plus y prétendre
  • Les fraudes sur cet objet sont passibles de dénaturalisation assortie de 10 ans de prison

58. Création obligatoire de crèches dans toutes les communes de plus de 1000 habitants, puis partout à raison d’une pour 5.000 habitants, avec obligation d’accueillir tous les enfants de l’arrondissement

EDUCATION
 
59. Mise en place de quelques heures de cours d’éducation parentale obligatoires, sous peine de privation d’allocations familiales, pour les futurs parents (isolés ou en couple)

  • Il s’agira de rappeler aux parents leurs devoirs et leurs droits vis-à-vis de leur enfant, d’expliquer à ceux qui l’ignorent que l’enfant n’est pas roi (ni dedans, ni dehors), que ses premières années sont cruciales, que ce sont eux les parents, qu’ils doivent faire preuve d’autorité, que le « laisser-faire » (comme l’absence) n’est pas ressenti par l’enfant comme de l’amour mais comme de l’indifférence et de la licence. 

60. Rétablissement de l’autorité et de la responsabilité parentale

  • Dépénalisation de la gifle et de la fessée occasionnelles, sans rapport avec la maltraitance
  • Suppression des allocations familiales aux parents d’enfants délinquants récidivistes
  • Expulsion des parents étrangers dont les enfants à charge sont des délinquants récidivistes, sauf s’il est avéré qu’ils ont tout fait pour prévenir cette situation. (Commentaires)

61. Création d’internats disciplinaires et militarisés pour les adolescents violents et délinquants.

ENSEIGNEMENT

62. Rétablissement de l’autorité et de la discipline à l’école

63. Remplacement du ministère de l’Education nationale par un ministère de l’Instruction publique

64. Retour aux méthodes d’enseignements efficaces, à l’exigence, aux programmes sensés et au patriotisme

65. Retour à des tenues uniformes à l’école primaire et au collège (chaque établissement fixera la sienne et les fournira). (Commentaires)

66. Instauration de cours d’éducation civique et patriotique à l’école primaire et au collège

67. Mise en place d’un drapeau français dans toutes les classes

68. Apprentissage de la Marseillaise dès l’école primaire et levé des couleurs tous les lundis matin, dans la cour, en présence de tous les élèves de l’établissement, jusqu’à la Terminale

69. Licenciement et dénaturalisation des enseignants récalcitrants au patriotisme. (Commentaires)

70. Valorisation des métiers manuels

71. Rénovation des taudis universitaires

SANTE

72. Soins médicaux gratuits et sans avance pour les Français et les citoyens de France

73. Traque des abus en tous genres

  • Mise en place d’un service de contrôle indépendant et d’inspecteurs dotés de pleins pouvoirs
  • Arrêt de la prise en charge par l’Etat des frais médicaux des Français et citoyens de France coupables d’abus (sans suspension des cotisations obligatoires)
  • Autorisation, pour les entreprises, d’instituer leurs propres inspecteurs
  • Obligation pour les entreprises de rembourser le Trésor public des préjudices subis en raison des arrêts maladie abusifs
  • Suspension à vie des médecins complaisants, avec obligation de rembourser le préjudice subi par le Trésor public
  • Licenciement des responsables des caisses ayant laissé passer des abus


LOGEMENT

Le problème du logement tient à l’impossibilité, pour les propriétaires, d’expulser les mauvais locataires, si ce n’est après une longue procédure. Pour se préserver, ils augmentent les loyers et multiplient les conditions au point que même des travailleurs ont du mal à payer et même à se loger.

74. Plafonnement des loyers par les communes suivant un système de zones et en fonction des surfaces

75. Interdiction de louer des « appartements » de moins de 10 m² sous peine de 10 ans de prison

  • Sont considérés comme loués les appartements occupés par des personnes autres que le propriétaire ou des parents à lui.

76. Interdiction, pour les propriétaires, d’exiger des cautionnaires de la part des locataires et plus d’un mois de caution

77. Abrogation du système de bail : toute location (autre que saisonnière) est à durée indéterminée ; un locataire peut déménager à volonté ; un propriétaire ne peut récupérer son bien pour le louer à nouveau, seulement pour s’en servir personnellement (ou des parents à lui) ou le vendre.

78. Autorisation d’expulser les locataires mauvais payeurs au bout de quinze jours (soit un mois et demi après le dernier versement)

  • Les expulsions ne peuvent être suspendues qu’en raison d’une procédure administrative en cours, lorsque le locataire refuse de payer son loyer parce que le propriétaire refuse, de son côté, d’effectuer des travaux à sa charge.

79. Les frais de ré-emménagement d’un locataire expulsé malgré lui sont à la charge de son ancien propriétaire.

80. Les dégâts autres que normaux et accidentels sont à la charge du locataire.

81. Attribution des logements nationaux dits « sociaux » en priorité aux anciens combattants, puis aux Français de la commune, puis aux citoyens de France de la commune, puis aux Français d’ailleurs, puis aux citoyens de France d’ailleurs, puis aux immigrés de la commune, puis aux immigrés d’ailleurs.

  • La priorité, aux yeux de la nation, n’est pas fonction des besoins des individus mais de leur légitimité à recevoir de sa part, en contrepartie de ce qu’ils lui ont donné. (Commentaires)


ECONOMIE

82. Instauration d’un protectionnisme économique pragmatique

83. Interdiction d’importer pour les entreprises ayant délocalisé

84. Aide de l’Etat aux régions industrielles sinistrées pour relancer l’activité ou introduire de nouvelles industries

85. Aide financière de l’Etat aux créateurs d’entreprises novices (français), couvrant tout ou partie de leurs besoins, à charge pour les entreprises ainsi créées de rembourser l’Etat dans un certain délai (prêt à taux zéro)

86. Interdiction pour l’Etat et les administrations publiques de se fournir en produits et équipements autres que nationaux, c’est-à-dire sortis d’usines implantées en France

87. Interdiction pour une entreprise d’employer plus de 10 % de stagiaires et moins de 70 % d’employés à temps complet

88. Interdiction pour une entreprise d’employer plus de 30 % d’étrangers ou multinationaux

89. Suppression des contrats à durée déterminée, sauf dans les activités de nature saisonnières, le secteur de l’intérim et à des fins de remplacement temporaire d’employés engagés pour une durée indéterminée

90. Suppression des accords de branche contraires à la loi commune

91. Liberté totale pour les entreprises d’embaucher qui elles veulent

92. Liberté totale pour les établissements recevant du public d’admettre ou de refuser qui ils veulent

93. Les indemnités chômage dues aux employés de plus de cinquante ans sont intégralement à la charge de l’entreprise, sauf en cas de licenciement pour faute grave

94. Renforcement des effectifs et des pouvoirs de l’inspection du travail

95. Expropriation et dénaturalisation des employeurs d’employés non-déclarés ou sous-déclarés

SALAIRES & IMPOTS

96. Limitation du salaire des députés à trois fois le salaire minimum décrétés par eux (non compris leurs frais de fonction)

  • Ils perçoivent leur salaire (ou indemnités) les six qui suivent la fin de leur mandat.

