jeudi, 17 novembre 2011
PENSEE DU JOUR : résistance
La résistance est un devoir, quelle que soit la couleur de l’envahisseur.
20:02 Écrit par Philippe Landeux dans 6. MON BLOG, 7.1. PENSEES DU JOUR, 7.5. Pensées PROVERBIALES, 7.7. sur l'IMMIGRATION | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | | Imprimer |
lundi, 14 novembre 2011
PENSEE DU JOUR : immigrationnisme
Quand l'immigrationnisme n'a ni raisons économiques ni raisons politiques, il n'est même plus amour de l'Autre ; il est haine de soi à l'état pur.
20:00 Écrit par Philippe Landeux dans 6. MON BLOG, 7.1. PENSEES DU JOUR, 7.6. sur les TRAITRES, 7.7. sur l'IMMIGRATION, 8. GAUCHERIE | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : immigrationnisme, immigration, gaucherie, haine | Facebook | | Imprimer |
samedi, 12 novembre 2011
PENSEE DU JOUR : cogito ergo sum
Qui raisonne en étranger mérite d’être traité en immigré voire en ennemi.
Qui raisonne en Français mérite d’être traité en Français ou pour le moins en ami.
Il n’y a pas de xénophobie à dire qu’un étranger (de fait ou dans sa tête) est un étranger et à le traiter en ami s’il est amical, en ennemi s’il est hostile.
15:00 Écrit par Philippe Landeux dans 6. MON BLOG, 7.1. PENSEES DU JOUR, 7.5. Pensées PROVERBIALES, 7.6. sur les TRAITRES, 7.7. sur l'IMMIGRATION | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | | Imprimer |
samedi, 05 novembre 2011
PENSEE DU JOUR : la mascarade
- immigration massive
- naturalisation des immigrés
- régularisation des clandestins
- préférence étrangère
- droit de vote des étrangers
Arrêtons la mascarade ! Ne consultons plus les Français. Ne faisons plus venir d’immigrés. Organisons les élections directement et exclusivement à l’étranger pour que les choses soient claires et puisque c’est, en définitive, le but des immigrationnistes et sera, à terme, le résultat de l’immigration.
Mais suis-je bête ! Les oligarques font déjà mieux. Ils ont mis la France sous tutelle de commissions non élues et la vendent par petits bouts.
15:01 Écrit par Philippe Landeux dans 6. MON BLOG, 7.1. PENSEES DU JOUR, 7.6. sur les TRAITRES, 7.7. sur l'IMMIGRATION | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : immigration, immigrationnisme, immigrés, souveraineté, démocratie | Facebook | | Imprimer |
mercredi, 26 octobre 2011
PENSEE DU JOUR : patriotes et immigrationnistes
Les patriotes n'ont pas de haine envers les immigrés. En revanche, ils considèrent les immigrationnistes comme des traîtres à la patrie et des fléaux pour l'humanité. Ces derniers ont raison d'avoir peur : le jour de la carmagnole, ils ne seront pas à l'orchestre.
20:00 Écrit par Philippe Landeux dans 6. MON BLOG, 7.1. PENSEES DU JOUR, 7.6. sur les TRAITRES, 7.7. sur l'IMMIGRATION | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : patriotes, immigrés, immigrationnistes | Facebook | | Imprimer |
jeudi, 20 octobre 2011
PENSEE DU JOUR : les colons
Des colonisateurs sont des immigrés qui ont la force pour eux et dictent le droit.
Des immigrés - qui donnent des leçons d'antiracisme pour exiger le respect au lieu de le gagner - se prennent pour des colons qui jouent de leurs faiblesses et abusent de la tolérance des autochtones.
20:00 Écrit par Philippe Landeux dans 6. MON BLOG, 7.1. PENSEES DU JOUR, 7.7. sur l'IMMIGRATION | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | | Imprimer |
samedi, 08 octobre 2011
PENSEE DU JOUR : gauchistes et immigrés
Ce ne sont pas les Français - qui s'opposent à l'immigration - qui ne veulent pas faire les boulots réservés de fait aux immigrés ; ce sont les immigrationnistes : les gauchistes, parce que les immigrés bossent à leur place ou glandent comme eux, les patrons et les bobos, parce que les immigrés bossent pour eux pour moins cher que des Français.
