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samedi, 31 décembre 2011

PENSEE DU JOUR : Evidence

Une Evidence se comprend naturellement ou se démontre laborieusement.

vendredi, 30 décembre 2011

PENSEE DU JOUR : le déni de soi

Les jeunes se cherchent de bonnes excuses, les vieux se trouvent de mauvaises raisons.

jeudi, 29 décembre 2011

PENSEE DU JOUR : le révolutionnaire

C'est au pied du mur de l'inégalité qu'on voit le révolutionnaire.

mercredi, 28 décembre 2011

PENSEE DU JOUR : auri sacra fames

La réussite de certains ressemble fort à de la prostitution.

IMMIGRATION & CONTRE-REVOLUTION

Conférence : Largent, le tyran à abattre (extrait)

Les patriotes savent déjà que l’immigration est organisée par le patronat pour des raisons économiques, pour geler ou tirer à la baisse les salaires des Français grâce au chantage que les immigrés, importés pour être exploités, permettent d’exercer sur eux en matière de rémunération, d’emploi, de condition de travail, etc. Les immigrés sont pour ainsi dire des « jaunes », des briseurs de grève. Mais l’immigration à outrance a une autre fonction aux yeux des « élites » : elle démoralise le peuple, détourne son attention de la chose publique et permet de le rouler dans la farine. L’immigrationnisme s’appuie sur un renversement des valeurs et la proscription du bon sens. Les intérêts des étrangers deviennent la priorité nationale. Quiconque s’insurge est traité de xénophobe, de fasciste. Quiconque constate les frictions inévitables entre autochtones et immigrés est traité de raciste, de nazi. Quiconque dénonce l’absence de réelle démocratie est traité de souverainiste, de populiste. Bref, grâce aux sophismes qu’ils permettent d’imaginer et de soutenir, les immigrés sont un instrument contre le peuple et la démocratie.

Mais, plus encore : les immigrés sont, par définition, originaires de pays et de cultures différentes ; leurs traditions, leurs préoccupations, leurs conceptions politiques et leur vision du monde ne sont pas celles des autochtones. Ils vivent à une autre heure et marchent dans une autre direction. Aussi, quand un peuple est prêt techniquement et moralement pour une révolution, une immigration massive, en plus d’être un problème en soi, constitue une force d’inertie, donc un frein à la révolution. Nul doute que les puissants ont conscience du caractère contre-révolutionnaire de l’immigration massive. Si elle favorisait la révolution et menaçait leur suprématie, ils s’y opposeraient. Or ils en sont les promoteurs et font tous leurs efforts pour la rendre problématique. Les plus astucieux vont même jusqu’à proposer le droit de vote pour les étrangers !

C’est donc en tant que phénomène contre-révolutionnaire que le Civisme condamne l’immigration massive et prône l’arrêt de toute immigration après quarante ans de n’importe quoi, rejoignant en cela la position des patriotes  mais apportant un argument de poids capable d’en imposer aux dupes de la gaucherie.

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13:42 Écrit par Philippe Landeux dans 6. MON BLOG | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook | |  Imprimer |

DE LA CECITE A LA COMPLICITE

Conférence : Largent, le tyran à abattre (extrait)

Ce qui ne tue pas le système le rend plus fort. Or le système est tout entier dans Largent, dans la croyance que la notion de valeur marchande est nécessaire pour échanger. C’est cette croyance qu’il faut anéantir grâce à un moyen d’échange autre que la monnaie, reposant sur les principes de l’ordre social et imposant de fait une autre conception de l’échange. Toute autre mesure en vue de changer les choses est illusoire et vaine. Largent induit un ordre des choses inégalitaire, et l’inégalité est le terreau de la tyrannie. Tout désordre social, toute forme de tyrannie est le fruit de Largent. Les hommes qui concourent aux désordres et agissent en tyrans ne sont que les symptômes de l’inégalité, ils ne sont que les instruments, les valets, les esclaves de Largent. Du reste, ceux qui pâtissent de cet ordre des choses ne sont pas plus innocents que ceux qui en profitent. Les bougres au bas de l’échelle sociale sont eux aussi des adeptes de Largent et cautionnent le système qui engendre les monstres qui les oppriment. Ils déplorent des effets dont ils chérissent la cause. Quiconque ne se dresse pas intelligemment contre Largent est objectivement complice de tous ses forfaits. Quiconque désire malgré tout s’opposer au désordre des choses en est réduit à courir après des leurres.

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13:35 Écrit par Philippe Landeux dans 6. MON BLOG | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook | |  Imprimer |

mardi, 27 décembre 2011

PENSEE DU JOUR : droiture

Il faut tenir ou sa langue ou sa parole.

lundi, 26 décembre 2011

EUROPE : 10 ANS DE RECESSION (dessin)

2011 12 24 - Le pipeau européen-2.JPG

22:20 Écrit par Philippe Landeux dans 6. MON BLOG | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook | |  Imprimer |

PENSEE DU JOUR : Révolution

On ne fait pas la Révolution ; on EST la Révolution.