97. Plafonnement du salaire ou revenu personnel maximum autorisé à 30.000 € ou 200.000 F

  • Au delà de la somme autorisée par la loi, tous les revenus personnels, quelle que soit leur origine, sont confisqués par l’Etat. N’échappent à la confiscation que les sommes données ou investies directement en France par les intéressés (pas par les banques, via des placements) dans le commerce, l’industrie, la recherche et les entreprises de services autres que financiers.
  • Cette limitation s’applique aux gagnants de loteries qui ne peuvent percevoir leurs gains que sous forme de rente mensuelle, d’un montant fixé par eux, jusqu’à épuisement de leurs gains. Les gains ne sont pas imposables mais ne génèrent pas non plus d’intérêts, à moins d’être investis comme indiqué précédemment.
  • Les Français et citoyens de France qui placent leur argent ou cachent leur excédent dans des banques étrangères sont passibles de dénaturalisation, expropriation, expulsion, interdiction de séjour et interdiction d’importer. (commentaires)

98. Prise en charge pour moitié par l’Etat du salaire des employés souffrant d’un handicap reconnu

99. Suppression des cotisations salariales et de l’impôt sur le revenu

  • In fine tout ce qu’un contribuable verse à l’Etat de manière directe ou indirecte provient de ce qu’il reçoit de l’entreprise pour laquelle il travaille : que de va-et-vient inutiles et coûteux ! L’aberration est à son comble s’agissant des fonctionnaires d’Etat qui rendent à leur employeur une partie de ce que celui-ci leur a soi-disant versé ! (commentaires)

100. Remplacement de toutes les taxes sur les entreprises et charges patronales par un système de taxes basé sur 1) la nature de l’activité ou de la production, 2) le lieu d’implantation, 3) le nombre d’employés, 4) l’origine ou la nationalité des employés (taux nul pour les Français). (commentaires)

101. Instauration d’un impôt progressif sur les bénéfices des entreprises (déduction faite des taxes précitées), une part revenant à la commune (50 %), une autre au département (10 %), une autre à l’Etat (40 %)

102. Exonération de toutes taxes (sauf taxe 4) pour les entreprises de moins d’un an créées par des Français, de moitié pour les entreprises de moins d’un an créées par des citoyens de France ou étrangers. La deuxième année, les entreprises créées par des Français ne sont taxées qu’à moitié, quand celles créées par des étrangers le sont déjà à taux plein. La troisième année, plus d’exonération pour personne.

103. Suppression de la TVA sur tous les produits français (commentaires)

104. Suppression des droits de succession (commentaires)

105. Harmonisation nationale de la taxe d’habitation

CHOMAGE & RETRAITE

106. Réduction du temps de chômage indemnisé à 3 mois + un mois pour chaque années travaillées (ou 1 jour par semaine en dessous d’une année travaillée)

107. Indemnités chômage équivalentes, pour tous et quelle que soit la cause de la cessation d’activité (démission ou licenciement), au dernier salaire

108. Suppression des revenus minimums, remplacés par une prise en charge concrète par les communes (hébergement, nourriture, vêtement, transport)

109. Suppression de l’âge de la retraite : tout citoyen pour pouvoir prétendre à la retraite, doit avoir travaillé 40 ans (les métiers réputés usant bénéficient d’un coefficient supérieur)

  • Les citoyens n’ont aucune obligation de prendre leur retraite.
  • Les périodes de chômage ne sont pas prises en compte dans le calcul du temps passé à travailler, et pour cause !

110. Les indemnités retraites sont égales au meilleur salaire perçu dans les dix dernières années d’activité. (Commentaires)

111. Prise en charge pour moitié par l’Etat, pour l’autre par les entreprises, des salaires des employés de plus de cinquante ans et ceux pouvant légalement prendre leur retraite mais préférant continuer à travailler.

112. Les retraités mariés ou pacsés perçoivent l’intégralité de la pension due à leur compagnon(e) décédé(e).

113. Les veuves de soldats perçoivent à vie une pension égale à la dernière solde de leur défunt mari ou compagnon, quels que soient son âge et la raison de son décès, sauf en cas de désertion et de trahison de sa part.

FONCTIONNARIAT

114. Suppression de la garantie de l’emploi pour les fonctionnaires d’Etat

  • La garantie de l’emploi, pour les fonctionnaires comme pour tous les citoyens, est dans l’accomplissement de leur travail et, qui plus est, d’un travail utile. Les contribuables n’ont pas à entretenir des indignes (fainéants, pervers, etc.) et des inutiles.

115. Réduction drastique du nombre de fonctionnaires d’Etat. (Commentaires)

ECOLOGIE

116. Développement intensif du recyclage

117. Révision des normes sur les emballages, ramenées au strict minimum, afin de réduire considérablement le volume des déchets ménagers

118. Obligation d’indiquer, par un drapeau bien visible, l’origine des produits.

  • Il va de soi qu’un produit qui arrive de l’autre bout du monde a généré indirectement plus de pollution et de gaspillage énergétique qu’un produit local ou national. (Commentaires)

 119. Organisation de concours et de salons permanents, ouverts à tous les inventeurs, sur les énergies renouvelables, le traitement des déchets, l’utilisation des matières recyclées, etc.

JUSTICE

120. Reconnaissance du principe de « légitime défense » et suppression du principe inhibiteur de « défense proportionnelle »

121. Introduction de jurys populaires dans tous les tribunaux qui valideront ou non la mise en accusation et détermineront les peines hors les cas prévus par la loi.

  • Les citoyens français appelés à la fonction de juré siègent pendant un mois ou jusqu’à la fin de la dernière affaire en cours. (Commentaires)

 122. Etablissement de la peine de prison à vie pour les crimes (meurtres, viols, torture, esclavagisme, proxénétisme)

123. Etablissement de peines plancher pour certains délits, notamment pour les actes de violence sur personnes (hors cas de légitime défense)

124. Suppression des remises de peine

125. Suppression des télés, radios, séances de sport, ateliers, promenades, visites et cantines dans les prisons : interdiction de sortir de la cellule, sauf urgences médicales

  • La détention doit s’effectuer si possible dans l’isolement, afin d’empêcher les évasions, les trafics et les agressions des gardiens ou entre détenus
  • La dureté des conditions de détention permettra d’infliger des peines plus courtes et cependant plus dissuasives

126. Dénaturalisation automatique des condamnés à au moins 10 ans de prison ou à la deuxième condamnation à de la prison ferme

127. Expulsion des détenus étrangers à l’issue de leur peine

  • Cette disposition est abusivement appelée « double peine » : être renvoyé chez soi n’est pas une peine. Un étranger qui commet un grave délit en France n’y a aucun droit. Pour un étranger, commettre un délit ne doit pas être un moyen de rester en France, mais une certitude d’en être expulsé. Ménager les délinquants étrangers qui ne méritent aucun égard nuit à la réputation des étrangers en général.