Au boulot, même le week-end !
Les défenseurs de la civilisation !
Ca bosse dur. Faut c'qu'y faut, pour payer nos retraites ! Quelle chance pour la France !
09:44 Écrit par Philippe Landeux dans 6. MON BLOG, 7.1. PENSEES DU JOUR, 7.6. sur les TRAITRES, 7.7. sur l'IMMIGRATION, 8. GAUCHERIE | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | | Imprimer |
PENSEE DU JOUR : le droit de vote des étrangers
Dès lors qu’un principe est violé, il n’existe plus.
Ne peuvent jouir des droits politiques que les individus attachés à la Nation et revêtus, de ce fait, de la Nationalité. (Ceci implique d’établir un mode d’acquisition de la Nationalité attestant effectivement l’attachement à la Nation et, par suite, de distinguer les notions de Citoyenneté et de Nationalité, comme seul le fait le Civisme.)
Demander le droit de vote pour les étrangers aux municipales sous prétexte de discrimination amènerait fatalement à violer le principe sous le même prétexte pour exiger qu’ils aient aussi le droit de voter aux élections nationales et d’intégrer les institutions. C’est donc un engrenage dans lequel il ne faut pas mettre un doigt.
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Il n’y a pas plus de devoirs sans droits que de droits sans devoirs. Un droit est la conséquence d’un devoir. Il n’est pas généré par n’importe quel devoir, mais par un devoir qui, de par sa nature, le génère. Autrement dit, les droits sont de la même nature ou sur le même plan que les devoirs qui les engendrent.
Un Citoyen ne génère qu’indirectement ses droits. Les devoirs qu’il remplit garantissent des droits à d’autres, mais, comme ces autres ont envers lui les mêmes devoirs, ils lui assurent les mêmes droits. Il remplit donc bien les devoirs qui génèrent les droits dont il jouit, mais ses droits ne sont qu’une conséquence indirecte des devoirs qu’il a remplis.
Exemple : La sécurité d’un Citoyen en tant que droit découle du fait que les Citoyens se protègent mutuellement et non du fait qu’un Citoyen se défend. Quand un Citoyen doit se défendre par lui-même, il est plongé malgré lui dans l’état de Nature : sa sécurité ne dépend pas de la Société et n’est pas, dans l’instant, une question de droit mais de force.
En l’occurrence, les devoirs économiques et sociaux génèrent les droits économiques et sociaux qui sont l’apanage de la Citoyenneté. Le fait de participer à la vie de la Cité donne le droit d’accéder aux bienfaits de la Cité qui sont le fruit de la participation des Citoyens. Les droits politiques qui sont l’apanage de la Nationalité découlent, eux, du moins devraient-ils découler, de l’accomplissement de devoirs particuliers envers la Nation qui justifient que leurs détenteurs en jouissent.
Ces derniers sont les dépositaires de l’intérêt national. La moindre des choses est qu’ils l’aient à cœur, qu’ils soient viscéralement attachés à la Nation, ce dont lesdits devoirs sont censés témoigner. Cet attachement est douteux de la part d’étrangers, d’immigrés plus exactement. Cela l’est d’autant plus quand la Nationalité est un choix qu’ils se refusent à faire. Il ont certes le droit de ne pas vouloir être français, il est honnête qu’ils ne prétendent pas l’être quand ils n’en ont pas le sentiment, ils sont respectables dans l’identité qui est la leur, mais cela ne leur confère aucun titre à gouverner en terre étrangère de leur point de vue et il serait insensé de leur confier les clés de la Nation, même celles de portes dérobées.
Quant aux natifs qui réclament pour eux le droit de cité, cela en dit long sur leur ignorance des principes, leur défaut de patriotisme, leur niaiserie, leur démagogie et leur dangerosité. Ils voient les étrangers comme leurs égaux ! Hé bien ! qu’ils soient, comme eux privés, de tout droit politique.
Toute association ou organisation qui prône le droit de vote des étrangers ou quelque autre droit politique devrait être dissoute ; tout Français devrait être déchu de la Nationalité et banni à perpétuité en cas de récidive ; tout immigré devrait être expulsé sur-le-champ et à jamais.