DIALOGUE DE SOURDS AVEC UN EDITEUR

Vendredi dernier, 23 décembre, je suis passé voir un éditeur (dont je tairai le nom) pour récupérer les exemplaires de mes livres, vu que sa réponse avait été négative. Comme je  m’en doutais, il ne les avait pas lus. Le Réquisitoire contre Largent lui est tombé des mains au bout de 10 minutes, m'a-t-il dit. Je lui ai donc conseillé de les garder et de lire avec un peu plus d’attention. Mais j'étais pressé et n’ai pas pu m’étendre. En repensant à notre petite discussion, je lui ai écrit et envoyé le message qui suit et qui a donné lieu à un échange.

Je publie cet échange pour que vous  puissiez, chers lecteurs, me faire part de vos impressions, car, pour ma part, j'ai parfois eu l'impression de rêver. Tout commentaire est le bienvenu.

24 décembre 2011

Salut ...

J’ai repensé à ce que nous disions. Il faut que tu aies conscience d’une chose : des idées innovantes sont par définition surprenantes donc dérangeantes. J’ai bien vu que tu préjuges des réponses que j’apporte aux questions que tu te poses comme tout le monde sur Largent et le Civisme. Cette réaction empêche d’avancer puisqu’elle condamne à ressasser des idées éculées. C’est le syndrome communiste.Réquisitoire - Page de garde.jpg

Vas voir à la fin du Réquisitoire toutes les questions que posent les jurés, les tiennes sont dedans à coup sûr. Sinon, pour avoir un aperçu rapide des concepts de base du Civisme, lis, à la fin du Civisme, le Manifeste des Patriciens. Tu verras que cette théorie est très éloignée de l’idée simpliste et fausse que tu t’en fais actuellement. Tu comprendras pourquoi Jacques Philarchéïn disait qu’elle allie, avec une logique implacable, des choses qui ont toujours semblé inconciliables.

Enfin, c’est vraiment une théorie révolutionnaire, la plus révolutionnaire jamais conçue. Alors que notre époque est en panne d’idées, elle les révolutionne toutes. Je comprends très bien qu’elle surprenne de prime abord et même qu'elle choque tant elle heurte les préjugés. Mais force est quand même d’admettre qu’elle est originale, qu’elle traite d’un sujet central et tabou, qu’elle est audacieuse et suscitera le débat pour peu qu’il lui soit fait la promotion qu’elle mérite. C’est ton droit, en tant qu’individu, de ne pas y adhérer, mais c’est ton devoir, en tant qu’éditeur adepte de la liberté d’expression, de la présenter à l’opinion. Tu annonces que « Les manuscrits que nous publierons seront sélectionnés pour la qualité des preuves et de l’analyse qu’ils apportent, et pour la censure du Système qu’ils ont ou qu’ils peuvent subir ». Qu’y a-t-il de plus subversif qu’un Réquisitoire contre Largent à l’heure où Largent est roi ? Tu n’es pas le maître du monde et, pourtant, ton premier mouvement, sans même l’avoir lu, a été de le rejeter. Ton attitude démontre que ces ouvrages sérieux, révolutionnaires et patriotiques, sont exposés à la censure du Système.

Bref, tu as la chance de les avoir entre les mains et de pouvoir les publier. Si tu la laisses passer, sois-en sûr, tu le regretteras. Je te le dis, tu en fais ce que tu veux. Comme tu le sais, un homme averti….

Cordialement,

Philippe

Réponse

Salut Philippe,

Il y a 2 possibilités : tu es un génie ou un mythomane.

Même si tu étais un génie, comme Marx, ton nouveau système ne manquerait pas de créer une révolution sanglante, qui mènerait inéluctablement à la dictature, que tu le veuilles ou non. Marx n'était pas un dictateur, mais son capital a mené à cela. Y as-tu seulement songé ?

Avant d'inventer de toute pièce, tout seul dans son coin, un système révolutionnaire pour lequel la société devrait tout abandonner pour tout reconstruire (politique de la table rase chère aux communistes), mieux vaut selon moi faire évoluer la société vers des modèles déjà existants comme la démocratie directe, qui ont déjà fait leur preuve ailleurs, et qui marchent. Ensuite, peut-être, pourrons-nous évoluer vers un autre système.

Par ailleurs, je te le dis en toute amitié, mais tu peux te garder tes leçons de morale à deux balles sur ma responsabilité d'éditeur qui défend la liberté d'expression.

Avant de dire une énormité pareille, tu devrais essayer de prendre un minimum conscience de ce que j'ai déjà fait pour une quizaine d'auteurs, inconnus pour la plupart, et les sacrifices que j'ai dû faire pour monter cette maison d'édition puis un site. J'ai commencé par vendre ma maison et ma voiture. Ensuite j'ai dû divorcer, mon ex-femme ne supportant plus ce combat de tous les instants, contre l'oligarchie, les médias, la pensée unique, les copinages, les mafias en tous genres.

