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mercredi, 30 novembre 2011

PENSEE DU JOUR : patriotisme

Le patriotisme préserve de tous les extrémismes et démasque tous les démagogues.

mardi, 29 novembre 2011

PENSEE DU JOUR : droit de vote des étrangers (2)

Le droit de vote des étrangers est une insulte au bon sens et le renversement de tous les Principes. Cette mesure en apparence pro-immigrés - comme tant d'autres du même acabit - dénote un manque total de respect envers eux. En les dispensant de tout effort d’intégration, en leur donnant tout en échange de rien, en les encourageant à demeurer ce qu'ils sont, elle fera d’eux d’éternels étrangers. Pire ! En validant des revendications et des attitudes scandaleuses, elle les transforme en ennemis.

Ceux qui soutiennent cette disposition viendront ensuite accuser les Français de racisme, de xénophobie, de stigmatisation à l’encontre des immigrés qu’ils auront eux-mêmes discrédités. Ce sont les mêmes qui ont rejeté la politique d'assimilation et conspué le concept d'identité nationale, qui déclarent qu'être français ne veut rien dire et accordent la nationalité française au premier venu, et qui insultent les Français qui, en toute logique, ne voient dans les immigrés nés en France ou naturalisés que des Français de papier.

Immigrationnistes et antiracistes sont des pervers ou des crétins. Ils se présentent comme les amis des immigrés alors qu'ils les poussent dans tous les pièges et sont de fait, consciemment ou non, leurs pires ennemis.

Voir aussi : http://philippelandeux.hautetfort.com/archive/2011/10/08/...

EGALITE & EGALITARISME (extrait)

Extrait : EGALITE & EGALITARISME

Les détracteurs de l’Egalité critiquent en fait l’égalitarisme. Les partisans de l’égalitarisme se prennent pour les champions de l’Egalité. Ni les uns ni les autres ne savent ce qu’est réellement l’Egalité. [...]

Disons donc, sans entrer plus avant dans les explications, que, dans un système monétaire, les citoyens ne peuvent pas être égaux en droits, d’une part, parce qu’ils ne sont que des individus aux yeux du système, la dimension sociale des protagonistes des échanges et de l’échange lui-même n’étant jamais prise en compte, d’autre part, parce que le droit que des citoyens ont de profiter des bienfaits de leur cité passe par la monnaie qui ne peut se repartir également entre eux. Il y aura toujours des riches et des pauvres dans un système monétaire quelle que soit sa forme. L’inégalité en droits n’est pas une conséquence des différences naturelles qui existent entre les hommes (même si ces différences peuvent aggraver l’inégalité) mais une conséquence logique de la monnaie qui contrarie les principes de l’ordre social et la volonté des hommes. Même lorsque ces derniers inscrivent l’Egalité dans les textes, ils sont incapables de l’introduire dans les faits, sans comprendre pourquoi ou en croyant qu’ils y sont parvenus. L’incompréhension conduit à l’égalitarisme ; la crédulité, ou plutôt l’hypocrisie, se satisfait de sophismes. [...]

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19:17 Écrit par Philippe Landeux dans 6. MON BLOG | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : égalité, égalitarisme |  Facebook | |  Imprimer |

PENSEE DU JOUR : rectal verso

A force de prendre les gens pour des cons, on finit par l'avoir dans le cul.

lundi, 28 novembre 2011

PENSEE DU JOUR : cogito ergo sum

Qui raisonne en étranger mérite d'être traité en immigré voire en ennemi.

Qui raisonne en Français mérite d’être traité en Français ou pour le moins en ami.

dimanche, 27 novembre 2011

EUROPE : de la logique à la prédiction

Extrait : Encore et toujours contre cette Europe (texte de 2005)

Il y a quelque temps, M. Pasqua a dit dans une émission télévisée qu’il lui suffisait de lire l’article 1er du projet [constitutionnel européen] pour savoir à quoi s’en tenir quant au reste. En fait, il est inutile de lire le projet tout court. Car à qui veut-on faire croire que 25 pays dont le seul véritable lien est l’Euro, que ces 25 pays capitalistes ne formeront pas demain une Europe super-capitaliste et donc capitalo-libérale. Or le capitalo-libéralisme, qu’il soit appliqué dans un pays ou à l’échelle de l’Europe reste du capitalo-libéralisme. Et, par nature, le capitalo-libéralisme repose sur l’inégalité et implique une politique de droite. Pourquoi donc croit-on que les Français, en particulier ceux de gauche, ne se retrouvent plus dans la politique des soi-disant partis de gauche. Ces dernières années ont démontré que le vrai gouvernail n’est pas ou n’est plus entre les mains des politiques. Le pouvoir a eu beau changer de mains, les choses, elles, n’ont pas bougé. Pire, il semblerait que nous ayons atteint tout ce que le capitalo-libéralisme autorise en matière sociale, et que, depuis, nous régressions comme pour mieux nous ménager des reconquêtes artificielles et des succès illusoires.