128. Remise d’un pécule de 3.000 € aux détenus nécessiteux à la sortie de leur premier séjour en prison, hors le cas des détenus étrangers.

129. Suppression des peines de prison pour les primo délinquants inoffensifs et dociles (sauf cas prévus par la loi), remplacées par des TIG conséquents et, si possible, en rapport avec le délit afin qu’ils réparent au centuple. 

  • Des brigades de TIG seront formées.
  • Les peines de TIG seront accomplies d’une traite, sans interruption (une peine de TIG ne peut être un motif de licenciement)
  • Les condamnés à une peine de TIG faisant preuve de mauvaise volonté seront envoyés en prison pour un an.

130. Réservation d’un dixième des panneaux publicitaires des communes à des fins d’affichage public (les citoyens doivent connaître la loi, mais c’est à la loi de se faire connaître)

  • Les lois à afficher en permanence ou ponctuellement, et le format de l’affichage, seront indiquées par le Garde des sceaux
  • Les maires des communes en infraction, un an après l’adoption de la loi, seront passibles d’invalidation et d’inéligibilité à vie


SOL & PATRIMOINE NATIONAL

131. Interdiction pour les étrangers d’être propriétaires de biens fonciers ou immobiliers en France (ils peuvent seulement louer)

  • Libre aux pays étrangers d’appliquer la réciproque envers les Français

132. Interdiction pour l’Etat comme pour les particuliers de vendre à des étrangers des biens gros et petits appartenant au patrimoine national ; interdiction pour les propriétaires français privés de faire sortir leurs biens de France, sauf pour des expositions temporaires.


TOURISME & VIE NOCTURNE

133. Création au sein du Ministère du tourisme d’un service chargé de traquer et de réprimer les commerçants vivant du tourisme pratiquant des prix abusifs

134. Autorisation de fumer dans les établissements équipés d’extracteurs de fumée aux normes

135. Liberté pour les restaurants, bars et boites de nuit d’adopter, en matière de cigarette, le règlement qui leur plait

136. Liberté pour les bars de nuit et les boites de fixer leurs horaires d’ouverture et de fermeture, dans le respect de la législation du travail

137. Tolérance zéro en matière d’alcoolémie au volant, saisie immédiate et définitive du véhicule en cas d’infraction. (Commentaires)

138. Obligation pour les boites de nuit isolées ou concentrées hors centre ville de mettre en place des navettes (payantes) entres elles et les principales agglomérations alentours, sous peine de fermeture

139. Suppression de toute réglementation du volume sonore dans les bars et boites de nuit

140. Interdiction pour les personnes habitant dans le voisinage de bars et boites de nuit, en centre ville ou à la campagne, de se plaindre du bruit « naturel » de ce genre d’établissements, à moins qu’elles aient été les premières sur les lieux

MŒURS

141. Interdiction d’afficher sur la voie publique (notamment devant les points presse et autour des kiosques à journaux) des images pornographiques ou érotiques

142. Réouvertures des maisons closes sous contrôle de l’inspection du travail

  • La libre prostitution est un métier, un travail, un gagne pain ; le proxénétisme est un crime passible de prison à vie.

143. Légalisation de la culture du cannabis et autres herbes mais maintien de l’interdiction d’en vendre sous peine de 10 ans de prison

  • Se procurer des substances illicites étant d’une facilité enfantine, le but est moins d’empêcher leur consommation que de casser les trafics

144. Prise en charge par l’Etat, sans avance pour la famille ou les proches, de tous les frais d’enterrement ou d’incinération (selon les vœux du défunt)

  • Sont pris en charge : le rapatriement du corps, les pompes funèbres, l’incinération, la mise en bière, l’office religieux, un traiteur pour la réception 
  • Mise en place, dans toutes les communes, d’un service funéraire chargé d’organiser les enterrements, sauf demande expresse des survivants, lesquels pourront néanmoins se renseigner auprès de lui sur les démarches à suivre et les professionnels agréés à contacter

17:13 Écrit par Philippe Landeux dans 6. MON BLOG | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook | |  Imprimer |

samedi, 14 avril 2012

PENSEE DU JOUR : l'équation politique

Mélenchon = Hollande = Sarközy

Donc

Mélenchon = Hollande - Sarközy = Sarközy - Hollande = 0

Hollande = Mélenchon - Sarközy = Sarközy - Mélenchon = 0

Sarközy = Hollande - Mélenchon = Mélenchon - Hollande = 0

Dans l'hypothèse d'un second tour Sarközy / Hollande :

0 + 0 = la tête à Toto

08:36 Écrit par Philippe Landeux dans 6. MON BLOG | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook | |  Imprimer |

vendredi, 13 avril 2012

PENSEE DU JOUR : les fripons

Une élection n’est pas un référendum.

Elle légitime l’occupation de la fonction ainsi pourvue, mais pas les actions de l’élu.

C’est l’escroquerie du système dit représentatif de faire croire aux électeurs pris en masse, c’est-à-dire au peuple, que le vote transfère la souveraineté inaliénable aux élus.

BABORD TOUTE !

Je rentre de soirée, arrondi aux entournures, mais assez lucide pour surfer sur Internet et écrire et corriger le présent texte. Et je tombe sur un énième discours parlant d’« extrême gauche », sous-entendu Mélenchon, et d’« extrême droite », sous-entendu Marine Le Pen.

J’ai déjà écrit dans ces colonnes au sujet des notions de Gauche et de Droite, a fortiori au sujet des notions d’extrême Gauche et d’extrême Droite. On ne nous a que trop baladé avec ces étiquettes désormais dépourvues de tout signifiant, sans rapport avec le signifié ! Mettez l’estampille d’un grand cru sur une bouteille de piquette, ce ne sera jamais que de la piquette. Transvasez un grand Bordeaux dans une bouteille de villageoise… les snobs ne verront que de la villageoise là où les pragmatiques fleureront la merveille ! Qu’importe le flacon pourvu que ce soit du bon ! Hé bien ! ce tour de passe-passe a été opéré sur la scène politique. Les choses ont changé du tout au tout mais les appellations sont restées et les « citoyens », esclaves de leurs habitudes, sont trompés sur la marchandise.