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Pour être plus terre-à-terre, le vote des étrangers est justifié, soi-disant, par le fait qu’ils travaillent, qu’ils cotisent, qu’ils payent des impôts, qu'ils vivent sous nos lois, qu'ils sont installés depuis longtemps et qu'ils sont concernés par la vie locale. Or ce droit ne serait pas accordé seulement aux travailleurs et aux contribuables : il serait aussi octroyé aux chômeurs et aux allocataires d’aides publiques dont on se demande au nom de quoi ils ont encore le droit de résider en France ; il serait aussi accordé à ceux qui violent les lois (les défenseurs du droit de vote des étrangers ne sont-ils pas les défenseurs des immigrés illégaux ?) et, de manière générale, à des gens qui, n’ayant aucun sentiment pour la France, peuvent la quitter à tout moment.
Mais, reprenons en détail ces arguments détinés à enfumer le gogo.
« Ils travaillent. » Même quand cela serait vrai pour tous, le travail génère des droits sur le produit commun, pas des droits politiques. Mais il est faux de dire « ils travaillent » car tous ne travaillent pas puisque l’essentiel de l’immigration s’effectue aujourd’hui au titre du regroupement familial. Les partisans du droit de vote des étrangers devraient le savoir, eux qui sont aussi partisans du regroupement familial au nom de l’humanité (pas au nom de la famille, concept pétainiste et réactionnaire !). Par ailleurs, qu’un immigré travaille est la moindre des choses puisque rien d’autre ne justifie sa présence. On ne peut donc lier les droits politiques qui sont le privilège des Français au fait de travailler, sans quoi tout immigré devient automatiquement français, ce qui est manifestement absurde. Si un pareil lien était établi, et il l’est presque aujourd’hui, il ne faudrait pas s’étonner que les Français authentiques s’opposent à une immigration qui menace de les engloutir.
« Ils cotisent. Ils payent des impôts. » Même quand cela serait vrai pour tous, cotisations et impôts (qui n’ont d’ailleurs de sens que dans un système monétaire) leur assurent la jouissance de prestations sociales et l’usage d’infrastructures publiques. C’est un donnant-donnant qui ne porte pas témoignage de leur à attachement sentimental à la France et ne garantit pas que, s’ils avaient le droit de cité, ils seraient guidés par l’intérêt national. Leur état persistant d’étranger prouve au contraire que leur présence est une question d’intérêt particulier et que leur cœur bat toujours pour un autre pays. Il est, du reste, étonnant qu’une revendication portée par des gens autoproclamés « de gauche » soit appuyée par des arguments historiquement de droite. En effet, le suffrage censitaire établi par les aristo-bourgeois de droite sous la Révolution excluait du droit de cité les pauvres qui ne payaient pas trois journées de salaire d’impôt par an. Accorder le droit de vote aux immigrés sous prétexte qu’ils payent des impôts relève de la même logique, quoiqu’en plus hypocrite puisqu’il n’est pas question de le refuser à ceux qui n’en payent pas. Cet argument parfaitement bidon n’est que l’expression d’une xénofolie pathologique, à moins qu’il n’émane d’immigrés malhonnêtes. Les droits politiques ne sont pas une question d’argent.
« Ils vivent sous nos lois. » Un immigré peut-il faire autrement ? N’est-ce pas pour vivre sous les lois d’un autre pays qu’il quitte le sien ? Un immigré n’est pas un esclave ; il vient de lui-même, en connaissance de cause et dans son intérêt tel qu’il le conçoit. Par définition, les immigrés apprécient les lois du pays dans lequel ils s’installent et qui ont été adoptées sans leur concours. Si elles ne leur plaisent pas, ils peuvent aller vivre ailleurs. S’ils restent, ils doivent les accepter, donc accepter que d’autres les fassent à leur place. Les choses étaient ainsi avant qu’ils arrivent, il n’y a aucune raison qu’elles changent parce qu’ils sont là. D’ailleurs, dans quel sens pourraient-ils les faire changer, si ce n’est à leur profit, aux profit des immigrés et de leur pays d’origine ? Car, n’oublions pas que nous parlons d’immigrés qui, pour une raison ou une autre, ne veulent pas être français et n'useraient donc pas de leur droit de cité dans l’intérêt de la France. Ce n’est parce qu’ils ne renoncent à rien que la Nation qui les accueille doit renoncer à son âme pour leur bon plaisir !