Les partisans du OUI au projet de Constitution européenne soutiennent que ce projet est neutre, qu’il n’est ni de gauche, ni de droite. Peut-être. Mais le contexte dans lequel il sera appliqué, lui, commande à droite. Cette Europe anéantira-t-elle les inégalités ? fera-t-elle que la France d’en bas s’élèvera ? que la France d’en haut cèdera de ses privilèges ? L’Union Européenne a changé de nom. Mais rappelons-nous qu’elle s’appelait il y a peu Communauté Economique Européenne et que le lien entre ses divers pays membres est l’Euro. Ceci n’annonce-t-il pas suffisamment la raison d’être de l’Europe pour ceux qui aujourd’hui la construisent et qui demain en seront la tête ? Non, ce n’est pas l’Europe des peuples pour les peuples, l’Europe de la démocratie et de l’Egalité, l’Europe de la fraternité que nous construisons ou que l’on nous force à construire… c’est l’Europe du pactole.

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18:21 Écrit par Philippe Landeux dans 6. MON BLOG | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : europe, prédiction |  Facebook | |  Imprimer |

PENSEE DU JOUR : comment se faire des amis

Qui ne flatte pas les juifs d'ici ou d'ailleurs en toutes circonstances est un immonde antisémite.

samedi, 26 novembre 2011

CHAUD DEVANT

Extrait

[…] Les Français n’ont pas le droit de rappeler qu’ils sont chez eux en France, qu’ils en ont assez d’être envahis fut-ce pacifiquement, d’être terrorisés par des hordes sauvages. Leur propre gouvernement, à dessein ou par crainte d’une « bavure », les enchaîne autant qu’il laisse à leurs ennemis toutes les coudées franches. Des tribunaux abjects, toutes les zélites cosmopolites par idéologie et apatrides par nature, ainsi qu’une partie de leurs concitoyens (compatriotes serait trop fort) lobotomisés par la bien-pensance, tout se ligue contre eux pour les paralyser et à terme les anéantir. Le Peuple Français est seul désormais face à son destin. Il ne peut plus être sauvé que par lui-même. […]

Les Français ont donc deux solutions complémentaires : 1) mettre de côté leurs différends mineurs en regard de l’enjeu national et voter pour le candidat à l’élection présidentielle qui sera le plus patriote et aura le plus de chances d’être élu (seul un candidat du Front National remplit objectivement ces deux conditions) ; 2) constituer dès à présent des réseaux d’assistance, des groupes d’intervention et s’armer individuellement pour être prêts le moment venu. La première solution peut permettre d’éviter la guerre, mais mieux vaut que les Français s’y préparent sérieusement. […]

Extrait de : La goutte d'or qui fait déborder le vase

16:09 Écrit par Philippe Landeux dans 6. MON BLOG | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook | |  Imprimer |

PENSEE DU JOUR : cause toujours

Qui n'écoute pas le peuple finit par le faire taire... ou par se faire pendre.

vendredi, 25 novembre 2011

PENSEE DU JOUR : souverainisme

Qui n’est pas « souverainiste » n’est pas pour la souveraineté nationale et est donc contre la souveraineté du peuple. Qu’est-ce donc, sinon un ennemi du peuple et un traître à la patrie ? S’il ose se dire démocrate, c’est en plus un hypocrite ou un abruti. Le mot « souverainisme » est d’ailleurs brandi comme une insulte par les euro-mondialistes. CQFD

LA NOVLANGUE illustrée

Exemple de novlangue :

Mouton.jpeg

= Chevaux (jouant du piano)

Novlangue usuelle :

 Braquage.jpeg

= victime (à gauche)

 

Français 2.jpg

= Français

 

Equipe de France de foot 3.jpeg

= Equipe de France de football

 

Français raciste.jpeg

= Raciste

 

Sarkozy NYPD.jpeg

= Président de la République française (à gauche)

01:40 Écrit par Philippe Landeux dans 6. MON BLOG | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : novlangue |  Facebook | |  Imprimer |

jeudi, 24 novembre 2011

PENSEE DU JOUR : le monde à l'envers

Non contente d'avoir trahi les idéaux de la Gauche, la gaucherie insulte ceux qui leurs sont toujours fidèles.