Comme tous les rêveurs, tu te fais une idée de la réalité qui est simple, voire simpliste : tu es un génie, dont la théorie va tout révolutionner, et les gens qui ne prennent pas la peine de te lire ou d'être d'accord avec toi sont des nazes qui n'ont rien compris. Si tu es prêt à aller jusqu'au bout de ton idée, lance ta propre maison, comme je l'ai fait quand mes deux premiers livres étaient refusés respectivement par une trentaine d'éditeurs chacun. On verra si tu es un génie. Moi, ça fait 6 ans que mes collègues éditeurs me donnent des leçons, et font faillite les uns après les autres, alors que je suis toujours là. Et en plus je grandis.

Mais j'ai aussi appris à ne plus éditer des livres farfelus, ou qui se vendraient à quelques centaines d'exemplaires, ce qui serait le cas de tes livres selon moi.

Les gens n'ont pas le temps de rêver à des chimères, ils veulent du concret, ils veulent des solutions réalistes et réalisables, et ta théorie de supprimer l'argent n'est ni réaliste ni réalisable. Je reçois des dizaines de manuscrits par an comme le tien, qui défendent une théorie géniale, qui remettrait tout en question, tu n'es pas le seul à avoir inventé tout seul dans ton coin une utopie, c'est très commun de nos jours. Mais peux-tu me citer un seul dont l'utopie s'est réalisée ?

Déjà, tu as un problème de communication : en lisant tes 4è de couverture, on ne comprend pas où tu veux en venir.

Si je peux te donner un conseil c'est bien celui-là : plus une théorie est révolutionnaire, plus elle doit être expliquée simplement et de façon courte.

Je n'ai toujours pas compris ce qu'était ta théorie, donc pose-toi la question, soit je suis un idiot, soit tu communiques mal.

Maintenant, tu m'excuses mais en plus de mon site, de ma maison d'édition et des livres que je suis en train d'écrire, je dois préparer le renversement légal de l'oligarchie, ça prend du temps et des lectures nombreuses et concrètes.

Salut ...

Le système présent nous préservera-t-il de sombrer dans la violence ? Manifestement non. Alors, la question que tu poses, me suis-je déjà demandé si la Cité pouvait sombrer dans la dictature… évidemment. Pour ma part, je pense que non, ce serait trop long à expliquer ici. 

Et tu te trompes : le Civisme ne fait pas table rase… il prolonge les évolutions en cours. Le problème, c’est que tu critiques une théorie que tu n’as pas lue et, pour te répondre, il faudrait que je te l’expose alors que tu l’as déjà dans les mains. Cela dit, je comprends très bien tes craintes. Largent est la plus grande puissance de la terre et les hommes Couverture civisme - couv - recto.jpgsont prêts à tout pour ne pas l’affronter. Dans ces conditions, ils en sont réduits à tourner autour du pot et à recourir à des solutions connues qui ne marchent pas. Tu me parles de démocratie directe. C’est une illusion dans un contexte monétaire. Je suis bien sûr moi aussi pour une forme de démocratie directe (articles 112 à 120 du Manifeste, p. 119 du Civisme). Mais une démocratie directe dans un contexte inégalitaire par nature ne peut pas apporter l’Egalité : les riches restent riches, les pauvres restent pauvres, les droits sont toujours incarnés par la monnaie et non attachés à la citoyenneté. Je ne dis pas que ce ne serait pas mieux que rien, mais ça ne mènerait pas loin.

Ce que je dis n’est pas simpliste mais simple et désarmant comme une évidence. Nul ne peut nier que notre monde tourne autour de Largent. Par contre, quand il s’agit d’en tirer la conclusion qu’il faut s’attaquer à Largent, il n’y a plus personne. Une des raisons, c’est que très peu de gens savent ce qu’il est et disent, comme toi, que ce n’est qu’un moyen… Largent est une croyance (en la nécessité de la notion de valeur marchande pour échanger) et la monnaie, qui en découle, fonctionne selon des lois (celle des vases communicants et celle de l’attraction). Largent et la monnaie ont des conséquences par nature, indépendamment des hommes. Même en admettant que ce ne soient que des moyens, est-il déplacé de se demander si ces moyens sont propres à leur fonction ? A cela je réponds que Largent et la monnaie qui sont le cœur de la « société » n’ont aucune dimension sociale. L’appartenance des acteurs économiques à une société donnée n’entre jamais en ligne de compte. Le système monétaire focalise sur la valeur des choses, et non sur les droits des citoyens. La plus grande utopie est de croire que l’on peut changer les choses dans un système monétaire sans renverser Lagent.