J’invite les lecteurs à se reporter à mes précédents articles :

L’échelle politique :
http://ripostelaique.com/lechelle-politique.html

Ne l’appelez plus jamais Gauche :
http://ripostelaique.com/nappelez-plus-jamais-ps-pc-verts-npa-la-gauche-mais-la-gaucherie.html

Nation et patriotisme, des concepts de Gauche :
http://ripostelaique.com/nation-et-patriotisme-des-concepts-de-gauche.html

Immigrationnisme, écologisme, européisme : des idées de Gauche ?
http://ripostelaique.com/immigrationnisme-ecologisme-europeisme-des-idees-de-gauche.html

J’invite à nouveau les lecteurs à se souvenir d’où viennent les notions de Gauche et de Droite, qui les incarna au plus au point, et particulièrement celle de Gauche. Je crois que les valeurs absolues de la Gauche sont celles de la Société dans l’absolu. On ne me contestera sans doute pas que l’Egalité est depuis l’origine la valeur suprême de la Gauche, autrement dit que la valeur suprême de la Gauche se confond avec le Principe fondamental de l’ordre social. Par « Egalité », il faut bien sûr entendre « égalité des citoyens en devoirs et en droits » et non «  égalité des hommes en droits » ce qui n’a concrètement aucun sens. Pourquoi ? Parce que les droits sont la conséquence des devoirs que les citoyens ont mutuellement les uns envers les autres et que des devoirs réciproques génèrent (ou devraient générer) l’égalité en droits. Hors de l’Egalité en devoirs ou en droits, il n’y a égalité ni en devoirs ni en droits ; il n’y a ni Société ni état de droit. Une société inégalitaire et individualiste n’est pas une société. Il n’y a entre un maître et ses esclaves qu’un rapport de force, comme dans l’état de nature, non un rapport de droit, comme dans l’état de Société.

Il s’ensuit que, si l’Egalité est la pierre angulaire de la Gauche, elle va de pair avec les notions de « nation » (l’ensemble des citoyens nationaux, c’est-à-dire des individus participant à la vie de la cité, égaux en droits économiques et politiques, et ayant le droit de cité), de « patriotisme » (volonté de défendre la cité, c’est-à-dire l’ensemble des égaux qui la constituent) et de « démocratie » (les égaux ou citoyens nationaux étant en corps le souverain). En résumé, la devise de la Gauche authentique et historique est : Egalité, Nation, Patriotisme, Démocratie. Vous ferais-je l’injure de vous rappeler que les notions de Gauche et de Droite viennent de la Révolution ? que la Révolution s’est faite au 14 juillet 1789 (Bastille) comme au 20 septembre 1792 (Valmy) au cri de « Vive la nation ! » ? que le champion de la Gauche d’alors était Robespierre, qu’il était pour le suffrage universel, pour la souveraineté du peuple, en un mot pour la Démocratie ? que le même Robespierre, quoique hostile à l’idée de lancer la France qui n’était pas encore une République dans une guerre contre toute l’Europe (projet de la Cour et des Girondins) saisit plus que tout autre le sens du slogan « la patrie en danger » et mit tout en œuvre, une fois cette guerre déclarée, pour sauver à la fois la France, la République, la Révolution et la Démocratie ? Faut-il rappeler que les révolutionnaires adoptèrent le 18 juin 1793, oui, le 18 juin, le décret suivant : « Le peuple français ne fait point la paix avec un ennemi qui occupe son territoire » (article 121 de la Constitution de 1793). Faut-il rappeler que la Démocratie n’est pas un système dans lequel le peuple élit de soi-disant représentants mais ratifie toutes les lois auxquelles il va devoir se soumettre ? Tel était encore le principe de nos pères qui, en 1793, avaient prévu que les lois formées par l’assemblée des députés ne soient que des projets pendant quarante jours après l'envoi aux Assemblée primaires de la loi proposée (Si, dans la moitié des départements, plus un, le dixième des Assemblées primaires de chacun d'eux, régulièrement formées, n'a pas réclamé, le projet est accepté et devient loi. Art. 59). Faut-il rappeler que, d’après cette même Constitution, charte de la Gauche durant le XIXe siècle, « Le peuple français ne s'immisce point dans le gouvernement des autres nations ; il ne souffre pas que les autres nations s'immiscent dans le sien » (art. 119) ? Est-il besoin de démontrer que des Sans-culottes aux Résistants en passant par les Communards, la Gauche se situa toujours sur cette ligne, que les hommes sur cette ligne étaient de Gauche même s’ils l’ignoraient (Quel plus bel exemple de cette ignorance que de Gaulle dont la vision fut plus de gauche que celle d’un Mitterrand !), que la véritable Gauche fit toujours honneur à la nation parce qu’elle nourrissait le véritable amour du peuple et de l’humanité ?

Mais où se situe cette véritable Gauche aujourd’hui ? Est-elle du côté de Libération et des bobos qui, à l’idée d’une véritable démocratie, parlent de populisme et insultent le peuple chaque fois qu’il s’exprime contrairement à leur souhait ? Qui ne se souvient de ce titre de Libé « Le vote de la honte » à propos du référendum sur les minarets en Suisse, peut-être la seule démocratie du monde ? Qui a entendu Libé protester quand le Parlement a bafoué en 2008 le référendum de 2005 ? Qui a vu Libé s’indigner que la France s’engage en Libye dans une croisade pour la démocratie comme les Girondins (représentants de la haute bourgeoisie) avaient en leur temps lancé la France dans une croisade pour la Liberté ? Personne n’a vu une telle chose parce que Libé (propriété de Rothschild) n’est pas du côté des principes mais pour le pognon ! Ce torchon n’était-il pas à la veille de nous vendre DSK (patron du Fond Monétaire International, nommé par Sarközy) comme le messi ? Ne cherche-t-il pas à nous persuader, comme l’UMP, le MEDEF, Terra Nova (Think Thank du PS), la LICRA, SOS Racisme et autres officines anti-nationales patentées, que l’invasion migratoire est un bonheur, que le multiculturalisme est une richesse, que le métissage est une obligation, que la France n’est rien et que son anéantissement est une nécessité et une fatalité ? La « Gauche » hollandesque ou mélenchonienne, habillant d’humanisme les volontés du patronat et la plus sordide collaboration, trahissant tous les idéaux authentiquement de Gauche, faisant se retourner dans leur tombe toutes les figures historiques de la Gauche, reniant tous les dogmes de la République française (laïcité, assimilation, méritocratie, fierté nationale, etc.) a-t-elle encore un quelconque rapport avec la Gauche au vrai sens du terme ?

Mais si la Gauche officielle n’est plus la Gauche et ne mérite pas mieux que l’appellation de « gaucherie », si elle ne diffère qu’à la marge de la Droite mondialiste et immigrationniste (sarkozyste) quand elle ne ressemble pas comme deux gouttes d’eau à l’extrême Droite (fasciste), si la gaucherie n’est finalement qu’une version édulcorée de la Droite, y a-t-il encore une Gauche ? Certes, aucun parti politique ne peut aujourd’hui apporter l’Egalité, impossible sous Largent. Aucun parti n’est donc absolument de Gauche, car aucun ne remet Largent en cause. Du moins la Gauche est-elle politiquement incarnée par la mouvance qui s’éloigne le moins du logiciel historiquement de Gauche ! Or, quel parti est aujourd’hui attaché aux notions consubstantielles à celle d’Egalité : nation, patriotisme, démocratie ? Qui défend la nation indépendante et souveraine ? Qui porte la fierté d’être français et l’identité de la France ? Qui réclame des référendums ? Qui a relevé le flambeau du jacobinisme ? Poser ces questions, c’est y répondre !

