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samedi, 21 janvier 2012

PENSEE DU JOUR : immigration, contre-révolution

Non seulement l'immigration n'est pas une fatalité, mais c'est en plus un phénomène contre-révolutionnaire.

Sur l’immigrationnisme, tous les patriotes savent déjà que l’immigration est organisée par le patronat pour des raisons économiques, pour geler ou tirer à la baisse les salaires des Français grâce au chantage que les immigrés, importés pour être exploités, permettent d’exercer sur eux en matière de rémunération, d’emploi, de condition de travail, etc. Les immigrés sont pour ainsi dire des « jaunes », des briseurs de grève. Mais l’immigration à outrance a une autre fonction aux yeux des « élites » : elle démoralise le peuple, détourne son attention de la chose publique et permet de le rouler dans la farine. L’immigrationnisme s’appuie sur un renversement des valeurs et la proscription du bon sens. Les intérêts des étrangers deviennent la priorité nationale. Quiconque s’insurge est traité de xénophobe, de fasciste. Quiconque constate les frictions inévitables entre autochtones et immigrés est traité de raciste, de nazi. Quiconque dénonce l’absence de réelle démocratie est traité de souverainiste, de populiste. Bref, grâce aux sophismes qu’ils permettent d’imaginer et de soutenir, les immigrés sont un instrument contre le peuple et la démocratie. Mais, plus encore : les immigrés sont, par définition, originaires de pays et de cultures différentes ; leurs traditions, leurs préoccupations, leurs conceptions politiques et leur vision du monde ne sont pas celles des autochtones. Ils vivent à une autre heure et marchent dans une autre direction. Aussi, quand un peuple est prêt techniquement et moralement pour une révolution, une immigration massive, en plus d’être un problème en soi, constitue une force d’inertie, donc un frein à la révolution. Nul doute que les puissants ont conscience du caractère contre-révolutionnaire de l’immigration massive. Si elle favorisait la révolution et menaçait leur suprématie, ils s’y opposeraient. Or ils en sont les promoteurs et font tous leurs efforts pour la rendre problématique. Les plus astucieux vont même jusqu’à proposer le droit de vote pour les étrangers ! C’est donc en tant que phénomène contre-révolutionnaire que le Civisme condamne l’immigration massive et prône l’arrêt de toute immigration après quarante ans de n’importe quoi, rejoignant en cela la position des patriotes, mais apportant un argument de poids capable d’en imposer aux dupes de la gaucherie. (Extrait de la conférence : Largent, le tyran à abattre) Lire la suite

vendredi, 20 janvier 2012

PENSEE DU JOUR : question de contexte

On ne peut pas être propre sur soi quand on patauge dans la boue.

L'Homme ne peut changer en restant dans le même contexte.

UN NOUVEAU JOURNAL : SALUT PUBLIC

Ce mois de janvier 2012 est né un nouveau journal : SALUT PUBLIC. Tout un programme.

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Les prochains numéros seront vendus en kiosque. Pour commander le premier ou s'abonner : contact@salutpublic.com

12:37 Écrit par Philippe Landeux | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook | |  Imprimer |

jeudi, 19 janvier 2012

PENSEE DU JOUR : rareté

Les révolutions sont rares parce que les hommes sont rarement révolutionnaires.

Extrait de Qu'est-ce que le Civisme ?

LA GAUCHERIE ET LES IDEOLOGIES MONDIALISTES (extrait)

L’immigrationnisme est une monstruosité de droite, du grand patronat, la cause est entendue. Mais comment la « gauche » a-t-elle pu s’y convertir et commettre ainsi une double hérésie, d’un côté en singeant les patrons, de l’autre en abandonnant le peuple français ?

Pour le comprendre, il faut se souvenir que la vraie gauche est progressiste, que l’Egalité est son ambition suprême, que Largent l’empêche de l’atteindre et que, pourtant, aucun parti de gauche n’a jamais désigné Largent comme l’ennemi et proposé les moyens à la fois de l’abattre et d’instaurer l’Egalité. Aucun parti de gauche n’a donc jamais été réellement anti-capitaliste ; aucun n’est même réellement libéral puisqu’il ne peut exister, sous le capitalisme, que du capitalo-libéralisme. Néanmoins, le système monétaire n’empêche pas quelques progrès dans certains domaines. Il a donc été possible d’être de gauche sans être fondamentalement égalitaire tant que des progrès furent possibles. Mais il arrive un moment où tous les progrès possibles sous Largent sont réalisés, tout nouveau progrès impliquant de s’attaquer à Largent lui-même et à ses lois.