Tu me dis qu’il faut du concret. C’est la théorie du Civisme. Cette théorie est globale donc complexe. A sa base, il y a l’idée que les citoyens (notion redéfinie) doivent pouvoir accéder au marché parce qu’ils sont citoyens et disposer, pour ce faire, d’une carte « civique » fonctionnant, d’un point de vue technique, comme nos cartes de crédits. Ces cartes ne servent pas de manipuler des unités, mais seulement à attester la citoyenneté. Cette idée est la clé, ce n’est pas toute la théorie. Je te dis cela pour te montrer qu’il y a un moyen d’échange dans ce que j’appelle la Cité et que ce moyen est l’évolution de la carte de crédits. Car quelle sera l’évolution d’un moyen d’échange devenu virtuel et manipulé grâce à des cartes ? Le Civisme, loin de faire table rase, repose au contraire sur la technologie moderne. 

Quant à ma façon de communiquer, tu as peut-être raison et c’est bien pour cela que, bien que mes livres soient disponibles, j’espère toujours trouver un éditeur. Cela dit, je crois qu’une des difficultés de communiquer tient à mon sujet. Ce que je dis est simple et compréhensible mais heurte tous les préjugés. A mon sens, le problème vient surtout des gens qui se ferment dès que l’on aborde le sujet de Largent… comme tu l’as fait.

Bref, je m’adresse à toi parce que je sais que tu publies des ouvrages qui se veulent audacieux. Je ne peux rien exiger. Je demande simplement qu’en tant qu’éditeur tu ne rejettes pas mes bouquins sans les avoir lus, que tu ne condamnes pas a priori des idées qui sont très loin de ce que tu imagines. Tous les gens qui m’ont vraiment lu ont été sidérés. Je n’insisterais pas si je ne te connaissais pas.

Cordialement,

Joyeux Noël,

Philippe Landeux

Réponse

Je n'ai pas grand chose à reprocher à l'argent, qui fait vivre aujourd'hui 7 milliards de personnes, et de mieux en mieux grâce au capitalisme (quand il est laissé un peu tranquille par l'Etat). Ton système en serait-il capable ? La seule manière de le savoir serait de le mettre en place, et cela signifierait de supprimer le capitalisme. Les communistes ne demandent pas autre chose, c'est pour cela que Philarchaïn te soutient, il a bien raison de son point de vue, quant à moi je pense que le communisme est le pire qui soit arrivé à l'homme, et je ne voudrais pas être un des vecteurs de son retour, sous une autre forme, après qu'il ait muté. Il y a déjà assez de problèmes pour en rajouter, le premier problème n'étant pas l'argent ni le capitalisme mais l'oligarchie.

Mets en place ta théorie dans un coin reculé de l'Ardèche, comme le font certains SELS, prouve que ton système est le meilleur, après on en discutera en jugeant l'arbre à ses fruits. Je me méfierai toujours d'une théorie quelle qu'elle soit qui ne soit pas basé sur des expériences concrètes.

25 décembre 2011

Salut ...

Merci de m’avoir répondu. Je ne m’y attendais pas en cette veille et aujourd’hui jour de Noël.

Cela dit, une fois de plus tu dis des choses sans rapport avec le Civisme. Le Civisme n’est pas du tout du communisme. Tu critiques l’idée que tu te fais du Civisme alors qu’il est révolutionnaire précisément parce qu’il développe des idées très éloignées des a priori. Tant que tu ne l’auras pas lu, nous parlerons dans le vide. Jette au moins un œil au Manifeste des Patriciens, à la fin du Civisme. Tu verras que les Principes sur lesquels il s’appuie sont évidemment sociaux mais en rien communistes. Voici quatre articles :

ART. 87 — L’EGALITE condamne le capitalisme ; la LIBERTE réclame le libéralisme. Du libéralisme sans capitalisme, là est la Révolution.

ART. 93 — Il n’y a pas de contrôle plus démocratique sur les entreprises que la loi du marché, lorsque les Citoyens sont libres et égaux, puisque les Travailleurs, en tant que consommateurs, s’imposent indirectement de Travailler pour satisfaire leurs appétits.

ART. 119 — Toute Constitution qui, au-dessus des organes législatifs et exécutifs, même composés d'élus, ne prévoit pas une institution populaire souveraine et de fréquents référendums est une mascarade démocratique.

ART. 127 — Dans l'inégalité, sous Largent, chaque individu est en lutte contre tous les autres. Les classes sont une illusion d'optique. La lutte des classes est une voie sans issue.

Je ne sais pas comment t’expliquer que tu te trompes du tout au tout sur le Civisme et je m’étonne que tu juges sans consulter les pièces. Qu’as-tu donc à perdre ? Lis ou fais-la lire. Si ma théorie est débile, tu auras juste perdu un peu de temps. Si tu te rends compte qu’elle est sérieuse et révolutionnaire, comme je le soutiens, ce sera le jackpot.

Maintenant, pour répondre à tes « arguments », il est pour le moins paradoxal de déclarer que l’argent fait vivre 7 milliards de personnes alors que la moitié crève de faim et que le monde est au bord d’un cataclysme financier.

Ensuite tu confonds capitalisme et libéralisme. Les communistes sont des capitalistes anti-libéraux, tandis que ce que nous appelons libéralisme est du capitalo-libéralisme. Moi, je suis contre le capitalisme, intrinsèquement lié au système monétaire, mais pour le vrai libéralisme, pour une liberté économique telle que tu ne peux même pas l’imaginer.