La Gauche et la Droite ne sont pas seulement des étiquettes, ce sont des concepts gravés dans le marbre depuis la Révolution française. Mais ces termes obligent à visualiser une répartition horizontale des partis politiques alors qu’ils renvoient intrinsèquement à un classement vertical. La Gauche, c’est l’absolu de la Société, l’idéal à atteindre, le sommet de l’échelle politique. (C’est d’ailleurs ce qui explique pourquoi la gaucherie tient tant à cette étiquette, comme il est plus malin de faire le mal au nom du bien, la guerre au nom de la paix, de la démocratie ou de la Liberté, les pires saloperies au nom de la justice ou de la vertu, etc.) Tous les degrés inférieurs sont de Droite et les plus éloignés de cet absolu sont par conséquent l’extrême de Droite. Toutes ces tendances existent aujourd’hui mais il ne faut plus se fier aux panneaux pour les reconnaître. Prendre pour argent comptant les indications validées par le système médiatique qui vise à la désinformation, c’est tomber dans le piège et cautionner la tromperie. Si le mensonge est partout, jusque dans nos assiettes, comment pourrait-il ne pas être là aussi ? Dans ces conditions, il faut se fier à son instinct, ce même instinct de conservation qui est à l’origine de la Société. S’il dit que la Gauche est du côté de ce que le système s’acharne à qualifier d’« extrême Droite » et que toute autre direction semble suicidaire (individuellement et collectivement), alors il n’y a pas à balancer. Au diable les sophismes des traîtres et des crétins. Bâbord toute ! 

De Munich à Montoire !

Philippe Landeux

09:17 Écrit par Philippe Landeux dans 6. MON BLOG | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook | |  Imprimer |

jeudi, 12 avril 2012

PENSEE DU JOUR : janus

Sarközy et Hollande veulent tous deux détruire la France par le haut (Europe) et par le bas (immigration). Mais ils se sont répartis les rôles. Le premier est ostensiblement le champion du mondialisme, le second du droits-de-l'hommisme.

05:12 Écrit par Philippe Landeux dans 6. MON BLOG, 7.1. PENSEES DU JOUR | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook | |  Imprimer |

mercredi, 11 avril 2012

PENSEE DU JOUR : le génie du diable

Largent fausse tout. Raisonner comme s'il n'existait pas et n'avait aucune influence, c'est déjà tomber dans le piège.

mardi, 10 avril 2012

PENSEE DU JOUR : anticipation

L’antiracisme institutionnel est l’anticipation de la légitime révolte populaire face à l’invasion migratoire organisée par le gouvernement pour le patronat.

AU NOM DE LA DEMOCRATIE

Le mot « démocratie » est aujourd’hui mis à toutes les sauces alors que notre système n’est en rien démocratique. Ces abus de langage ont pour objectif de conférer une légitimité à des actes et des procédés qui n’en ont aucune. A l’heure où le principe de la souveraineté du peuple est reconnu, toute intervention populaire, même illusoire, surtout illusoire, est estampillée du label « démocratique », et toute action d’Etat, anti-démocratique ou anti-nationale, doit être entreprise au nom de la démocratie (viol d’un référendum, guerre en Libye, etc.). En revanche, ce qui s’approche le plus de la démocratie réelle est taxé de populisme voire de fascisme par l’oligarchie.

Mais qu’est-ce au juste la démocratie ? Tout le monde connaît la formule : « gouvernement du peuple, par le peuple, pour le peuple ». Mais cette formule ne dit pas l’essentiel. La démocratie est un système dans lequel les lois, toutes les lois et toutes les entreprises menées au nom du peuple, sont approuvées par le peuple. (Précisons que le peuple n’est pas la population, mais l’ensemble des individus qui ont mérité le droit de cité d’après les Principes de l’ordre social, et non d’après les lois qui peuvent étendre ou restreindre de manière arbitraire le corps politique, c’est-à-dire la Nation). Il ne suffit donc pas que le peuple intervienne à un moment ou un autre dans le processus législatif ou décisionnel pour que le procédé puisse être qualifié de démocratique ; il faut que le peuple en personne ait réellement le dernier mot, que rien ne se fasse contre sa volonté et sans son aval. C’est cela une démocratie. Tout système qui viole ce principe est anti-démocratique. Il s’ensuit que la « démocratie représentative » est une escroquerie.

La « démocratie » représentative confie à des élus (pas toujours) le soin de faire les lois et de prendre toutes les décisions au nom du peuple qui les a élus (souvent par défaut). Comme ils ont été portés à leurs fonctions par le peuple, le système se dit « démocratique ». On note que le peuple est ici en début de chaîne et non en bout. En réalité, le peuple ne fait que choisir ses maîtres ; il n’est pas plus consulté qu’il n’a les moyens de s’opposer aux décisions prises en son nom par les élus qui ne sont eux-mêmes tenus en rien de respecter leurs promesses électorales (pas de mandat impératif). La possibilité de ne pas réélire les traîtres à la nation, pour en choisir d’autres du même tonneau et repasser le même film, est une bien maigre consolation une fois que le mal est fait. Le système est si anti-démocratique que même les contre-pouvoirs constitutionnels n’ont aucune dimension populaire. En fait, dans ce système, le peuple est nul ; il ne sert que d’alibi et de marchepied.

Mais, dira-t-on, un peuple nombreux ne peut se gouverner directement et doit nécessairement déléguer des pouvoirs. Ceci n’est qu’un sophisme. Il est évident que des individus peuvent d’autant moins élaborer des projets en commun qu’ils sont nombreux. Mais c’est dénaturer  le problème que de formuler pareille objection. La question n’est pas de savoir si un peuple peut élaborer des projets en commun, mais si lesdits projets, quels que soient leurs concepteurs, doivent être soumis à son approbation et s’il peut lui-même se prononcer. Dans ce cas, la réponse est oui. La méthode pour le consulter est le référendum. Il est vrai néanmoins que le peuple ne peut être consulté dans son entier chaque fois qu’une décision politique ou législative est prise. Même si cela était techniquement possible, comme c’est le cas aujourd’hui, des consultations quotidiennes par Internet ou autre procédé informatique aviliraient la démocratie. Le vote doit être un acte sacré, solennel et réfléchi, et les électeurs doivent prendre le temps de la réflexion, ce qui ne peut être le cas s’ils sont bombardés de questions. Maintenant, ce n’est pas parce que la démocratie directe est impraticable, sauf occasionnellement, qu’il faut s’abandonner au système exclusivement représentatif qui est antidémocratique par nature, puisque les élus confisquent de fait la souveraineté qui n’appartient qu’au peuple. Il ne s’agit pas d’opter entre l’anarchie ou le despotisme, mais de trouver un juste milieu.