LARGENT, LA MONNAIE ET LE MOYEN D’ECHANGE

Extrait de la conférence du 22 septembre 2011.


Il faut distinguer trois notions : celle de monnaie, celle de moyen d’échange et Largent. Ceux qui ne font pas cette distinction, ceux qui en omettent ne serait-ce qu’une seule ne feront jamais de révolution. Ils ne peuvent pas penser Largent, ils n’ont aucun recul par rapport au système, ils sont, pour ainsi dire, coincés dans la matrice capitaliste.

Pour faire simple, disons que :

  • Un moyen d’échange est le moyen pour les individus ou les citoyens qui en disposent de participer aux échanges, d’échanger leurs productions ou leur travail, sans échanger directement entre eux, plus exactement sans troquer ; c’est un moyen d’accéder au marché et d’acquérir les biens qu’il permet d’en retirer ou de jouir des services qu’il permet de s’offrir.

 Vous noterez que cette définition n’indique pas sa nature, sa forme, son origine, la façon de se le procurer, ses modalités d’utilisation, son mode de fonctionnement, etc. Ce n’est pas celle de la monnaie bien que ce soit elle, la monnaie, qui inaugure ce concept. Le piège est évidemment de donner du moyen d’échange la définition de la monnaie et, dès lors, de ne pouvoir en concevoir d’autre qu’elle.

  • La monnaie, elle, une unité de valeur qui permet, d’une part, d’attribuer un prix aux choses, c’est-à-dire d’en déterminer la valeur en nombre d’unités monétaires, d’autre part, d’acquérir les choses en échange de la quantité d’unités exigée par les vendeurs ou suivant le prix fixé avec eux d’un commun accord. Or tout ce qui est à vendre constitue un marché — le marché étant l’ensemble des marchés —, et disposer d’unités monétaires est en général la condition nécessaire et suffisante pour y accéder et participer aux échanges. La monnaie est donc aussi un moyen d’échange, le moyen d’échange du système monétaire. Elle fonctionne selon un certain mode d’échange parce qu’elle met en œuvre une certaine conception de l’échange. Je n’en dis pas davantage ; je vais y revenir en détail.
  • Largent, lui, qui s’écrit avec un « L » majuscule et sans apostrophe, écoutez bien : c’est la croyance que la notion de valeur marchande est nécessaire pour échanger. Je répète… C’est donc à la fois une croyance et un raccourci pour désigner la notion de « valeur marchande ». Tel est du moins le sens strict de ce nouveau terme. Telle est aussi la raison pour laquelle parler « d’abolition de Largent » est impropre et révélateur. On n’abolit pas une croyance : on l’anéantit, on l’éradique, on la supplante.

 Contrairement à ce qu’imagine instantanément un esprit capitaliste, ces concepts ne sont pas indivisibles. Ils sont effectivement liés dans le système monétaire, mais ils ne sont pas confondus par nature.

  • La monnaie est un moyen d’échange, mais un moyen d’échange n’est pas nécessairement de la monnaie.
  • La monnaie repose sur Largent, mais Largent peut exister sans la monnaie.
  • Par suite, un moyen d’échange peut ne pas être de la monnaie et ne pas reposer sur Largent.

 Que se passe-t-il si l’on ne fait pas ces distinctions, ce qui est lié au fait que l’on maîtrise mal les concepts de monnaie et de moyen d’échange et pas du tout celui de Largent ? 2 1 - SM - Sortir du système monétaire.jpg