L’oligarchie était appelée « aristocratie de l’argent » à l’époque de la Révolution. Comment ne vois-tu pas le lien entre les deux ? Il y a nécessairement une aristocratie de l’argent sous Largent, et ces aristocrates sont toujours les riches. Or il y aura toujours des riches dans un système monétaire. Cela est évident et est lié, comme je te le disais précédemment, à la nature et au fonctionnement de la monnaie. Même si les hommes peuvent aggraver l’inégalité, il reste que le système est par nature inégalitaire. Dans l’inégalité, il y a toujours ceux qui profitent et ceux qui pâtissent. Prétendre s’opposer à l’oligarchie sans s’attaquer à ce qui permet l’existence d’une oligarchie, c’est comme pisser dans un violon. C’est ce qu’on fait depuis toujours tous les réformistes, les « révolutionnaires » et les communistes. Contrairement à ce que tu crois, celui de nous deux qui a le plus de points communs avec les communistes, c’est toi !

Enfin, sur l’idée de tester le Civisme à petite échelle, c’est encore un non-sens. Certes les Principes de l’ordre social sont les mêmes quelle que soit la taille de la communauté. Mais, au-delà d’une certaine évolution (population et technique) la monnaie, tout anti-sociale qu’elle soit, devient nécessaire. Or ce n’est qu’arrivé à un degré technologique élevé que la monnaie perd sa raison d’être et qu’il devient possible de fonctionner à nouveau sans elle. Ce degré technologique (production industrielle, électricité, informatique) ne peut pas être atteint par une petite communauté. On ne peut donc pas tester le Civisme au fond de l’Ardèche. C’est un peu comme si tu exigeais qu’avant de construire une fusée spatiale un village en construise une par ses propres moyens. Ce qui est possible dans certaines conditions ne l’est pas toujours dans d’autres. C’est le cas ici. Le futur de la société ne peut être expérimenté dans un contexte passéiste, car, alors, le passé aurait déjà accouché du futur.

Tout cela est d’ailleurs expliqué dans le Réquisitoire que je t’invite encore une fois à lire au lieu d’imaginer ce qu’il contient. Ce n’est pas pour rien qu’il y a cette épitaphe en couverture : « Rassurez-vous, tout ce que vous croyez… est faux ».

Joyeux Noël,

Philippe

Réponse

Ecoute, comme la plupart des Français tu ne comprends rien au capitalisme, et tu ne veux pas voir qu'il a sorti de la misère des milliards de personnes, à commencer par mon propre père, qui a failli mourir de pauvreté et qui est aujourd'hui chef d'entreprise, libre et aisé. Sur quoi te bases-tu pour dire que le capitalisme appauvrit les gens ? C'est du délire pur. En Chine, en Inde, au Brésil, combien de centaines de millions de personnes sortent de la pauvreté grâce au capitalisme ? Faut arrêter de rêver et regarder la réalité en face : c'est le trop d'Etat qui crée la pauvreté, et la crise que nous connaissons ne vient quasiment que de là. Mais je sais que je parle à quelqu'un qui ne veut rien entendre car il est sûr de détenir la seule vérité qui vaille, la sienne. Typique de tous les utopistes, qui deviennent des dictateurs une fois au pouvoir. Bein oui, tu comprends, il faut bien faire rentrer leur utopie parfaite dans la réalité imparfaite, et forcer si ça ne rentre pas. Je n'ose même pas te conseiller de regarder la vidéo qui suit, qui est factuelle, et qui prouve que l'argent, quand il est bien utilisé, à savoir capitalisé, sort concrètement les gens de la pauvreté.

Encore une fois, tu confonds capitalisme et libéralisme, monnaie et liberté. Dans mon dernier message, j’ai écrit : « Les communistes sont des capitalistes anti-libéraux, tandis que ce que nous appelons libéralisme est du capitalo-libéralisme. » En clair, un système monétaire a le choix entre le capitalo-libéralisme, règne absolu de Largent, et le capitalisme d’Etat, une dictature politique, c’est-à-dire un système contre-nature (contraire à la nature du système monétaire) qui essaye de forcer les lois de Largent pour contrer ses effets. La différence entre l’un et l’autre état, c’est le niveau de liberté. Donc, quand tu dis « c'est le trop d'Etat qui crée la pauvreté » je suis entièrement d’accord, c’est exactement ce que je dis. Ce qui favorise la prospérité, c’est la liberté. Mais tu ne veux pas entendre que le capitalo-libéralisme n’est pas le summum de la liberté, qu’il n’y a pas de véritable libéralisme sous Largent qui fausse le jeu (moins que le communisme, certes). Tes idées ou plutôt tes arguments en matière économiques sont des poncifs capitalistes. Ton discours est celui de monsieur tout le monde. Partant, tes idées politiques sont naïves. Tu crois qu’en parlant de démocratie directe tu as inventé l’eau chaude ? Je ne dis pas qu’il ne faut pas aller vers plus de démocratie, cela fait partie du Civisme, mais la condition d’un changement radical est ailleurs.