Il s’ensuit que poser le pied en France ne confère pas les droits qui appartiennent aux seuls Français, sans quoi ces derniers ne seraient plus maîtres chez eux et la Nationalité serait vide de sens. De plus, le fait que des individus immigrés demeurent étrangers implique qu’ils vivent sous les lois d’un pays qu’ils ne reconnaissent pas comme le leur, auquel ils ne sont pas attachés et qu’ils peuvent retourner d’où ils viennent ou partir ailleurs à tout moment. Il se pourrait donc, s’ils avaient le droit de cité, qu’ils contribuent à faire adopter des lois sans jamais les supporter. Tout est immoral dans cette revendication, qui est d’ailleurs moins celle des immigrés que de leurs prétendus amis.
« Ils sont là depuis longtemps. Ils sont concernés par la vie locale. » Raison de plus, devrait-on dire, de leur refuser le droit de cité. Ils ont eu le temps de devenir français, ils ne le sont toujours pas et sans doute ne le seront-ils jamais. La règle, pour avoir le droit de cité en France, est d’être Français. Cette règle frappée du sceau du bon sens est connue ; elle est la même dans tous les pays du monde, y compris leurs pays d’origine. Ils savent que leurs prétentions sont infondées et scandaleuses. Ils savent aussi ce qu’ils ont à faire pour jouir des droits en question. S’ils ne le font pas, ils ne peuvent s’en prendre qu’à eux-mêmes. Ils n’auront pas le beurre et l’argent du beurre. La France ne se laissera pas avoir à l’usure par des sophismes. Et qu’est-ce que la France, sinon la somme de ses communes ? Qui règnerait en France si ses communes passaient une à une aux mains de l’étranger sous la pression d’une immigration massive et continue encouragée par les partisans du droit de vote pour les étrangers ?
On aura remarqué que les problèmes créés par certains sont toujours pour eux le prétexte d’en créer de nouveaux. Ici, ils instrumentalisent les immigrés. Ils les font venir, ils les exploitent, ils les délaissent, ils les stigmatisent, ils les renvoient à leurs origines, ils les communautarisent, ils en font des ennemis et des envahisseurs et, pour finir, ils veulent leur donner les clés de la maison parce qu’ils sont là, parce qu’ils sont nombreux. Mais, a-t-on oublié que les Français n’ont jamais été consultés sur la question de l’immigration, qu’ils ont été trahis par les capitalistes et la gaucherie main dans la main à chaque étape ? Ils n’ont pas à accepter le fait accompli sans leur consentement. Ils n’ont pas à reconnaître de droits à des individus qu’ils n’ont non seulement pas invité (il n’y a de droits que dans le cadre d’un contrat social ; un mariage forcé est nul et non avenu) mais qui, en plus, se comportent comme en pays conquis. Ils n’ont pas à laisser détruire leur Nation parce que Bobo le collabo se prend tantôt pour un « citoyen du monde » tantôt pour un « citoyen européen », imité en cela par Gaucho le prolo, éternel idiot utile.
09:19 Écrit par Philippe Landeux dans 6. MON BLOG, 7.1. PENSEES DU JOUR, 7.4. sur la POLITIQUE, 7.6. sur les TRAITRES, 7.7. sur l'IMMIGRATION, 8. GAUCHERIE | Lien permanent | Commentaires (6) | Tags : vote, immigrés | Facebook | | Imprimer |
dimanche, 14 août 2011
PENSEE DU JOUR : L'idéologie du métissage
La métissocratie aspire à la fusion des races, c’est-à-dire à l’effacement des différences raciales par le métissage, considérant que l’homogénéité raciale est garante de paix sociale.
Or il est évident, d’une part, que l’homogénéité raciale qui était la règle jusqu’à il y a peu n’a jamais préservé aucun peuple de conflits sanglants (les raisons ne manquèrent pas : politiques, religieuses, économiques, etc.), d’autre part, que le métissage en vue d’atteindre une homogénéité raciale serait inutile sans immigration introduisant de la diversité raciale, donc de la division « sociale » (postulat sous-entendu de la métissocratie). En outre l'effacement des races ou leur fusion par le métissage est une vue de l'esprit (cf. le Brésil), de sorte que l'immigration qui est l'instrument de cette politique ne fait que gonfler artificiellement le nombre d'individus de races étrangères et multiplier réellement les risques de conflits raciaux.