  • Evidemment, celui qui, par intérêt ou manque d’audace intellectuelle, défend la monnaie conserve à la fois le principe de moyen d’échange et Largent. Autant dire qu’il ne change rien, quelle que soit l’ampleur des réformes qu’il propose par ailleurs. (figure 1)
  • Maintenant, celui qui, malgré tout, reconnaît que la monnaie est pernicieuse mais qu’un moyen d’échange est nécessaire en est réduit, s’il est toujours sous l’emprise de Largent, ce qui est généralement le cas, à reproduire un système d’unité, à imaginer un moyen d’échange reposant sur la notion de valeur, bref à proposer une nouvelle forme de monnaie. En réalité, il ne distingue pas la monnaie du moyen d’échange : il ignore seulement qu’il ne conçoit pas d’autre moyen d’échange que la monnaie, c’est-à-dire un moyen d’échange reposant sur Largent. Il ne réalise pas que la monnaie telle qu’elle a toujours été est telle qu’elle doit être, que le système monétaire ne peut pas s’en passer, et qu’en modifier les propriétés et le fonctionnement (dans l’idée de créer un nouveau moyen d’échange) est insensé, illusoire et catastrophique. (figure 2)
  • Enfin, il y a les adeptes de la facilité qui, pour conjurer certains effets de la monnaie, imaginent naïvement qu’il suffit de la supprimer, et avec elle tout moyen d’échange, donc de revenir au troc (ce qui est impossible) ou de promouvoir le don (ce qui est absurde). Mais ils oublient Largent — qui est le cœur et l’esprit du système qu’ils prétendent balayer et que leur solution en apparence radicale est incapable d’anéantir. Or, Largent vivant, la monnaie réapparaîtra tôt ou tard et sûrement plus tôt qu’ils ne pensent — si tant est qu’ils soient capables de penser. Cette démarche ne consiste pas à changer les choses, mais à renoncer à certaines, à créer ainsi des vides dont la nature a horreur. (figure 3)

 10 3 - La Belle Verte.jpg

La Belle Verte - Une planète sans monnaie où une poignée de va-nu-pieds
résolvent tout par l'opération du Saint Esprit tel le bon sauvage de Rousseau.

On voit donc que l’ignorance de ce qu’est Largent conduit à lier moyen d’échange et monnaie, qu’il s’agisse de conserver le premier ou de supprimer la seconde, et, ce faisant, à perpétuer la nature fondamentale du système en recourant à des solutions qui sont alors contre-nature. Pour être plus clair, le système monétaire s’articule autour de trois concepts : le moyen d’échange, la monnaie et Largent (à la base). Il y a donc, en théorie, trois angles d’attaque possibles. Mais il n’y en a plus que deux si on néglige Largent. Dans ces conditions, il n’y a que deux stratégies envisageables, à défaut d’être judicieuses, pour changer le système : 1) conserver le moyen d’échange moyennant une modification de la monnaie — puisqu’il n’est pas question de renoncer à la notion de valeur, 2) supprimer la monnaie et tout moyen d’échange par la même occasion, puisque conserver un moyen d’échange serait la première stratégie, et adopter un mode d’échange direct basé sur la notion de valeur, puisque la notion de valeur n’a pas été identifiée comme la véritable base du système monétaire. Ces deux stratégies, opposées en apparence, ont donc en commun, outre le fait d’être aussi absurdes et inapplicables l’une que l’autre, de lier le sort du moyen d’échange et de la monnaie et, dans la mesure où aucune n’éradique Largent, de promouvoir des systèmes objectivement ou potentiellement monétaires. Moralité : ne pas s’attaquer à Largent condamne à l’impuissance ou à l’échec ou, comme dirait le poète, à pisser dans un violon.

Telle est la conséquence de la « croyance que la notion de valeur marchande est nécessaire pour échanger » qui par définition, empêche d’envisager un mode ou un moyen d’échange ne reposant pas sur la notion de valeur. En revanche, les conclusions que cette étude oblige à tirer sont, d’une part, que le système monétaire doit être attaqué par Largent pour atteindre la monnaie et proscrire tout mode d’échange reposant sur la notion de valeur, et éviter ainsi de commettre l’erreur fatale de la première stratégie, à savoir modifier simplement le fonctionnement de la monnaie ; d’autre part, qu’il ne faut pas rejeter le principe de moyen d’échange, qu’il faut au contraire en adopter un fondé sur une autre logique et capable de l’inculquer, sous peine de tomber dans le piège de la deuxième stratégie, à savoir créer un vide dans lequel Largent serait comme un poisson dans l’eau.

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17:52 Écrit par Philippe Landeux dans 6. MON BLOG | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook | |  Imprimer |

mercredi, 23 novembre 2011

PENSEE DU JOUR : conspirateurs

Quand on a toujours l’accusation « conspirationniste » à la bouche, on est soit un conspirateur soit un con tout court.