Quoique le débat soit clos aujourd’hui, les tenants du pouvoir se gardant bien de le rouvrir, ces considérations ont longtemps turlupiné les philosophes et engendré des système politiques variés. Il n’est pas possible d’évoquer ici tous les systèmes politiques connus dans l’Histoire depuis l’Antiquité. Disons simplement que beaucoup de systèmes intégraient et utilisaient chacun à leur manière un procédé qui a complètement disparu de nos jours en matière politique : le tirage au sort. La question que se pose : le sort est-il un procédé démocratique, c’est-à-dire garant de la démocratie ?

Il est certain que le tirage au sort ne relève pas en lui-même de la logique « aristocratique », qu’il est a priori dans l’intérêt du peuple contre celui de l’oligarchie. Mais la signification et les effets de ce procédé dépendent de l’objet auquel il est appliqué, du moment auquel il intervient dans le processus de sélection et des fonctions qui seront celles des « élus ». Il ne suffit pas qu’un système recoure au tirage au sort pour le qualifier de « démocratique » alors que le résultat peut être, sinon l’inverse, du moins nul. Pour comprendre à quelle fin et à quel moment le tirage au sort est utile d’un point de vue démocratique, il faut revenir à ce qu’est la démocratie.

La finalité de la démocratie est la souveraineté du peuple au sens littéral. Un procédé est démocratique quand il permet au système d’atteindre cette finalité ; il est anti-démocratique quand il tend à étouffer la voix du peuple ; il est neutre et insipide quand, au final, il ne pèse rien dans la balance et ne fait pencher le plateau ni d’un côté ni de l’autre. Ainsi, quand le tirage au sort n’est qu’une étape parmi d’autres dans le processus de sélection et n’apporte ni n’enlève rien, au niveau global, à la souveraineté du peuple, il est indifférent du point de vue de la démocratie ; ce procédé n’est alors ni démocratique ni anti-démocratique et employer ces qualificatifs à tort et à travers est au mieux une maladresse, au pire une perfidie. (On peut d’ailleurs dire la même chose du droit de vote.) De manière générale, la démocratie ne se loge pas dans les détails du système. Un système est ou n’est pas démocratique. Il l’est si les lois et les actes du gouvernement sont réellement l’expression de la volonté du peuple. Peu importe qui fait les lois et qui gouverne dès lors que rien ne peut se faire sans l’accord du peuple. Or, il n’y a qu’une manière de connaître l’opinion du peuple en dehors du référendum, c’est de constituer une assemblée de nombreux citoyens (nationaux) tirés au sort, sorte de jury national, dont la fonction première serait de ratifier à une large majorité (par exemple les deux tiers) les projets de lois élaborés par le parlement ou le gouvernement, sauf dans les cas où la constitution impose un référendum.
 
Dans le même ordre d’idée, le tirage au sort est souvent considéré comme un procédé « égalitaire ». C’est un sophisme de plus. L’épithète « égalitaire » fait référence à l’Egalité. Or il n’y a d’Egalité qu’en droits, en société, entre citoyens. Que tous les membres du corps social aient les mêmes chances, par le tirage au sort, d’être appelés à une fonction n’a rien à voir avec l’Egalité et établit même une sorte inégalité. En effet, dans le cadre de leurs fonctions, les « élus » seront revêtus de droits particuliers ou prérogatives, puisque c’est le but même de l’opération. Sous ce rapport, ils ne sont plus les égaux de leurs concitoyens. En réalité, les droits particuliers, nécessaires pour s’acquitter de quelque fonction que ce soit, n’entrent pas dans la balance de l’Egalité. L’Egalité se juge au niveau global ; elle n’existe que si les individus sont égaux en droits en tant que citoyens, c’est-à-dire si le statut de citoyen confère à chacun d’eux les mêmes droits, autrement dit si les droits du citoyen sont attachés à la citoyenneté. Or le tirage au sort, à quelque niveau qu’il intervienne et quelque poste qu’il serve à pourvoir, n’altère pas la nature égalitaire ou inégalitaire du système. En l’occurrence, le système monétaire est inégalitaire par nature et des tirages au sort à quelque fin que ce soit ne changeraient rien à l’affaire. Il y aura toujours une minorité de riches et une majorité de pauvres dans un système monétaire de par les lois de la monnaie, fondée sur Largent (notion de valeur marchande), et riches et pauvres ne sont pas et ne seront jamais égaux en droits, pour la simple raison qu’un des droits fondamentaux du citoyen est de pouvoir accéder librement au marché (où sont réunis une partie des bienfaits de la cité qu’il a lui-même contribué à générer) et que, dans un système monétaire, ce droit est conféré et limité par la monnaie qui ne peut pas se répartir également.

Il s’ensuit que des procédés sélectifs ne peuvent être égalitaires alors que le système est inégalitaire en dernière analyse. Si un procédé ne produit pas l’Egalité, la seule Egalité qui importe, en quoi est-il égalitaire ? On retrouve donc ce que nous avions dit précédemment sur la démocratie, à savoir qu’elle ne se loge pas dans les détails mais se mesure au niveau global. Il y a d’ailleurs un lien entre Egalité et Démocratie, comme entre inégalité et oligarchie. Il ne peut pas y avoir d’authentique démocratie dans l’inégalité. Même une organisation politique parfaite sur le papier débouche sur une oligarchie dans l’inégalité, car les profiteurs de l’inégalité ayant le pouvoir économique ne sont pas menacés par le pouvoir politique dont ils finissent par s’emparer de manière plus ou moins détournée. A l’inverse, dans un système égalitaire, donc non-monétaire, tel la Cité, rien ne pourrait dépouiller les citoyens de leurs droits, tous auraient le même poids politique et, par la force des choses, un système démocratique se mettrait en place. Pourtant, ce système ne serait démocratique que dans ce contexte ; il serait illusoire dans un contexte monétaire. Tant que les pauvres sont pauvres, la belle affaire ! Egalité et Démocratie sont des mots vides de sens.

Il faut donc se méfier des débats sur la nature plus ou moins démocratique ou plus ou moins égalitaire de tel ou tel procédé, dès lors qu’ils servent (même inconsciemment) à occulter la question fondamentale de Largent et de la monnaie dont dépend la nature inégalitaire et anti-démocratique du système. S’engager corps et âme dans de tels débats avant même d’avoir une idée correcte de ce que sont l’Egalité et la Démocratie, et de proposer les mesures qui seules peuvent les assurer, c’est se méprendre sur la véritable cause de l’inégalité et de l’oppression, donc contribuer à les maintenir, donc servir les intérêts suprêmes du système ; c’est mener, avec plus ou moins de talent, des combats périphériques pour remporter, au mieux, des victoires à la Pyrrhus.

Source : L'impossible aristocratie

14:46 Écrit par Philippe Landeux dans 6. MON BLOG | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook | |  Imprimer |

lundi, 09 avril 2012

PENSEE DU JOUR : quand on ne veut pas tuer un chien enragé...