Il s’ensuit que la métissocratie repose sur des sophismes universalistes pseudo humanistes et n’est que l’alibi de l’immigrationnisme et du mondialisme. Elle promet des lendemains qui n’ont aucune raison de chanter et fait déjà du présent un cauchemar.
Elle présente comme des monstres (méthode de la stigmatisation et de la réductio ad hitlerum) les partisans du statu quo, de la maîtrise de l’immigration ou de l’homogénéité raciale originelle, au nom d’une nouvelle homogénéité à réaliser au forceps, contre la volonté des autochtones, par leur génocide façon moderne, par la destruction des nations, de toutes les nations (pour provoquer là-bas l'émigration, imposer ici l'immigration), dans le seul intérêt du grand patronat et du capital international.
Comment peut-on présenter et considérer comme de gauche cette idéologie de la pire extrême droite ?
14:27 Écrit par Philippe Landeux dans 6. MON BLOG, 7.1. PENSEES DU JOUR, 7.6. sur les TRAITRES, 7.7. sur l'IMMIGRATION, 7.8. sur le RACISME | Lien permanent | Commentaires (2) | Facebook | | Imprimer |
vendredi, 17 juin 2011
PENSEE DU JOUR : discrimination
Qui fait des exceptions discrimine. Qui demande des exceptions en sa faveur se discrimine tout seul. Pigé ?
03:36 Écrit par Philippe Landeux dans 6. MON BLOG, 7.1. PENSEES DU JOUR, 7.7. sur l'IMMIGRATION, 7.8. sur le RACISME | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | | Imprimer |
lundi, 13 juin 2011
PENSEE DU JOUR : diversité et immigration
La diversité : il y a ceux qui la vantent et ceux qui la vivent.
L’immigration : il y a ceux qui en profitent et ceux qui en pâtissent.
20:30 Écrit par Philippe Landeux dans 6. MON BLOG, 7.1. PENSEES DU JOUR, 7.5. Pensées PROVERBIALES, 7.7. sur l'IMMIGRATION | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : diversité, immigration | Facebook | | Imprimer |
jeudi, 09 juin 2011
PENSEE DU JOUR : argent & immigration
Argent, immigration : quel rapport ?
Immigration, mondialisme, capitalisme : ça commence à venir ?
Argent, capitalisme, mondialisme, immigration : c'est clair ?
Tous les chemins mènent à Largent.
09:38 Écrit par Philippe Landeux dans 6. MON BLOG, 7.1. PENSEES DU JOUR, 7.2. sur LARGENT, 7.7. sur l'IMMIGRATION | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | | Imprimer |
samedi, 04 juin 2011
PENSEE DU JOUR : LES NEO-COLONIALISTES
Les pourfendeurs du passé colonial de la France sont non seulement les héritiers des chantres de la colonisation mais aussi des néo-colonialistes pires que les premiers. Ils prônent aujourd’hui un colonialisme tous azimuts : par nous, à l’étranger, au nom de l’ingérence humanitaire ou de la démocratie ; chez nous, par les étrangers, au nom d’un prétendu devoir d’accueil et de repentance.
Ces gens-là n’ont que mépris pour les peuples en général, et pour le leur en particulier. Et ça se dit de « gauche » !
08:24 Écrit par Philippe Landeux dans 6. MON BLOG, 7.1. PENSEES DU JOUR, 7.6. sur les TRAITRES, 7.7. sur l'IMMIGRATION | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | | Imprimer |
jeudi, 14 avril 2011
PENSEE DU JOUR : FN
La France survivrait au Front National ; elle ne survivra pas à l'immigration.
10:17 Écrit par Philippe Landeux dans 6. MON BLOG, 7.1. PENSEES DU JOUR, 7.7. sur l'IMMIGRATION | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : front, national, immigtration, landeux | Facebook | | Imprimer |
lundi, 13 décembre 2010
PENSEE DU JOUR : téléportation
Les Français sont chez eux, et pourtant ils n’ont plus le sentiment d’accueillir mais celui d’être envahis quand ils ne sont pas effectivement chassés.
11:05 Écrit par Philippe Landeux dans 6. MON BLOG, 7.1. PENSEES DU JOUR, 7.7. sur l'IMMIGRATION | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | | Imprimer |