Tu m’obliges à t’écrire un livre. Que ne lis-tu ceux que tu as entre les mains pour nous faire gagner du temps à tous deux ? Tu m’as demandé si j’étais un génie. Ce n’est pas à moi de répondre à cette question. Mais comment pourrais-tu avoir la réponse à ta question, toi qui n’en est pas un, sans me lire ?

Réponse

"Les communistes sont des capitalistes anti-libéraux" : quand on part de là, on est sûr d'avoir tout faux ensuite...

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10:24 Écrit par Philippe Landeux dans 6. MON BLOG | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook | |  Imprimer |

dimanche, 25 décembre 2011

LE CADEAU DU JOUR

Les clés d'aujourd'hui et de demain (redif)

Lisez bien les phrases suivantes, pénétrez-vous de leur sens, méditez leurs conséquences, notez-les quelque part et gardez-les toujours sous les yeux ou du moins à l’esprit. Aussi anodines qu'elles paraissent, elles n’ont jamais été formulées et il n'en existe pas de plus révolutionnaires.

Les clés du présent, de l'inégalité et de l’aliénation :

  • Largent, c'est la croyance que la notion de valeur marchande est nécessaire pour échanger.
  • La notion de valeur marchande implique un mode d'échange dans lequel les individus produisent pour eux-mêmes et échangent entre eux leurs productions lesquelles sont mises en équivalence.
  • La valeur marchande est un rapport de force.
  • Un prix n'est qu'une somme de marges bénéficiaires.
  • Le système monétaire repose sur trois éléments, confondus dans ce système mais distincts par nature : la monnaie, le moyen d'échange et Largent.

Les clés du futur, de l'Egalité et de la Liberté :

  • Un Citoyen a le Devoir de participer à la vie de la Cité selon ce qu'elle considère comme une participation et a, en retour, comme tous ses Concitoyens, le Droit de profiter des bienfaits de la Cité, notamment en accédant au marché, le droit d'accéder au marché étant conféré par la Citoyenneté elle-même.
  • Un Citoyen a des Droits, dont celui d'accéder au marché, parce qu'il est Citoyen.

Si ces phrases, ne serait-ce qu'une seule d'entre elles, provoquent en vous un déclic, vous êtes libres désormais, vous avez l'avenir de l’Humanité entre les mains. JOYEUX NOEL !

Sinon, désolé, vous êtes esclave de Largent et demeurerez bon gré malgré un rouage du capitalisme.

samedi, 24 décembre 2011

PENSEE DU JOUR: vivre

Pour vivre, il suffit de lutter pour une juste cause jusqu'à la mort. 

LARGENT EST UN TYRAN

Conférence : Largent, le tyran à abattre (extrait)

Largent est une croyance. Il est dans la tête des hommes. Les hommes ne peuvent pas en faire abstraction. Ils ne peuvent qu’accepter ses conséquences et se soumettre à lui. Or il commande leur conception de l’échange, la façon dont ils sont reliés entre eux ; il est au cœur des rapports sociaux et donc au centre de la Société. L’en déloger, pour mettre l’Homme à sa place, est une vue de l’esprit, d’autant plus que les hommes ne savent pas ce qu’il est. Ils ne savent d’ailleurs même pas ce qu’est la monnaie qui focalise leur attention. En effet, leur désir de recentrer la « société » sur l’Homme est une réaction aux contraintes financières qui font accorder la priorité aux considérations financières, autrement dit à la monnaie qu’ils réduisent à des unités neutres ou du moins susceptibles d’être domptées. Cette idée est la preuve qu’ils ignorent ce qu’est la monnaie, sa nature et en particulier ses principes de fonctionnement qu’il est impossible de contrarier et qui, à eux seuls, rendent vain de prétendre faire passer les considérations humaines avant les considérations financières dans un système monétaire. Mais cette idée souvent exprimée est aussi la preuve que les hommes suivent, par nature, une autre logique que celle de Largent.

Les hommes sont des êtres sociables. Ils aspirent à vivre en Société, dans la paix, la justice et l’harmonie. Ils sentent d’instinct que l’Egalité en est la condition, ils l’invoquent depuis longtemps, ils lui courent après, ils essayent en vain de l’instaurer. De manière générale, l’Humanité tend vers l’Egalité. Je ne veux pas dire par-là que l’Egalité doit être universelle mais qu’elle doit régner parmi les hommes constitués en Société. Comme tous appartiennent à un groupe à caractère social, l’Egalité n’est étrangère à aucun. Elle est la boussole de tout citoyen et de tout individu censé l’être. Malheureusement, Largent n’a, lui, aucune dimension sociale.