16:26 Écrit par Philippe Landeux dans 6. MON BLOG, 7.1. PENSEES DU JOUR | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook | |  Imprimer |

mardi, 22 novembre 2011

PENSEE DU JOUR : bon sens populaire

Ce que le peuple sent d'instinct, certains ont besoin de marcher dedans pour le sentir, et parfois même d'en manger.

lundi, 21 novembre 2011

PENSEE DU JOUR : de la parole aux actes

Du mépris du peuple à la trahison de la patrie, il n'y a qu'un pas.

"Dans tout état libre, la loi doit surtout défendre la liberté publique et individuelle contre l’autorité de ceux qui gouvernent. Toute institution qui ne suppose pas le peuple bon et le magistrat corruptible est vicieuse." Robespierre, article 19 de sa Déclaration des droits de l'Homme et du Citoyen

dimanche, 20 novembre 2011

PENSEE DU JOUR : la grandeur

Pour être Grand, il faut croire en sa propre Grandeur. Qui n'y croit pas, petit restera.

samedi, 19 novembre 2011

LA TARTE A LA CREME DE « L’ISLAMOPHOBIE »

Je ne connais pas les combinaisons secrètes des maîtres du monde. Il semble en effet que l’islam leur serve de prétexte pour dénoncer et s’ingérer dans les affaires de certains pays (Iran), alors qu’ils utilisent les islamistes pour renverser les gouvernements d’autres pays (Libye, Syrie). Ici ils manipulent les islamistes pour montrer l’islam du doigt (11 septembre 2001) ; là ils les soutiennent pour dévaster un pays ami (France) ou parce que le pays est leur base arrière (Arabie Saoudite). Ils sont islamophobes un jour, islamophiles le lendemain. On dirait qu’ils jouent aux cons… Cependant, tout est calculé, même si le péquin moyen a du mal à saisir le résultat qu’ils veulent atteindre. Car il y en a un. Ces gens-là ne font rien au hasard. Leur but est le pouvoir suprême et absolu. En quoi l’islam est un moyen pour atteindre cette fin, peu importe. La seule façon de ne pas faire leur jeu est de ne pas entrer dedans, de ne pas succomber à leur propagande dans un sens ou dans l’autre, de se concentrer sur son pays au lieu de vouloir mettre son grain de sel ailleurs d’après les informations forcément mensongères que l’on reçoit. Ne pas marcher dans leurs combines, défendre son pays au lieu de s’occuper des voisins, est la meilleure et la seule façon de déjouer leurs plans.

Certains appellent ces manipulations la « stratégie du choc des civilisations ». Je viens de montrer que cette stratégie n’est pas islamophobe en elle-même, puisqu’elle consiste souvent à soutenir les islamistes. En revanche, à force d’aider en sous-main l’islam à s’étendre, elle finit par le faire apparaître comme un danger et suscite l’islamophobie en Occident. S’ouvrent alors deux pièges.

Le premier piège, dénoncé par les pourfendeurs de la  « stratégie du choc des civilisations », est de tomber dans l’islamophobie pour des raisons internationales. Tous les peuples sont souverains. Les peuples étrangers peuvent adopter les lois qu’ils veulent, même d’essence religieuse, c’est leur affaire. Des Français n’ont ni à soutenir ni à s’opposer. Avoir cette attitude en permanence préserve d’être l’idiot utile des mondialistes.

Le deuxième piège, que ne semblent pas voir les pourfendeurs de la  « stratégie du choc des civilisations » et qu’ils contribuent à creuser, est de se résigner à l’avancée de l’islam en France et en Europe en général sous prétexte de ne pas verser dans l’islamophobie qui, certes, est injustifiée ou du moins dangereuse sur le plan international. En France, condamner l’islamophobie est un sophisme, tandis que se revendiquer « islamophobe » est une faute. Personne, en France, ne conteste à qui que ce soit le droit de croire ce qu’il veut, d’adopter la religion qui lui plaît. Ceci s’applique aussi à l’islam. Par suite, l’islamophobie n’existe pas. C’est un mot inventé par les islamistes et employé par les musulmans et les antisionistes.