Tout le monde convient que des Citoyens doivent être égaux en devoirs et en droits, et qu’il n’y a d’Egalité que sociale. Mais pourquoi, dès que l’on prend l’Egalité au sérieux, chacun fait-il mine de croire que l’on veut l’égalité des biens, l’uniformité en toute chose, la négation des différences naturelles ? Parce que l'Egalité, la vraie, la seule, impose de renverser Largent et que les hommes, à cette idée, perdent raison et courage. 

dimanche, 08 avril 2012

PENSEE DU JOUR : le couleur plurielle

Un gros mélange n’a jamais produit que de la merde.

samedi, 07 avril 2012

PENSEE DU JOUR : les deux boulets

Il y a deux dangers mortels, deux priorités absolues : l’Europe et l’immigration. Eviter ces deux sujets, c'est parler dans le vide.

L'Europe paralyse la France de l'extérieur pendant que l'immigration la détruit de l'intérieur.

Sortir de l'Europe pour retrouver la maîtrise de notre destin en période de tempête, et stopper l'immigration pour rétablir la cohésion nationale sans se payer de mots sont les conditions du salut de la France. Tout le reste est secondaire, et quiconque détourne l’attention de ces enjeux vitaux, quiconque est européiste, immigrationniste ou les deux à la fois, est soit un crétin soit un traître. C'est maintenant qu'il faut réagir. A différer, il risque de ne plus rien y avoir à sauver.

vendredi, 06 avril 2012

PENSEE DU JOUR : force

On ne remporte pas une épreuve de force avec de bons sentiments.

jeudi, 05 avril 2012

PENSEE DU JOUR : la lutte des classes

Dans l'inégalité, sous Largent, chaque individu est en lutte contre tous les autres. Les classes sont une illusion d'optique. La lutte des classes est une voie sans issue.

Article 127 du Manifeste des Patriciens

12:00 Écrit par Philippe Landeux dans 6. MON BLOG, 7.1. PENSEES DU JOUR | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook | |  Imprimer |

DU MULTICULTURALISME ET AUTRES FADAISES

On protège la diversité en défendant sa différence, car nul autre ne la défendra (mieux ou aussi bien). Si chacun perpétue sa différence, toutes les nuances perdurent et la richesse de l’Humanité est préservée. Mais tous les combats ne sont pas légitimes.

Toutes les cultures sont liées à un territoire (celui sur lequel elles sont nées et ont mûri) et relèvent du domaine collectif à plusieurs niveaux : local, régional, national voire continental. Tous les individus appartiennent simultanément à des sphères de chacun de ces niveaux et sont porteurs, malgré eux, des diverses strates culturelles correspondantes. Ils sont chez eux quand ils restent dans leur sphère géo-culturelle. Ils sont chez autrui dès lors qu’ils entrent dans une ou plusieurs sphères géo-culturelles autres que les leurs, du moins, lorsque ayant franchi des frontières, leur culture originelle les désigne comme étrangers dans leur nouvel environnement. Ceci s’applique également aux descendants des étrangers qui, au lieu d’être imprégnés de la culture locale et d’en être à leur tour les vecteurs, incarnent davantage la culture étrangère que leurs parents leur ont transmise et sont toujours comme un cheveux sur la soupe.

Rester soi-même chez soi est légitime. Mais rester soi-même chez les autres est, hors le cas du passage éclair, soit maladroit et impoli, soit méprisant et provoquant. En l’occurrence, cela peut provoquer une légitime réaction de rejet. Car chacun est maître chez soi et nul n’est tenu, à moins d’y être contraint, d’accueillir des étrangers, à plus forte raison s’ils se comportent en gougnafiers ou en conquérants. La contrainte en question peut être le fait soit des autorités locales, qui obligent leurs administrés à accueillir et à respecter les étrangers quoi qu’ils fassent, soit des étrangers eux-mêmes, qui imposent leur présence et leur culture les armes à la main.

C’est ici qu’apparaissent tous les paradoxes de l’immigration récente, voulue par le patronat, favorisée par les gouvernements successifs et cautionnée par la gaucherie depuis quarante ans sans que jamais le peuple, réellement confronté aux immigrés, ait eu son mot à dire.

Le système représentatif est par nature anti-démocratique, quoi qu’en dise la propagande. Le peuple français, dépossédé de la souveraineté par ses élus, c’est-à-dire par une oligarchie, n’est donc pas maître chez lui et tout ce qui est fait en son nom est nul et non avenu. N’ayant pas consenti à l’immigration, la présence des immigrés est aussi illégitime qu’un mariage forcé. Mais passons sur ce point.

Comme tous les peuples du monde, le peuple français a une culture nationale qui le distingue des autres et qui permet aux Français de reconnaître immédiatement comme des étrangers ou des immigrés les individus qui ne la véhiculent pas. Mais si les étrangers ou immigrés ne véhiculent pas la culture française, ils en véhiculent une autre qui indique les sphères d’origine auxquelles, manifestement, ils appartiennent encore. Il est alors vain d’espérer que les Français considèrent ces étrangers comme leurs pareils : s’ils partagent le même espace, ils ne sont pas du même monde. Or, en France, seul le point de vue français est légitime. Pour être reconnus comme des égaux, les étrangers, en particulier les immigrés, doivent s’adapter. L’assimilation, telle était en effet la politique traditionnelle de la France. Cette politique a néanmoins été abandonnée depuis que l’immigration concerne des individus qui proviennent d’autres continents et qui, plus que les précédents, avaient besoin de s’assimiler pour intégrer la communauté nationale. C’était donc gérer en dépit du bon sens une immigration en soi illégitime.

Il était naturel, dans ces conditions, que les immigrés non désirés et non assimilés soient l’objet d’un rejet, quoique la plupart des Français n’aient eu alors pour eux et pour la question de l’immigration qu’indifférence. C’est à ce moment que, initié par des traîtres, est né le mouvement soi-disant antiraciste dont la finalité n’a jamais été de lutter contre le racisme mais de lobotomiser les Français par la culpabilisation à tout propos afin qu’ils ne réagissent pas face à l’invasion migratoire programmée et au crime de lèse-nation en cours. Ayant désormais la loi pour eux, des immigrés qui n’auraient même pas du être en France ont commencé à parler haut et à semer des sentiments anti-français. Petit à petit, les rôles ont été renversés : les Français qui sont chez eux durent faire profil bas devant des étrangers menaçant de les accuser de racisme. Le monde à l’envers ! Mais si les Français se taisent, ils n’en pensent pas moins !