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13:45 Écrit par Philippe Landeux dans 6. MON BLOG | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook | |  Imprimer |

mercredi, 18 janvier 2012

PENSEE DU JOUR : l'autruche

L'autruche se voile la face et offre son cul.

Si ça ne vous rappelle personne, vous en êtes une.

mardi, 17 janvier 2012

DES CHIFFRES POUR DES MOUTONS

Quand j'entends ça :

J'ai la contrainte du CSA qui m'oblige à recevoir le leader du Front national. Comme c'est une obligation, je ne me pose pas la question de savoir si c'est une bonne chose ou non. Mais je trouve de toute manière toujours intéressant de mettre à l'épreuve les idées du Front national. Son projet politique brasse des milliards sans apporter d'explication sur la provenance des chiffres. Je ne l'avais jamais interrogée sur les questions économiques, c'est un angle d'attaque que je recommande.

Anne-Sophie Lapix, animatrice de Dimanche +

Le Nouvel Observateur

Je réponds ça :

Qui est encore dupe des chiffres avancés par les uns et les autres ? La politique, une fois au pouvoir, c’est du bricolage. Elle est (ou devrait être) affaire de bon sens, de courage, d’honnêteté et de patriotisme, autant de qualités qui sembleraient faire défaut à nos dirigeants depuis quarante ans s’ils n’étaient à l’évidence des traîtres. La France est dans une situation désastreuse, politiquement, économiquement, socialement et humainement. Les responsables de cette situation, éternels candidats à leur propre succession, peuvent-ils encore faire illusion en présentant des chiffres notoirement bidons auxquels ils font manifestement dire n’importe quoi ? Leur est-il permis de piéger leurs détracteurs en exigeant d’eux, à leur tour, un numéro d’illusionniste ? Non ! Assez de ces astuces ! Fini les boniments ! Ce n’est pas d’experts en manipulation de chiffres dont la France a besoin, mais de Français couillus, désireux et capables de la sauver du naufrage. Il est temps que ce pays échappe à la corde des bureaucrates et que les patriotes lui donnent un bon coup de fouet.

Si j'étais président en 2012

Et quand Mme Lapix ajoute :

Je n'ai que cette émission hebdomadaire et c'est un luxe pour la préparation. Le gros du travail est de lire les journaux. Je fais une revue de presse d'une heure tous les jours dans mon café préféré. Ensuite je commence à réfléchir à la structure de mon interview dès le mercredi. Le reste de la semaine, je passe mon temps à réécrire, et à retravailler mes questions jusqu'au bout, pour qu'elles collent à l'actu.

Je me marre :

Le dessin à usage universel

2012 01 17 - Chiffrage.JPG

14:15 Écrit par Philippe Landeux dans 6. MON BLOG | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook | |  Imprimer |

PENSEE DU JOUR : pas de révolution sans révolution

Une Révolution n'a pas pour but de perpétuer ou de reproduire les abus mais de les éradiquer. La Cité doit tout aux Citoyens, rien aux parasites. 

lundi, 16 janvier 2012

UNE IDEE DE GENIE (dessin)

Largent condamne les hommes aux jongleries et aux tripotages.  (Pensée du jour du 2 novembre 2011)

2012 01 14 - Taxe - TVA sociale 2.JPG

L’échange monétaire est un troc représentatif. La monnaie représente, en terme de valeur, les biens qu’elle achète et les services qu’elle paye. Elle change donc de mains au cours de la transaction, comme une vulgaire balle, et est valide entre toutes quels que soient les moyens par lesquels elles s’en sont emparés, d’où l’adage « l’argent n’a pas d’odeur ». Mis à part l’Etat et aujourd’hui les banques, personne ne la crée. Pour en avoir, il faut s’en procurer. Pour qu’il y en ait ici, il faut en prendre là. C’est le principe des vases communicants. Tout est soumis à ce principe. Quand l’Etat annonce une baisse d’impôts alors que ses dépenses augmentent, seuls les contribuables naïfs peuvent croire qu’ils ne vont pas payer autrement et doublement ; ils vont bien sûr être taxés en tant que consommateurs. (Conférence : Largent, le tyran à abattre)

23:17 Écrit par Philippe Landeux dans 6. MON BLOG | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook | |  Imprimer |

PENSEE DU JOUR : déni

Les mondialistes n'osent point dire : "Nous sommes des traîtres", ils aiment mieux dire aux patriotes : "Vous êtes racistes".