Les musulmans l’emploient pour stigmatiser ceux qui dénient à l’islam, comme à toute autre religion, le droit de sortir de la sphère privée, de s’afficher en public et de s’immiscer dans la vie politique. Ils croient que le prétexte religieux leur autorise tout et oblige les autres à tout accepter d’eux. Ils abusent de la notion de laïcité, comme se fourvoient ceux qui les combattent en son nom. En effet, ces derniers ne voient pas l’islam comme une simple religion mais comme un projet politique, et ils ne contestent pas tant les croyances que certaines pratiques contraires aux traditions et aux lois françaises et qui empêchent l’assimilation des musulmans. Or, en invoquant la laïcité qui concerne les religions, ils font eux-mêmes des problèmes relatifs à l’islam des questions religieuses, alors qu’ils relèvent des lois ordinaires qu’il suffirait d’appliquer fermement. En se revendiquant comme des « islamophobes », ils semblent se présenter comme les ennemis des musulmans, alors que leur but est, au contraire, qu’ils se dépouillent des facteurs de rejet et abattent les obstacles qu’ils dressent eux-mêmes, au nom de l’islam, à leur assimilation. Bref, « l’islamophobie » ne concerne pas l’islam en tant que religion mais certains aspect de l’islam qui, du point de vue français, sont d’ordre public. Bien sûr, les musulmans bafouent la laïcité à la française (qui est moins la tolérance des autres, que la discrétion de chacun). Mais c’est au nom de la francité et du patriotisme qu’il faut les déjouer, sous peine de faire leur jeu en brouillant soi-même le message.

Les antisionistes, eux, emploient le terme d’islamophobie à tort et à travers, d’abord pour qualifier la tactique de « l’Empire » sur le plan international, ensuite pour désigner toute critique à l’encontre de l’islam et de ses pratiques au regard des lois nationales, comme si cela était du même ordre. Ils mettent sur le même plan les prétextes mondialistes pour attaquer, et le droit des Européens de défendre leur identité. Qui s’oppose, chez lui, à l’expansion inacceptable de l’islam serait, selon eux, un islamophobe, donc un agent du mondialisme, un suppôt de Satan. Les patriotes qui se revendiquent « islamophobes » contribuent à cette confusion. Il n’en demeure pas moins que cet amalgame est grotesque. Mieux encore : ne pas contrecarrer les revendications abusives des musulmans, en Occident, c’est faire le jeu de l’Empire qui les utilisent pour détruire les nations.

On ne peut pas, d’un côté, dénoncer le machiavélisme de l’Empire et, d’un autre, le laisser opérer. On ne peut pas, d’un côté, être contre l’ingérence, plaider pour le respect de la souveraineté des pays arabo-musulmans et, d’un autre, contester le droit des peuples européens d’être maîtres chez eux et de vouloir préserver leur identité face au travail de sape effectué au nom de l’islam. On ne peut pas, d’un côté, dénoncer la politique mondialiste et, d’un autre, condamner ceux qui combattent localement ses effets. Ceux qui soutiennent aujourd’hui les guerres d’ingérence entreprises au nom de la démocratie et de la Liberté sont les mêmes qui ont favorisé le développement du communautarisme par l’encouragement de l’immigration massive et l’abandon de la tradition française d’assimilation. Vouloir stopper l’immigration et restaurer la politique d’assimilation qui, fatalement, concerne les étrangers en général et les musulmans en particulier,  n’est pas faire le jeu de l’Empire ; c’est au contraire y faire échec. Stigmatiser les résistants avec des noms d’oiseaux, c’est collaborer à son triomphe.

L’islamophobie est une arnaque. Les anti-islamophobes virulents sont des traîtres. Les islamophobes revendiqués sont des crétins. 

Philippe Landeux

17:13 Écrit par Philippe Landeux dans 6. MON BLOG | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : islamophobe, islamophobie, tarte, crème |  Facebook | |  Imprimer |

PENSEE DU JOUR : les yeux en face des trous

Quand la "gauche" est immigrationniste et apatride comme le patronat, et l' "extrême droite", sociale et patriote comme les Jacobins, il n'y a pas à regréter que la première ait abandonné ses combats à la seconde ; c'est que ces combats ne sont pas les siens et qu'elle n'est plus ce qu'elle prétend toujours être.

vendredi, 18 novembre 2011

PENSEE DU JOUR : immigration et révolution

L’immigration massive est un instrument contre-révolutionnaire.

Voir : Civisme et patriotisme