A la pression morale s’ajoute, avec le temps, la pression numérique. L’immigration n’a pas été une vague : c’est une déferlante continue. Le nombre d’immigrés, au sens propre, est en augmentation constante, quoique cette augmentation soit masquée par des naturalisations massives. Par ailleurs, bien que leurs innombrables descendants soient officiellement français en vertu du droit du sol, les Français voient en eux des immigrés, d’autant plus que tout à été fait pour qu’ils se voient eux-mêmes ainsi. Les immigrés représentent objectivement une masse colossale, loin du cliché de la minorité négligeable. Ils pèsent de plus en plus lourd. Mais dans quel sens font-ils pencher la balance ? Dans celui du communautarisme, de l’anti-France et d’intérêts étrangers, puisqu’ils n’ont pas été assimilés. Ils sont aujourd’hui une force d’inertie ; ils seront demain une force offensive. Si bien que la question se pose : Est-il raisonnable de les considérer encore comme des « immigrés » ? L’immigration concerne des individus. Mais ces immigrés et leurs descendants participent d’un phénomène collectif qui tourne de facto à l’invasion, à la colonisation, à la conquête. Les politiques d’immigration massive et d’« intégration » ont ignoré l’importance et la précarité des rapports de force et transformé les immigrés en autre chose. Un immigré qui ne s’assimile pas est un colon. Des colons qui ont la force pour eux (que ce soit par les armes ou par le nombre) sont des conquérants en puissance. 

La preuve de l’évolution inquiétante du rapport de force est dans l’apparition de l’idéologie du multiculturalisme d’après laquelle la France serait soi-disant un pays multiculturel. Cette idéologie est évidemment la conséquence, une fois de plus, de l’abandon de la politique d’assimilation qui a permis aux immigrés de conserver leur culture d’origine et les a même obligés à s’y accrocher. Mais ce n’est pas parce que ces derniers sont en France et que certains sont devenus français, au moins sur le papier, que les diverses cultures qu’ils véhiculent, selon leurs origines, sont elles-mêmes de France ou françaises. Ces cultures sont étrangères. Elles sont typiques de pays et de peuples étrangers clairement identifiables. Elles se rencontrent dans tous les pays du monde où des immigrés non-assimilés et de même origine sont installés et, de ce fait, elles ne caractérisent aucun de ces pays. Elles ne sont pas davantage françaises. Elles ne sont en rien une composante de la culture de la France. Tout ce qui existe en France n’est pas nécessairement français. L’idéologie du multiculturalisme, inventée et portée par des gens qui haïssent la France et visent à l’anéantir grâce aux immigrés, voudrait pourtant faire croire le contraire. Si tout est français, rien n’est français et la France n’existe plus. Le multiculturalisme n’est pas une idéologie de la tolérance, mais la pire espèce de collaboration.

Le terme « multiculturalisme » est apparu pour transformer en faits positifs les conséquences de plus en plus visibles d’une politique migratoire désastreuse qu’il devenait impossible de nier plus longtemps. Ceux qui soutenaient que l’immigration ne pose aucune problème présentèrent comme un bonheur les problèmes qu’elle pose. Le multiculturalisme se fonde en effet sur un constat implicite : les masses immigrées, de races et de cultures étrangères, défigurent la France. Sans l’immigration, et en particulier l’immigration arabo-africaine massive, le multiculturalisme n’a aucune raison d’être en tant qu’idéologie. Pour preuve, cette idéologie n’existait pas avant et elle n’a d’ailleurs toujours aucun sens.

Dans la foulée du multiculturalisme est apparue une autre idéologie, pourtant aux antipodes, celle du métissage. Les immigrationnistes sont décidément les champions du virage à 180° ! Ils arrivent à chanter les louanges de la diversité raciale et culturelle, ils vouent même aux gémonies quiconque n’entonne pas leur refrain, et vantent dans le même temps son strict contraire, puisque l’idéologie du métissage n’est autre chose que l’apologie de l’uniformisation, par le mélange, des hommes, donc des races et, partant, des cultures. L’idée, cette fois, est que les conflits raciaux et la résistance à l’immigration disparaîtront quand autochtones et immigrés, à force d’être métissés, c’est-à-dire abâtardis, formeront une nouvelle race, une race unique, quand personne, de par ses origines pour partie étrangères, n’aura pas plus de légitimité que son voisin, quand la population retrouvera une certaine homogénéité. Or c’est précisément l’idée que soutiennent les opposants à l’immigration, à laquelle ils reprochent de troubler l’homogénéité existante. Tous sont donc a priori d’accord sur les vertus de l’homogénéité raciale et culturelle. Mais les premiers, tourmentés par la haine de soi, du Blanc, de la France et de l’Occident, jouant les apprentis sorciers, espèrent en recréer une autre au prix d’une sorte de génocide, tandis que les seconds, traités de fascistes, accusés de haine envers l’Autre, refusent tout simplement d’être colonisés et de disparaître à terme, ce qui est le réflexe sain et naturel de tout être vivant et de tout peuple conscient de lui-même.

Par ailleurs, le métissage produit les mêmes effets partout et détruit la diversité raciale et culturelle aussi bien au niveau national qu’international. Même en supposant que le métissage accouche d’une race et d’une culture inédites, ce qui est une vue de l’esprit (1), il aura appauvrit considérablement l’Humanité et surtout l’Occident, particulièrement adepte de ces idéologies mortifères. L’Humanité est riche des cultures locales et nationales. La richesse de l’Humanité ne peut être préservée que si chaque peuple, chaque pays, protège et perpétue son patrimoine dans tous les sens du terme. Tout le reste relève du sophisme, de la démence et de la trahison.

Philippe Landeux
5 avril 2012

(1) Le métissage produit à la fois des métis et du communautarisme. Il ne fait pas disparaître les races, car tous les individus ne se métissent pas, mais il engendre une masse croissante d’individus inclassables et déboussolés, qui sont tout et rien à la fois. Or, quoi qu’en dise l’idéologie dominante, les hommes ont besoin de repères ; ils ont besoin de savoir d’où ils viennent, qui ils sont, à quoi ils appartiennent, ce qu’ils doivent défendre. Les êtres exceptionnels dépassent peut-être ces considérations, mais ils ne font que confirmer la règle : les hommes souffrent intérieurement de l’absence ou de la confusion des repères. C’est pour échapper personnellement à cette souffrance prévisible, ou pour l’épargner à leurs enfants, que certains fuient le métissage comme la peste et se retranchent dans ce qu’ils regardent comme leur communauté. Plus le discours métissolâtre s’intensifie, plus ils se sentent menacés (avec raison), plus ils se raidissent (parfois à l’excès). Si cela ne débouche pas sur une guerre civile, pour une conquête ou une reconquista, la situation créée est au moins et à jamais conflictuelle.     

08:52 Écrit par Philippe Landeux dans 6. MON BLOG | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook | |  Imprimer |

mercredi, 04 avril 2012

PENSEE DU JOUR : la contre-révolution permanente

Concevoir la Révolution comme une entreprise permanente, c'est vouloir lutter sans fin contre l'inégalité ; c’est donc ignorer le moyen d'instaurer l'Egalité, donc perpétuer l'oppression sous de nouvelles couleurs.

Article 126 du Manifeste des Patriciens