Paraphrase du discours de Saint-Just : « [les dantonistes] veulent briser l’échafaud parce qu’ils craignent d’y monter… On croirait que chacun, épouvanté de sa conscience et de l’inflexibilité des lois, s’est dit à lui-même : "Nous ne sommes pas assez vertueux pour être si terribles ; législateurs philosophes, compatissez à ma faiblesse ; je n’ose point vous dire : je suis vicieux ; j’aime mieux vous dire : vous êtes cruels !" » (8 ventôse an II)

dimanche, 15 janvier 2012

PENSEE DU JOUR : oligarchie

Que ceux qui pleurent l'oligarchie d'hier ne déplorent pas celle d'aujourd'hui. Une oligarchie est une oligarchie. Il n'y a de légitime que la volonté du peuple.

LE PAILLASSON DU MONDIALISME (dessin)

2011 12 24 - Le paillasson du mondialisme.JPG

10:14 Écrit par Philippe Landeux dans 6. MON BLOG | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : dessin |  Facebook | |  Imprimer |

samedi, 14 janvier 2012

PENSEE DU JOUR : illusion suprême

Des réformes politiques sans portée économique sont du brassage de vent.

PENSEE DU JOUR : En avant ! machine arrière toute !

Quand on condamne l'idée d'anéantir Largent en tant que regression, sans savoir en quoi cela consiste, on ne propose pas comme solution révolutionnaire de revenir à l'étalon Or, ce qui serait par définition un bond en arrière dans l'histoire !

vendredi, 13 janvier 2012

PENSEE DU JOUR : anachronisme

La notion de valeur marchande naît du troc, pratiqué initialement dans un contexte de rareté et de production artisanale. La monnaie qui en est le fruit n’a donc plus de raison d’être à l’heure de l’abondance et de la production de masse. Voilà la contradiction fondamentale dont souffre aujourd'hui le système monétaire et dont il mourra. A nouveau mode de production, nouveau mode d’échange. La monnaie est un anachronisme auquel les hommes s’accrochent par ignorance et habitude mais que le l’Histoire a déjà condamné.

Je venais d’écrire cela quand je suis tombé sur cette phrase de Robert Kurz : « Désormais, la croissance ne peut être obtenue que par un endettement croissant à tous les niveaux, donc par une anticipation toujours plus grande d’une survaleur future, qui ne pourra se réaliser parce que l’augmentation de la productivité vide la valeur de sa substance. » (Vies et mort du capitalisme, Lignes, 2011, p. 72) Autrement dit, l'évolution technique crée une contradiction fatale à la notion de valeur (marchande) et au système monétaire. Voir Marxisme Vs Civisme

jeudi, 12 janvier 2012

PENSEE DU JOUR : des droits ou rien

La monnaie, c’est du droit. Quoi d’autre ?

La monnaie représente tous les droits qu’elle permet d’exercer ou d’acquérir, légalement ou illégalement, et n’a d’intérêt que parce qu’elle incarne ces droits.

Valeur, commerce, profit, finance, etc., sont autant de sujets qui détournent de cette vérité : la monnaie est un problème social et une question de droit.

PENSEE DU JOUR : de l’échange à l’accès

La monnaie n’est plus un moyen d’échange mais essentiellement un moyen d’accès.

A l’heure actuelle, elle permet moins aux producteurs d’échanger entre eux qu’aux travailleurs d’accéder au marché en tant que consommateurs. Les modalités et les conditions d’accès au marché importent donc plus que la monnaie elle-même.

mardi, 10 janvier 2012

PENSEE DU JOUR : ce n’est pas « qu’un moyen »

Un bout de pain dans la main, on le met dans la bouche.
Un bijoux dans la main, on le met dans la poche.
Un charbon ardent dans la main, on le lâche tout de suite.

Moralité : la nature des objets conditionne leur usage.

Ainsi, même si la monnaie n’était qu’un objet, elle dicterait encore la manière de l’utiliser. Celui qui utilise la monnaie ne fait jamais que ce qu’elle permet de faire. La monnaie a donc des conséquences intrinsèques, et ne pas le comprendre, alors qu’elle est au cœur du système, c’est ne rien comprendre au système lui-même.

PENSEE DU JOUR : capital ou social

ART. 58 — Tout ce qui est justifié par Largent est injustifiable autrement et n’est en rien justifié d’un point de vue social. Tout ce qui semble financièrement logique est socialement absurde.

Extrait du Manifeste des Patriciens

lundi, 09 janvier 2012

PENSEE DU JOUR : choix des armes

On ne peut pas combattre le capitalisme en raisonnant en capitaliste.