Ainsi, deux logiques, deux forces opposées se partagent l’Empire et les esprits : celle de Largent, individualiste et inégalitaire, et celle de l’Egalité, de la Société, de l’Humanité, bref des êtres sociables que sont les hommes. La première est négative et destructrice ; la deuxième est positive et constructive. Les hommes sont donc condamnés à accomplir leur destinée avec des instruments inadéquats et des préjugés dramatiques. En Occident, ils ont malgré tout réussi à faire, sur le plan social, tout ce qui était en leur pouvoir, tout ce qui ne dépendait pas expressément de Largent. Aujourd’hui, tout nouveau progrès doit se faire aux dépens d’une conséquence naturelle de Largent. Il ne leur est donc possible d’avancer qu’en s’attaquant à Largent lui-même. Toute hésitation permet à ce dernier de reprendre du terrain, ce qui se traduit, du point de vue des hommes, par une régression sociale. Cette reculade permet éventuellement de refaire un pas en avant et de masquer une lâcheté par une illusion. Les choses en resteront là tant que les hommes n’auront pas conscience de l’obstacle qui désormais se dresse nu devant eux. Cet obstacle n’est pas insurmontable par nature, mais il l’est dans le système monétaire. Dans ce système, c’est lui le roi.

Largent ne peut exister sans régner. Il règne à la lumière ou dans l’ombre quel que soit le régime politique et le système économique. Il ne laisse aux hommes d’autre alternative que le capitalo-libéralisme ou le capitalisme d’Etat, c’est-à-dire une soumission totale ou une insubordination de façade sinon passagère. Dans tous les cas, les hommes trinquent. Quand Largent règne sans entrave, l’aristocratie des riches, la pire, est toute puissante ; quand un pouvoir politique fort le gène aux entournures, la masse subit à la fois la dictature et la misère qui résulte des dérèglements économiques. Autrement dit, que les lois de Largent soient respectées ou faussées, les hommes, dans leur ensemble, sont toujours perdants. Le drame est qu’ils ignorent aussi toujours la cause de leur malheur qu’ils imputent, par facilité, à leurs semblables et au régime. Quand ils sont sous une botte, ils veulent de la liberté ; quand ils ont la « liberté » et s’aperçoivent qu’elle ne profite qu’aux riches, ils veulent de l’Egalité et de l’Etat dont ils déchanteront tout autant. Ils sont ainsi pris dans un jeu de bascule : dictature ou démocrature.

La démocrature, c’est la dictature sous l’apparence d’une démocratie. Les riches ont bien compris qu’ils n’ont pas besoin de la force physique pour dominer. Celle-ci leur attire l’attention, suscite la haine contre eux et provoque des réactions violentes légitimes parfois incontrôlables. La Liberté est bien plus désarmante. Elle a meilleure presse, elle en impose aux naïfs, elle favorise la prospérité générale et assure leur domination. Sous le règne absolu de Largent, les riches sont en effet assurés d’avoir tous les pouvoirs car il (la monnaie) leur permet d’acheter et de posséder aussi bien les choses que les hommes. Ils ont par nature le pouvoir économique quels que soient les hommes aux manettes du pouvoir politique et ont en outre la possibilité soit de se faire élire, soit de faire élire qui ils veulent, soit de corrompre les élus, soit d’éliminer physiquement ou moralement leurs opposants.

Les riches ont, par définition, plus de droits, qu’ils emploient pour conserver leur suprématie en faisant simplement respecter à la lettre les lois de Largent — dont ils sont les seuls à profiter pleinement, mais dont tout le monde espère profiter un jour. Dans ces conditions, la démocratie, le gouvernement du peuple, pour le peuple, par le peuple, est une foutaise. La démocratie est une vue de l’esprit dans l’inégalité qui est le terreau de la tyrannie. L’idée selon laquelle la démocratie apportera l’Egalité grâce à l’adoption de lois « plus justes » est un non-sens puisqu’elle prouve par elle-même que l’inégalité est et que la démocratie n’est pas. L’Egalité apportera fatalement la démocratie, mais l’inverse est un sophisme. La « Liberté » a toujours accouché de la démocratie représentative qui est une négation de la démocratie, faite par les riches, pour les riches. Et derrière les riches : Largent.

Largent est au-dessus des peuples, des lois humaines, des gouvernements, des riches, des banques. Ses lois s’imposent à tous car tous le vénèrent, tous l’épargnent, tous l’ignorent, tous le servent. Il règne parce qu’il est incontesté. Il tyrannise l’Humanité parce que les hommes ne l’ont pas encore reconnu comme le tyran à abattre. Aucun régime ne peut échapper à son emprise à moins de lui passer sur le corps. Aucune révolution ne peut aboutir à moins de frapper l’ancien régime à la tête.

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09:57 Écrit par Philippe Landeux dans 6. MON BLOG | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook | |  Imprimer |

vendredi, 23 décembre 2011

PENSEE DU JOUR : Liberté, Vérité et tyrannie

Le règne de la Liberté est l'empire de la Vérité ; le règne de la « Vérité » est l'empire de la tyrannie.

12:00 Écrit par Philippe Landeux dans 6. MON BLOG, 7.1. PENSEES DU JOUR | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : liberté, vérité, tyrannie |  Facebook | |  Imprimer |

jeudi, 22 décembre 2011

PENSEE DU JOUR : du vice à la vertu

A moins de croire que les hommes peuvent devenir spontanément vertueux, il faudra les mener à la vertu par leurs vices.

mercredi, 21 décembre 2011

PENSEE DU JOUR : le jour d’après

En période de chaos, quand il n’y a plus de loi que celle de la force, deux paramètres font la différence : les armes et la chance.

Les armes permettent de tout se procurer, sauf accident ; elles se prévoient. La chance permet d’échapper à tout comme par miracle ; elle ne se commande pas.

MANIFESTE DES PATRICIENS : révolution et révolutionnaires

 Extrait du Manifeste des Patriciens

ART. 125 — Une Révolution est une tentative de proscrire l'inégalité. L'EGALITE est le but fondamental de la Révolution.

ART. 126 — Concevoir la Révolution comme une entreprise permanente, c'est vouloir lutter sans fin contre l'inégalité ; c’est donc ignorer le moyen d'instaurer l'Egalité, donc perpétuer l'oppression sous de nouvelles couleurs.

ART. 127 — Dans l'inégalité, sous Largent, chaque individu est en lutte contre tous les autres. Les classes sont une illusion d'optique. La lutte des classes est une voie sans issue.

ART. 128 — Une révolution qui ne compte que sur des hommes pour défendre ses conquêtes contre d'autres hommes, au lieu d’être soutenue par la simple force des choses, sombre nécessairement dans la guerre civile et éventuellement la dictature politique. Ce n’est pas une Révolution.

ART. 130 — La force de la Révolution est dans les choses. Il n'y a de révolutions irrévocables que les évolutions révolutionnaires.

ART. 131 — Tous les Peuples évoluent à un rythme différent. Les conditions de la Révolution ne peuvent être réunies partout en même temps. La Révolution ne pouvant être mondiale sera donc locale, nationale. Ceux qui, pour une raison ou une autre, prônent l’idée absurde d’une Révolution mondiale ou universelle sont, consciemment ou non, des contre-révolutionnaires.

ART. 132 — Une Révolution se produit lorsque l'évolution des choses et celle des idées se rencontrent. La Révolution est impossible tant que les choses et les hommes ne sont pas mûrs ; elle est inévitable lorsqu’ils le sont.

ART. 133 — Les choses étant ce qu'elles sont, les révolutionnaires ne peuvent faire évoluer que les idées en mettant au service de la Révolution tous les moyens que leur époque fournit. Il est difficile de combattre une idée, et impossible d'arrêter une idée simple et juste.

ART. 134 — Invisibles et Insaisissables comme le vent, puissants et éphémères comme la tempête : tels doivent être les révolutionnaires.

ART. 135 — La Révolution est un coup de foudre. Elle consiste en une décision historiquement nécessaire qui, aussitôt appliquée, change tout à jamais et met fin à la Révolution elle-même. Rien ne sert de tout révolutionner en même temps, il faut révolutionner l'essentiel et laisser le temps révolutionner le reste.

ART. 136 — Un gouvernement révolutionnaire est indispensable pour ôter le pouvoir aux contre-révolutionnaires et prendre les décisions révolutionnaires.

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12:56 Écrit par Philippe Landeux dans 6. MON BLOG | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook | |  Imprimer |

mardi, 20 décembre 2011

PENSEE DU JOUR : humanitaire

L’humanitaire est l’instrument des contre-révolutionnaires. La charité entretient la pauvreté.

lundi, 19 décembre 2011

UNE VRAIE DEMOCRATIE

ATTENTION : L'organisation politique ci-après n'a de sens que dans une Cité, c'est-à-dire dans un système non-monétaire dans lequel les Citoyens sont réellement égaux en Devoirs et en Droits, dans lequel ils  jouissent tous d'un droit indéfini d'accéder au marché et, enfin, dans lequel Citoyenneté et Nationalité sont deux notions distinctes et bien définies, chacune impliquant des devoirs et conférant des droits. Il est impossible d'instaurer une véritable démocratie dans l'inégalité, au milieu d'hommes corrompus et corruptibles, quand les intérêts particuliers s'opposent à l'intérêt général. Il est même dangereux de l'établir alors que la "nationalité" ne veut rien dire et que, de ce fait, les droits politiques ne sont pas le monopole des patriotes, c'est-à-dire des Citoyens fidèles à la Nation, ardents à préserver son identité et sa souveraineté.

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Fonctions citoyennnes (Commissions).jpg

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12:10 Écrit par Philippe Landeux dans 6. MON BLOG | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : vraie, démocratie, schémas, civisme, cité |  Facebook | |  Imprimer |

PENSEE DU JOUR : argent et gaspillage

Les richesses naturelles n’appartiennent pas à la richesse financière. Rien ne justifie que les riches accaparent et dilapident le patrimoine de la nation, des générations futures et de l’Humanité. L’argent est une fiction qui autorise les abus mais ne les légitime pas.